Réanimation

de l’établissement La Clinique la Casamance est un établissement privé qui a été créée en 1956, où toutes les spécialités sont représentées comme : - La chirurgie - La médecine (polyvalente, spécialisée, cardiologique) - Les urgences - La réanimation pour adulte - La rééducation fonctionnelle - La maternité Elle a une capacité d’accueil de 354 lits. Propose aussi des services associés : - Laboratoire d’analyses médicales(externe à la clinique) - Pharmacie a usage intérieur - Consultations

UE 4.2 : Analyse d’une situation relationnelle J’effectue mon premier stage de 3ème année dans le service de réanimation médicale d’un hôpital de l’AP-HP (Saint Antoine, dans le 12ème arrondissement). Ce service a une capacité d’accueil de 18 patients, répartis en 3 secteurs, où chaque infirmier a 3 patients à charge. La scène que je m’apprête à décrire se déroule lors de ma 4ème semaine de stage, où je travaillais de jour avec mon infirmier tuteur. Je l’ai choisie car l’équipe et moi-même

en charge de l’urgence psychologique et psychiatrique, 3/Prise en charge sociale.) Afin de prendre le mieux possible en charge les patients se présentant aux urgences plusieurs structures existes : 1. SMUR : Service Mobile d’Urgence et de Réanimation. 2. S.A.M.U : Service d’Accueil Médicalisé 3. S.A.T.U : Service d’Accueil et de Traitement des Urgences 4. PO.S.U : Pôle Spécialisé d’accueil et de traitement des Urgences 5. U.P.A.T.O.U : Unité de Proximité d’Accueil, de Traitement

ville. Le métier d’infirmier est extrêmement varié : l’infirmier peut être amené à travailler de façon plutôt « solitaire » (infirmier à domicile) ou en équipe (infirmier en service hospitalier). Il peut exercer un métier très technique (service de réanimation), ou très relationnel (service de psychiatrie). Il peut prendre en charge des patients au long cours, avec lesquels il noue des relations très proches (patients âgés, patients dialysés par exemple). Il peut aussi s’il le souhaite s’inscrire dans

tumeur et l annonce par les médecins de son opération et la convalescence de son mari. Ce qui m’a interpellée dans son récit c’est comment il vivait , plongé dans le coma , les actes médicaux , les ponctions , les toilettes, tous le quotidien de réanimation et surtout comment finalement il interprétait les actes . Une autre partie de son récit est consacré a sa « rééducation », les personnes qu ‘il a rencontrer ,les psychologue, et surtout un psychanalyste et un amérindien et la rencontre avec le chirurgien

Analyse de situation de stage n°1 Description : La situation s’est déroulée lors d’un soin en réanimation (Détresses Respiratoires et Infections Sévères), sur une patiente de 63 ans dans le service suite à un choc septique sur une péritonite. Après avoir effectué les soins tels que les soins d’hygiène et de confort ainsi que la réfection des pansements, l’interne nous demande et prescrit une première mise au fauteuil. Avec l’aide du kinésithérapeute, l’IDE, l’AS et moi-même nous préparons à

Urgences ou en Réanimation et ainsi sortir avec le SMUR. Plusieurs formations en secourisme, d’abord en milieu associatif au sein du lycée avec la croix rouge, puis en tant que sapeur-pompier volontaire, m’ont conduite à m’intéresser aux secours préhospitaliers mais également aux soins en urgence. C’est donc naturellement que je me suis tournée vers la profession d’Infirmier de Sapeur-Pompier (I.S.P.), ou encore Infirmière aux Urgence, mais également Infirmière en Réanimation afin de pouvoir

indispensable. Des recommandations doivent êtres faites à tous les niveaux de santé, dispensaires et polycliniques, afin que les intoxiqués soient immédiatement amenés vers un centre spécialisé pour bénéficier très rapidement d’un traitement de réanimation et d’un suivi biologique adéquats. 

universitaire « plaies et cicatrisation ». J’ai pu remarquer que tous les infirmiers sont amenés à pratiquer régulièrement dans leur carrière et ce, quel que soit leur lieu d’exercice, le pansement. Que ce soit la dermatologie, la néphrologie, la réanimation, l’oncologie, la chirurgie, les soins à domicile, tous sont concernés. Pourtant, la technique est parfois peu, voire mal maîtrisée. D’une équipe à l’autre, d’une année sur l’autre, le matériel, les produits et les protocoles changent ou évoluent

le coeur continue de battre, mais le cerveau ne fonctionne plus). Sous certaines conditions bien précises (contraintes temporelles notamment) les organes (rein et foie) de personnes en arrêt cardiaque et respiratoire définitif, après échec de réanimation, peuvent être prélevés. On sait aujourd’hui que les résultats des greffes de ces organes sont aussi bons que ceux provenant de donneurs en mort encéphalique. Une personne en bonne santé a la possibilité de donner un organe de son vivant. C’est