Réanimation

Humbert va entrer dans un coma profond et sa mère va immédiatement être arrêtée et placée en garde à vue. Elle sera libérée le jour suivant. Le 26 septembre, après avoir eu un accord avec la famille le Dr Chaussoy décide d'arrêter toute mesure de réanimation et de lui injecter du chlorure de potassium ce qui, entraîne le décès du patient. Le 13 et 14 janvier 2004 le Dr Chaussoy et Marie Humbert sont mis en examen. Leur acte provoque un débat moral et législatif sur l'euthanasie ce qui aboutira à l'adoption

difficulté. Dans sa pratique au quotidien, il est assisté par un(e) infirmier(ère) diplômé(e) d’État Présentation du médicament « la carbocaine » : Classification pharmaco thérapeutique : Anesthésie - Réanimation : Anesthésie locorégionale : péridurale (Mépivacaïne) Anesthésie - Réanimation : Anesthésie locorégionale : infiltration (Mépivacaïne : seule ou associée à un vasoconstricteur. Indication Anesthésie locale par infiltration. Anesthésie régionale lors d'intervention chirurgicale

de la ville d'* est composé de 620 places répartis en 8 étages, tous divisés en deux pôles, une aile Sud et une aile Nord. On retrouve les services suivants ; les urgences, le service de cardiologie, le bloc opératoire, l'imagerie médicale et la réanimation au rez de chaussé. Le bloc obstétrique et la maternité au 1er étage. Les consultations de gynécologie d'obstétrique et la rééducation au 2ème étage. Les consultations d'ophtalmologie, d'ORL et de pédiatrie et le service de médecine interne B au

-Anémie traité par Fumafer. -Colistridium difficile. -Insuffisance rénale. Anamnèse: Prise en charge aux Urgences le 20/03/2009 pour tentative d'autolyse, troubles du rythme, hypothermie et déshydratation. Après avoir été hospitalisée en Réanimation, puis en Chirurgie ou elle a eue une opération pour des soins locaux d'escarre ( sacré et talonnière) survenus au décours d'un comas présumé toxique. Elle fut ensuite transféré en Soins de Suite (Ablation du VAC le 14/09/2009,Escarre Ischiatique

 I. Généralités Fréquence élevée Association fréquente : trauma facial et trauma du rachis cervical Les lésions sont évolutives : lésions primaires et phénomène secondaire (ischémie cérébrale) Aggravations parfois retardée +++ La réanimation pré hospitalière est primordiale ( La prise en charge hospitalière est spécialisée (neurochirurgie.scanner) I. Physiopathologie Boite crânienne (1900ml, cerveau =80%) Débit sanguin cérébral : 15% débit cardiaque, 20% conso O2, autorégulé Arie

-confusion -Hypotension - Dépression respiratoire, apnée -nausées /vomissement -agitation -Mesurer la PA, le pouls, la FR, la saturation, tout le long de l'administration IV. -Garder à la porter de la main l'oxygène et le matériel de réanimation Noter le degré de sédation et le niveau de conscience du patient tout le long de l'administration du méd et pendant les 2à6h qui suivent. Surveiller le site IV pour extravasation. Références Hopfer Deglin, J., & Hazard Vallerand

compétences, valeurs et connaissances qui m’on permi de définir et de visualiser la futur professionnelle de santé que je souhaite devenir. C’est pour ce but, que je souhaite orienté mon projet professionnelle en qualité d’infirmière aux urgences ou en réanimation.

Je suis en stage de nuit en réanimation chirurgicale, l’infirmière et moi prenons en charge une patiente de 65 ans, Mme P. atteinte d’un syndrome dépressif et d’une cirrhose hépatique d’origine alcoolique. Ce syndrome dépressif fait suite au décès de sa mère lors de son accouchement et à celui de sa sTmur quelques mois auparavant. Lors des transmissions, nous apprenons que son alcoolisme n’est pas sevré. Lors de notre première prise en charge, Mme P. présente une défaillance multi viscérale

ainsi prolongée garde encore son prix pour le patient lui-même, voire au-delà du point où ce dernier est encore capable de jugement. C'est là que se pose, que s'est posé le problème de l'acharnement thérapeutique. Né des réussites de la médecine de réanimation, l'acharnement thérapeutique représente bien une médecine qui refuse de s'avouer vaincue et d'accepter la mort. C'est face à de telles pratiques qu'on en est venu à réclamer un "droit de mourir", dans le cas du malade incurable, en stade terminal

conscience. Il est pris en charge par les pompiers et est transféré au CHUM au déchoquage puis transfert en réanimation pour décompensation cardiaque dans un contexte septique sans point d’appel clinique avec défaillance hémodynamique, respiratoire et rénale. Une continuité des soins dans l’unité de soins intensifs du Lamentin depuis le 26 octobre 2013 suite de la prise en charge en réanimation de PZQ pour sevrage ventilatoire. Monsieur F. Mesmin a été transfusé et eu une trachéotomie depuis trois