Récepteur couplé aux protéines G

agissent sur elle-même, par voie autocrine. On parle alors d’auto-hormone. Dans le cas particulier où l’hormone est sécrétée par un neurone. On parle alors de neurohormone. Ces différentes types d’hormones agissent sur des tissus cible via des récepteurs spécifique de l’hormone. Cette liaison se traduit par des effets biologiques consécutifs à des modifications l’activité cellulaire de ces tissus. Remarques : Certaines hormones sont aussi des neurotransmetteurs : exemple de la noradrénaline

Transduction du signal Récepteurs Stimulus Stimulus Odeurs : molécules chimiques ayant une odeur classées en  catégories Récepteurs : localisation Récepteurs : structure Lame criblée       Axone de la cellule  réceptrice Cellule basale Cellule souche en  division Cellules réceptrices  en développement Neurones récepteurs  olfactifs Cellule de soutien Glande de Bowman Cils olfactifs Neurosciences, Purves et al., De Boeck 2005 Transduction du signal :  les récepteurs Protéines à 7 domaines transmembranaires

facilitée par des perméases Diffusion par des ionophores Perméabilité active Source d’énergie Transport actif primaire Transport actif secondaire Cas des particules et des macromolécules Phagocytose Pinocytose Endocytose par l’entremise de récepteurs La communication intercellulaire Communication directe Communication indirecte Les hormones Cas des hormones liposolubles Cas des hormones hydrosolubles Notion de second messager L’AMPc comme second messager Les ions Ca++ comme second messager

Les compartiments des cellules eucaryotes Les compartiments des cellules eucaryotes o r g a n i t e s endosome cytosol lysosome appareil de Golgi mitochondrie réticulum endoplasmique peroxysome polyribosomes libres noyau membrane plasmique (Molecular Biology of the Cell, 4th edition) Les compartiments des cellules eucaryotes Compartiments intracellulaires % du volume Nombre/ cellulaire total cellule 54 22 9 6 6 1 1 1 1 1700 1 1 1 400 300 200 Cytosol Mitochondries Réticulum

 1 Introduction La glycémie est la concentration de glucose sanguin. Elle varie en fonction de différents paramètres que sont notamment l’alimentation ou l’effort physique. On constate que, chez l’homme, la glycémie normale se situe autour de 1 g/L, et que cette valeur fluctue relativement peu lors d’une journée, alors que les apports glucidiques ne sont pas les mêmes. Après un repas, le glucose est absorbé au niveau du tractus digestif et passe alors dans le sang. A distance des repas, il n’y

ciblent néanmoins que les cellules tumorales. La mortalité du cancer du sein est essentiellement due au processus métastatique, encore mal caractérisé. De récents travaux ont suggéré l’importance des chémokines et de leurs récepteurs dans ce processus, en particulier le couple CXCR4/CXCL12. Dans ce travail, nous avons étudié cette voie biologique dans une série de carcinomes mammaires afin d’évaluer son éventuel intérêt pronostique. A. LE CANCER DU SEIN 1. ÉPIDEMIOLOGIE Le cancer du sein est

en mitose. Faux : p53 intervient à G1 lorsque des lésions de l’ADN sont détectées. C. La chromatine est condensée lors de la mitose. Vrai D. L’équivalent de la cdc2 chez l’Homme est la protéine CDK2. Faux : c’est la CDK1. E. Les protéines à vie longue sont dégradées par le protéasome. Faux : ce sont les protéines à vie courte. QCM 2 : Toujours à propos du cycle cellulaire : A. Les étapes du cycle cellulaire sont, dans l’ordre : anaphase, prophase, métaphase, télophase. Faux : prophase, métaphase

lymphocytes précurseurs B en lymphocytes B matures et immunocompétents. Une mutation est une modification spontanée ou provoquée, le plus souvent héréditaire, du génome d’une cellule, d’un tissu ou d’un organisme conduisant à la synthèse d’une protéine normale ou anormale donc non fonctionnelle. Une mutation germinale de l’un des gènes responsables de la mise en place de la moelle osseuse chez les parents pourrait conduire à la formation des gamètes anormaux au terme de la gamétogenèse. A la

CNPM APNET - Pr. Vergne-Salle et Dr G. Pickering14 Palier III : opioïdes forts Agonistes purs Agonistes-antagonistes Antagonistes Dose équivalente (mg) 10 4.5 1.5 0.1 0.3 30-50 10 Référentiel CNPM APNET - Pr. Vergne-Salle et Dr G. Pickering Agonistes partiel15  3 grands types de récepteurs opioïdes μ, δ, κ ; Tous GPCR  Ligands endogènes  bloquent la transmission ou la perception des influx nociceptifs au niveau du SNC Adapted from Fields H 2001 Récepteurs opioïdesPrésentateurCommentaires de

Biologie cellulaire de l’exocytose INTRODUCTION L'exocytose est un processus fondamental dans la physiologie animale. Elle est impliquée dans des systèmes vitaux tels que le recyclage des membranes, l'export de protéines ou bien encore le couplage électrochimique de la réponse nerveuse. Son mode d'accrochage est un système ubiquitaire et comme tous les mécanismes indispensables à la vie, celui-ci a donc peu évolué au cours du temps. Certaines cellules se servent du mécanisme d'exocytose