Récepteur membranaire

granules de kératine. | Cellules polarisées : pôle basal et pôle apical. REG et appareil de Golgi importants, présence de vésicules (une seule grosse si caliciforme) | REG abondant neurofilaments, neurotubules… de nombreuses vésicules et des récepteurs neuronal | Pour les oligodendrocytes et les cellules de Schwann myéline | | Tissu conjonctif | Tissu musculaire Lisse | Tissu musculaire strié squelettique | Tissu épithélial (revêtement) | Tissu épithélial glandulaire | Tissu nerveux |

lymphocytes B (immunité humorale) Réaction primaire -> Première rencontre avec l’antigène L’antigène se lie donc au récepteur membranaire d’un lymphocyte spécifique (les lymphocytes qui n’ont pas ces récepteurs sont inactifs). Les récepteurs et les lymphocytes sont différents. Chaque récepteur est spécialisé pour un agent pathogène. Même si les agents pathogènes sont mortels, les récepteurs ne pourront rien y faire, car ce n’est pas leur travail spécifique. Ensuite, place à la prolifération pour former

PROTEINE PERIPHERIQUE = PROTEINE EXTRINSEQUE MEMBRANE PLASMIQUE = BI-COUCHE LIPIDIQUE PROTEINE TRANSMEMBRANIRE = PROTEINE INTRINSEQUE Contient : – Protéine : 55% : – Traverse la membrane plasmique de part et d’autre : protéine trans-membranaire (intrinsèque) – Localisé sur une seule face de la membrane plasmique : protéine périphérique (extrinsèque). – Lipides : 35% – Phospholipides : Bicouche – Cholestérol : stabilisateur de la membrane plasmique – Glucides: 10% – Polysaccharide

Chapitre 1: MECANISMES D’ACTION DES MEDICAMENTS comment caractériser la liaison médicament-récepteur ? Objectifs: − Savoir définir un récepteur et le caractériser. − Savoir définir et caractériser un agoniste et un antagoniste. − Etre capable de décrire et interpréter une courbe dose-réponse. − Utiliser la quantification de l’effet pharmacologique pour comparer entre elles, les différentes spécialités au sein d’une même famille thérapeutique. Pour atteindre les objectifs, il est nécessaire

terminaison axonale qui va être responsable du mécanisme de libération de l'acétylcholine. Celui-ci se trouve dans la fente synaptique et va diffuser. Elle va d'un point de vue physique, entrer en contact avec des récepteurs à l'acétylcholine. Ces récepteurs sont des protéines membranaires qui sont constitutives du sarcolème. Elles sont des canaux cationiques cad que ces canaux vont être en capacité de laisser passer du sodium, potassium et calcium. Ils sont chemo-dépendants ou canaux chimiodépendants

par ces cellules se fait au moyen de récepteurs qui reconnaissent des motifs moléculaires caractéristiques des micro-organismes. On parle de PRR1 (Pattern Recognition Receptor) pour désigner ces récepteurs cellulaires capables de reconnaître des motifs moléculaires caractéristiques des pathogènes, motifs appelés PAMP (Pathogen Associated Molecular Patterns). Les PRRs sont exprimés par toutes les cellules de l'immunité innée. Certains PRRs sont membranaires, d'autres sont cytoplasmiques, ce qui

Quand un neurone est au repos, on observe des concentrations différentes en ions entre l’intérieur et l’extérieur de la cellule. Lors du passage de l’influx, des canaux membranaires à Na+ s’ouvrent Après le passage de l’influx, des canaux membranaires à K+ s’ouvrent Pour revenir à la situation initiale, un dispositif membranaire (la pompe à ions) prélève des ions Na+ à l’intérieur et les jette à l’extérieur et prélève des ions K+ à l’extérieur et les jette à l’intérieur. Il y a donc un retour à

membrane interne séparées par un espace, l’espace inter membranaire ou chambre externe. Ces deux membranes jouent des fonctions essentielles pour la cellule, un rôle de squelette pour la mitochondrie. Elles sont en effet élastiques, flexibles et stables. La membrane externe La membrane a une structure tri lamellaire : elle est constituée par 60% de protéines et 40% de lipides. Elle est très perméable. Elle contient : * Des porines, Des récepteurs, Des appareils de translocation  des protéines à

Suppression des pointes-ondes par les médicaments antiépileptiques efficaces contre les absences chez l’homme. Modèle d’épilepsie du lobe temporal (ELT) -Etat de mal provoqué chez le rat ou la souris par l’injection d’acide kainique (agoniste des récepteurs glutamatergiques) dans l’hippocampe. -Des crises épileptiques chroniques se développent quelques semaines plus tard. On observe alors : - Convulsions, arrêt du comportement ou stéréotypies associées a des pointes-ondes dans l’hippocampe

hydrothermal, dossier sur les Alpes (Cf Chenaillet…) Hormone, glycémie, cellule cible, récepteur, glande endocrine, complémentarité spatiale hormone-récepteur, système réglant, système réglé, effecteur, paramètre, communication hormonale, codage en concentration d’hormone, communication nerveuse, neurone. ADN, gène, allèle, nucléotide, acides aminés, protéine, transcription, traduction, récepteur membranaire, complémentarité spatiale, mutation, ARN. Quelques conseils méthodologiques pour l’année