Récession

paragraphe est que la protection sociale amortit la récessions avec l'exemple du choc pétrolier en 1975 qui a touche la France, et sa diffère du premier paragraphe car sa montre que la protection sociale joue un rôle important dans la croissance économique et sa amortit les récessions. 2) Le lien est que la protection sociale est un atout en France pour soutenir la consommation, pour augmenter la productivité mais aussi pour amortir les récessions. 3) Protection sociale-----> augmentation productivité------>soutenir

Une crise économique débute souvent par un krach, mais ses répercussions sont plus larges : la période de récession alors engagée se traduit souvent par une montée du chômage, de nombreuses faillites, des tensions sociales et souvent par des baisses de salaire et de pouvoir d'achat. Depuis les années 1960, l’économie capitaliste s’essouffle. Le 1er choc pétrolier de 1973 puis la récession de 1974 ont plongé le monde dans une crise économique. A la fin des années 1960, apparait plusieurs problèmes

il augmente de 18% en valeur cette même année. Cet écart de 10 ptns s’explique par une forte inflation (le PIB en valeur prenant en compte l’effet des prix). En outre, le PIB en volume diminue fortement à partir de 1973, cette période de forte récession puis de dépression s’explique par le premier choc pétrolier et ses effets sur la production française. Ainsi, alors qu’en 1973 le PIB en volume augmente d’environ 7%, il diminue de 1% environ en 1975 : la croissance Française vit sa première dépression

Impact de la crise sur l'emploi et les salaires en France En 2009, la France a connu la récession la plus sévère depuis la seconde guerre mondiale, avec une contraction du PIB de 2,6 % (contre 0,9 % en 1993). Ce numéro de Trésor-Éco décrit l'ajustement du marché du travail pendant la crise, en exposant notamment les caractéristiques des personnes qui ont été les plus affectées par celle-ci. La récession s'est traduite par d'importantes pertes d'emplois dans les branches principalement marchandes

Augmentation du prix des actions et augmentation du prix de l’immobilier. Malgré que les banques soient notées AAA, elles s’effondrent : aug du chômage x3, récession due à la faillite de LEHMAN Brothers et de l’éfondrement d’AIG. Lehman Brothers et AIG ont déclenchés la plus grosse baisse de l’histoire des courts de marchés : * Récession mondiale * Dette publique des USA x2 I. Les raisons de la crise des subprimes L'industrie financière américaine a été réglementé de 1940 à 1980

étendue sectorielle, temporelle et géographique peut aller d'un seul secteur d'une seule région pour une brève période à l'ensemble de l'économie mondiale pendant plusieurs années ; on parlera alors de ralentissement économique ou, plus grave, de récession économique. Une telle crise comporte souvent (mais pas systématiquement) des répercussions sur le niveau des salaires et la valeur du capital (valeurs boursières), provoque des faillites et du chômage, accroît les tensions sociales et politiques

rééducation de la croissance, cette crise économique de 2008, se traduit par une récession à partir de décembre 2007. Des plans de relance de l'économie ont été engagés en novembre 2008. Dans la zone Euro, l’Irlande, l'Italie, Le Royaume Uni, l'Espagne sont entrés en récession. Les États Unis sont entrés en récession en décembre 2007 avec une aggravation très nette en octobre 2008, la France elle entre en récession le 15 mai 2008. Les ménages sont très touchés par la crise mais surtout par la

tout le monde aujourd’hui est de savoir dans quelle mesure il est possible d’envisager une sortie de la crise actuelle. Quels sont les moyens qui permettront d’atteindre cet objectif ? Là encore les avis divergent, mais après plus de trois ans de récession, il est possible de dresser un bilan des mesures déjà mises en places. De plus, face à l’inefficacité caractérisée de ce qui a été fait jusqu’alors, il est légitime d’envisager un certain nombre d’autres mesures. Nous étudierons donc dans une

La récession actuelle (ralentissement voire baisse de l’activité économique) confirmée par l’OCDE, -0.2 % de croissance du PIB de la zone euro au troisième trimestre 2012, laisse craindre une spirale déflationniste que les plans de relance mis en œuvre en 2008-2009 avaient repoussée. La demande globale reste atone, les consommateurs et les entreprises ont des anticipations négatives et les institutions financières ne semblent pas disposées à faire croître massivement leurs crédits. Les crédits

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 RETOUR SUR LA PRÉCÉDENTE PRÉVISION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 DOSSIER • Comment s'expliquent les écarts de performance en Europe pendant la récession . . . 21 CONJONCTURE FRANÇAISE • Environnement international de la France . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51 • Échanges extérieurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .