Reflet Déformé De La Société

de l'art ?     S’il est une idée qui semble aller de soi aujourd’hui, c’est bien que l'idée que l’art est un  moyen d’évasion. Elle va tellement de soi, que la plupart d’entre nous ne faisons même plus la différence entre les productions de la société de consommation qui ont pour vocation le divertissement et les créations artistiques qui impliquent, de la part de leur créateur, comme de la part de l’amateur d’art, un véritable investissement, voire une vraie passion. Nous voyons dans l’art une

pratiquement consensus, ce qui semble important c’est de découvrir ou redécouvrir leurs origines. A partir du contexte de leur naissance, on pourra ensuite se pencher sur la façon de mieux les faire connaître et partager sans les déformer par le prisme de notre société actuelle. En effet, l'enjeu majeur de ce débat sur l'identité nationale est le maintien de la cohésion de la nation. Cette cohésion passe par la transmission de nos valeurs fondatrices afin de refaire de notre République une «

rigoureuse et sensible.· Ici, le mythe est encore fait de vrais et de faux, de vérités et de mensonges et il apporte un enseignement utile (doctrine physique ou théologique ou le souvenir d’événements du temps passé.· Le faux est le vrai qui a été déformé. Il est alors possible par l’étude du mythe de rendre au texte de la plus ancienne histoire son sérieux politique. Polybe ou Aristote ont réussi à retrouver le sens originel d’Eole ou du Minotaure.· Passer du mythe à l’histoire : rectifier des erreurs

L'Essai sur le récit, en 1776, de Bérardier de Bataut relève de ce même intérêt tardif pour les poétiques classiques. Les bouleversements politiques et sociaux qui eurent lieu à la fin du XVIIIe siècle et tout au long du XIXe siècle, l'avènement de la société industrielle ont suscité une mise en question radicale de l'homme, qui éprouva soudain un doute vis-à-vis du monde et de lui-même. Le principe de l'unité éclata et la poésie rendit compte de cet éclatement. Les romantiques ont lancé le premier cri

caractère irrationnel et impulsif reflète bien celui de la foule. Cette infériorité à la fois physiologique et psychologique se veut justifiée scientifiquement par les thèses médicales de l’époque. On voit les femmes comme instigatrices de la violence, et le mythe de la « femme castratrice » apparaît. On redoute donc la figure féminine, qui porterait atteinte aux privilèges masculins. L’émancipation de la femme est vue comme conduisant au chaos total de la société et les mouvements féministes qui

œuvre : d'abord parce que ses articles sur l'affaire en font pleinement partie. Ensuite parce que l'affaire, justement, vient confirmer une tendance de l'écrivain : Zola, désormais, accepte le combat « politique » au sens large du mot, pour une « société future (qui) est dans la réorganisation du travail », pour une « future Cité de Paix », annoncée évidemment par les Quatre Évangiles. Le naturalisme de Zola devient une sorte de messianisme laïque : l'évolution était prévisible depuis la fin des Rougon_-Macquart

complices : le combat n’est pas l’affrontement mais le règlement de compte. 2 Règlement de compte c’est faire vivre l’autre comme une nullité, lui voler son être (A crée B et le tire du néant puis l’y replonge à sa guise donc A donne à B la vie d’un pur reflet). 3 D’où le trouble et la frustration qui peut se matérialiser par la déviation c’est à dire recevoir marques d’amour qui n’est pas pour eux). 4 Dont arme commune est le regard car désorganise (Andromaque fait des reproches cachées et masque l’agression

nous fait assister à la déconstruction du langage d’une société. L’individu et sa subjectivité est au centre de la scène, seul. Normand Chaurette est un auteur qui explore la fin des origines et l’impossible vitalité du désir dans les limites de cette finitude. Le lieu théâtral est l’acteur, donc l’univers de l’intimité, recroquevillé sur lui-même, qui questionne son discours et son public, tout comme il questionne son rôle dans sa société et sa littérature. À l’aube des années 1980, les dramaturges

l’argent, il a le pouvoir, il a la voiture, il aura la femme. » Pour tenter de faire passer ses messages, il ne fait aucun doute que la publicité joue sur de nombreux stéréotypes dont, bien évidemment, celui concernant l’image de la femme dans la société. C’est ainsi qu’on retrouve, de façon récurrente, certains clichés la concernant. Tour à tour épouse, mère, ménagère, business woman, femme ou objet sexuel, la voici écartelée entre une multitude de rôles à tenir au quotidien. Ici, la femme, en tant

Marker est que l’objectivité est plus fausse encore que les deux points de vue partisans et il le signale lui même dans la suite de son commentaire : « l’objectivité non plus n’est pas juste. Elle ne déforme pas la réalité sibérienne, mais elle l’arrête, le temps d’un jugement, et par là elle la déforme quand même. Ce qui compte c’est l’élan et la diversité ». A movie, Corner. =>Un film est un film de collage 1958 expérimental dans lequel Bruce Conner mis en place des bribes de found footage