Reflet Miroir De La Société

Donner à voir : référence à la dimension visuelle du spectacle (étymologiquement : ce qui est offert au regard) par l’emploi du terme «aspect» (l.26) et des métaphores «présenter..un miroir» (l.24) «montrer..son portait, son visage» (l.25) = représentation métaphorique ➔ Reflet du réel : image du miroir = reflet fidèle de la réalité + «son portrait» «son visage» (l.25) : emploi de l’adjectif possessif pour rappeler la présence d’un destinataire §2.Fonction morale ➔ Tradition : rappel de fonction

impact sur la civilisation contemporaine. Ces documents nous conduisent à nous interroger plus particulièrement sur le spectacle du sport et le reflet des travers de notre société qu’il nous expose. Pour traiter cette problématique nous verrons tout d’abord la place du spectacle sportif dans la société pour voir dans un deuxième temps quels problèmes de société le sport nous révèle. Nous développerons ce sujet grâce aux différents éléments proposés. Tout d’abord le document 1, article du journal Libération :

inférieur. ¤ le miroir =) symbole d’apparence Ex : scène ou la marquise reçoit Belle roche corridor de miroirs. Reflète aussi les multiples points de vue d’un personnage. - présence du miroir dans une scène capitale lors de la rupture comme si il avait peur d’affronter le regard. Costumes : - jamais décrit précisément - James Ackeson - multitude de costumes, beaucoup de choix ; change beaucoup de fois. Pour les 2 séducteurs. =) caractéristique haute société du XVIIIe période de

sociale, reflète le conformisme (bien pensé, tel que la société veut qu’on l’entende). -> Termes dépréciatifs : « saleté repoussante », « lamentable ». - exclamation hyperbolique : « quel désordre ! » -manque de dynamisme : adverbe « mollement » -> portrait négatif, éléments négatifs qui passent par le regard de Jean -> objectif BERENGER : décontracté, laxiste, n’aime pas la société, plus de personnalité que Jean (rebelle). C’est un danger du conformisme social (car il ne suit pas la société), alcoolique

romantique ; et pour finir nous verrons que Julien Sorel est le portrait des mœurs de la société de l’époque. I) Place de la religion dans la vie de J. S. : a) un brillant élève : Julien étudie la théologie et grâce à sa surprenante mémoire, il connait la bible par cœur en latin. Il devient précepteur auprès des Rênal et fait très vite progresser l’ainé des enfants en catéchisme. b) séminaire : miroir de la société Il rentre ensuite au séminaire. L’Abbé Pirard devient son modèle car il comprend l’ambition

même important de pouvoir découvrir autre chose que des personnages exceptionnels. La lecture d'un roman dont le personnage est un être ordinaire permet de s'identifier à lui, « personnage miroir » de ce qu'ils sont et renvoyer une image proche du réel. Grace à ses traits de caractères, le reflet de sa société mais encore son physique et sa mentalité. Il est très probable de se reconaitre en lui, c'est ce qui est montré dans Madame Bovary, le personnage de Madame Bovary n'est pas exceptionnel, c'est

dès qu’un fait est raconté, la voix perd son origine, l’auteur entre dans sa propre mort. L’exemple est frappant dans les sociétés ethnographiques, où le récit n’est jamais pris en charge par une personne, mais par un médiateur, un shaman : on peut de lui admirer la « performance » mais jamais le « génie ». L’auteur est un personnage moderne, produit sans doute par notre société dans la mesure où, au sortir du Moyen-Âge, avec l’empirisme anglais, le rationnalisme français et la foi personelle de la

symboliquement une société en miniature et donc un microcosme. (Petit monde). Or comme dans la société tout est cloisonné, il n’y a pas de passerelle possible, le grillage fermé étant ce cloisonnement invisible, ce fossé infranchissable qui n’empêche pourtant pas les uns et les autres de s’apercevoir, de se regarder, ce qui est déjà un contact, et même par exception de communiquer, ici par le jeu. Si les barreaux sont symboliques, le château et la route le sont aussi. Le chateur reflète la position solide

illustrés par le personnage de Dorian Grey. Portrait d'un homme obsédé par sa propre image, un martyr grec sacrifié à la jeunesse et la beauté → Adonis, Narcisse. Un vœux insensé qui se réalise. Vie de débauche associé à l'homosexualité (vision de la société?). Dorian Gray découvre la réalisation de son vœux : Sibyl Vane est le déclencheur par son suicide. Symbolique de la salle de jeu d'enfant → il vieillit là où il a grandit. Lord Henry → manipulateur, psychologie : il croit tromper et influencer

L’Île des esclaves , nous nous demanderons comment, à travers un portrait caricaturé d’Euphrosine, Marivaux critique-t-il plus largement la société mondaine du XVIIIème ? Nous verrons dans un premier temps, le portrait caricatural de la coquette, qui mène dans un second temps à une critique comique d’une société aristocratique et hiérarchisée, le tout à travers divers procédés. Premièrement, le nom Euphrosine ( ou Euphrosyne ), « gaieté » ou encore « joie » en grec fait