Reflexion Sur La Nature Humaine Les Essai De Montaigne

politique) souci de l’enseignement : former des esprits universels et modernes, parfait d’un point de vue intellectuel, moral et religieux. (Érasme, Rabelais, Montaigne) nouveaux genres littéraires : tragédie, comédie classique, sonnet... promotion des langues nationales (notamment le français) Rabelais : Pantagruel et Gargantua Montaigne : Essais Pléiade (Ronsart et du Bellay) Traits majeurs • • • • • Auteurs • • • Baroque Langue commune Bizarre, excentrique, surchargé... Non lié

se sent pas les moyens de le résoudre. Le doute témoignealors d'une incapacité, d'une impuissance. Les philosophes sceptiques, disciples de Pyrrhon,considèrent justement que l'esprit humain est incapable d'atteindre aucune connaissancecertaine. La devise sceptique peut alors se résumer dans la question de Montaigne "que sais-je?", même pas dans l'affirmation "je ne sais rien", parce que ce serait reconnaître que l'onsait au moins une chose. Leur attitude, plus précisément que le doute, est celle

le lecteur en jouant sur les émotions; la sensibilité, la subjectivité sans forcément utiliser des preuves contraintes. Dans un premier temps, il est important d’étudier l’argumentation directe. Elle est surtout utilisé dans un Discours, un essai ou traité et la correspondance d’idée. Tout d’abord, quand l’auteur veut interpeller le lecteur il fait appel alors au registre polémique et à la satire et pour cela il utilise le discours. Le discours est un texte qui par le ton familier se rapproche

vient du grec «poiein» qui signifie: faire, créer. Les reflexions poétique s'appuient sur les anciens. Planton s'appuir sur une maïeutique (art d'accoucher des pensées) comme par exemple «Dialogues» (427-356 av JC). L'antiquité est une source de référence pour les orateurs: - Demosthène (284-322 av JC)- Cicéron (106-43 av JC) Pour les historiens: - Jules César dans «Commentaires sur la guerre des Gaules» qui sera ensuite appuyé par Montaigne, Rousseau... Pour les critiques et les lecteurs: -

le succès non démenti de l’argumentation implicite III) …ou frein à la transparence de la réflexion ? A- l’intertextualité, les références à l’actualité : la nécessité de la contextualisation B- le danger du vieillissement de la langue Introduction La littérature a joué et jouera incessamment un rôle majeur dans l’évolution des idées et des sensibilités des sociétés humaines, car l’œuvre littéraire ne saurait strictement procurer une jouissance esthétique et constituer

GROUPEMENTS DE TEXTES ARGUMENTATIFS OBJET D’ETUDE : LA QUESTION DE L’HOMME DANS LES GENRES DE L’ARGUMENTATION DU XVIEME SIECLE A NOS JOURS Réponses aux questions sur les textes du groupement n°1 Texte 1 : Michel de Montaigne, auteur humaniste du XVIème siècle, déplore dans ses Essais (1580) que l’enseignement traditionnel soit essentiellement basé sur la répétition des mêmes choses. Il le compare à une forme de gavage : « comme qui verserait dans un entonnoir » (l.1). Il déplore par ailleurs que

ne sait rien ; tant mieux ! Il ne citera pas », fait dire Stendhal à Ninon de Lenclos dans sa correspondance. Ce mépris ne peut cependant faire oublier la haute estime dans laquelle les siècles passés ont généralement tenu les citations. Montaigne, dans ses Essais, défend l’usage qu’il en fait avec une modestie qui n’a d’égale que la vigueur de sa pensée : « Car je sais faire dire aux autres ce que je ne puis si bien dire […] tantôt par faiblesse de mon langage, tantôt par faiblesse de mon sens. »

tolérance B. Le champ de la problématique de la tolérance 2. Les grandes œuvres de la philosophie de la tolérance A. Les traités philosophiques sur la tolérance (Bayle, Locke, Voltaire) B. Quelques œuvres philosophiques traitant de la tolérance (Montaigne, Montesquieu, Herder, Rousseau) 3. Les philosophies de l’altérité A. Les courants « exotiques » (Chateaubriand, Loti) B. Les courants ethnologiques (Ségalen, Lévi-Strauss, Clastres) 4. Les philosophies contemporaines de la tolérance A. Les multiculturalismes

(la formule déjà signalée « donne une raison de vivre // à ceux que tout semblait inviter au trépas » en témoigne ; analyser de ce point de vue les allusions à l’Occupation, souffrances et privations, oppression (métonymies antithétiques de la voix humaine (pour le poète) et des « cuivres » (connotant la violence claironnante de l’occupant et son manque de raffinement) ; repérer les nombreux termes qui relèvent du registre tragique ( « feuilleton sinistre », « trépas », « bruits de chaîne », « chemin

dessins et schémas : prouvant la volonté de l'auteur à donner un aspect scientifique à sa thèse. Présent de vérité générale : jusqu'au 3 eme paragraphe : faits historiques Le vocabulaire et champ lexical : anatomie humaine et celle de l'animal ⤷ comparaison constante humain/animal L'apparence scientifique : ⤷ Description précise ("4 cornes.. etc) ⤷ Connecteurs ("parce que…" etc) : explicatif ⤷ "mais" exemples et exceptions ⤷ apparence logique