Reflexions Ou Sentences Et Maximes Morales François De La Rochefoucauld

époque où les grands genres se définissaient par des règles spécifiques et strictes? Le mot « moraliste » marque un retard considérable sur ce qu'il nomme. Si Sénèque se qualifiait géné ralement, comme Cicéron, de « sage », ni Montaigne, ni La Rochefoucauld, ni La Bruyère ne s'appliquent à eux-mêmes le terme de « moraliste », qui figure dans le Dictionnaire de Furetière (1690), mais non dans celui de Richelet (1680), ni dans celui de l'Académie (1694). Dès l'origine, un certain flou s'attache au vocable

classique, comme une représentation la plus achevée du roman classique au XVII. Madame de La Fayette s’inscrit dans le Classicisme (1640-1715).Elle s’inscrit où l’âge classique est fortement imprégné de la pensée janséniste. Elle a fréquenté François de La Rochefoucauld. La mère de la Princesse de Clèves est le personnage considérée comme le personnage le plus proche de la pensée janséniste : C’est Madame de Chartres. Le Jansénisme est une hérésie du catholicisme, c’est une partie des catholiques qui

mais stoïcien à lier »21. « une figure d’adolescent que les livres emportent dans un monde héroïque bien loin des réalités quotidiennes et domestiques dont, sans doute, ils lui font prendre en dégoût la platitude »22. 21 22 « physionomie morale de ce sage hélas ! trahi par la Destinée. En plein crépuscule de la voluptueuse Régence, quelle merveilleuse rencontre que celle de ce ‘stoïque humanisé’, de ce nouveau chevalier sans peur et sans reproche, bref, de cet être d’élite qui fait songer

La metamorphose dans les Maximes de La RochefoucauldLA MÉTAMORPHOSE DANS LES MAXIMES DE LA ROCHEFOUCAULD Éric Tourrette Presses Universitaires de France | « Dix-septième siècle » 2015/2 n° 267 | pages 281 à 306 ISSN 0012-4273 ISBN 9782130650959 DOI 10.3917/dss.152.0281 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-dix-septieme-siecle-2015-2-page-281

théâtral: le Théâtre 3. Le genre poétique: La poésie Nous aborderons dans cet exposé la première partie : La prose Le roman, la nouvelle, le conte, la fable, le mythe, la légende, l’autobiographie, la lettre, le discours, l’essai, le manifeste, la maxime sont généralement écrits en prose. 1-Le roman C’est le récit le plus long. Il est composé de passages narratifs, de dialogues ou discours et de descriptions (portraits et paysages. Et, se subdivise en: - Roman d’aventure - Roman de cape et

S Problématique : comment la folie est-elle représentée dans les romans ? Pourquoi les auteurs choisissent-ils de l’incarner ? Lectures analytiques 1 - Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, 1782. 2 – Honoré de Balzac, Adieu, 1830. 3 – François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, 1927. 4 – Marguerite Duras, Le Ravissement de Lol V. Stein, 1964. Lecture cursive au choix : Les Liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos - Lambeaux, Charles Juliet. Lecture complémentaire : Emile Zola, « la folie

prudent et ferme." Démocrite, Les penseurs grecs avant Socrate. "Le désir de paraître habile empêche souvent de le devenir." La Rochefoucauld, Réflexions ou Sentences et Maximes morales. "Nous gagnerions plus de nous laisser voir tels que nous sommes, que d'essayer de paraître ce que nous ne sommes pas." La Rochefoucauld, Réflexions ou Sentences et Maximes morales. "La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme." Voltaire. "Le souci de sa propre image, voilà l'incorrigible immaturité

sous entend, «  une litote »= figure d’atténuation, on ne dit pas clairement car on ne peux pas clairement nommer le lieu par pudeur, même si tout le monde en parle. - Toute catégorie sociale est représenté dans le roman. - Lieu redouté par la morale, un lieu à risque qui fait peur (2ème paragraphe) « la turque ». - Obsession secrète de tous les ados (1er paragraphe). XIXe siècle passage obligé pour tous les jeunes homme de l’époque avant de se « ranger ». - Quel est le point de vue de l’auteur 

tout en sachant qu’il faudra perdre contre elle. Il faut savoir que même si la mort est terrible et totale, elle est tout aussi instructif, c’est ce qu’a compris Jean de la Fontaine dans sa fable « La Mort et le bûcheron », où il nous donne une morale très intéressante : quelle que soit la peine d’un Homme, la mort est la dernière solution aux problèmes. Et cela s’illustre dans la phrase qui fait aujourd’hui figure de proverbe : « Plutôt souffrir que mourir C’est la devise des hommes. »

pouvait se glorifier. La Princesse de Clèves qui fut par la suite attribué à Mme de Lafayette peut être considéré comme une œuvre collective. Il est probable qu'elle se soit fait conseiller par  l'un ou plusieurs des auteurs suivants : son ami La Rochefoucauld; Segrais, qui avait publié en 1656, Les Nouvelles françaises ou les Divertissements de la Princesse Aurélie ; Huet, un théoricien qui avait publié de l'origine des romans . On évoqua aussi Mme de Sévigné, une amie intime de Mme de Lafayette .