Réflexions ou sentences et maximes morales

droit. Et elle occupe une place importante dans la formation de juriste/philosophe du droit. On n'étude pas l'histoire du droit par pure curiosité; mais plutôt pour réflechir. Le droit positif lui, est obsolète et doit être accompagné d'une reflexion. Les réformes actuelles ne dureront qu'un instant et ne seront mmême pas retenues par l'Histoire. Les règles anciennes, elles, sont souvent d'une très grande qualité. Elles peuvent servir de modèle, de cadre, et supportent très bien la comparaison

les entoure. À force d’observer la nature et les hommes, ils développent à leur sujet une réflexion rationnelle. Il y a chez eux une volonté de comprendre et d’expliquer les phénomènes auxquels ils sont confrontés, d’en déterminer la cause et le sens. De l’étonnement à la compréhension du monde et des hommes, les philosophes de l’Antiquité ont progressivement posé les bases, et plus encore, de toute la réflexion philosophique à venir. C’est à la découverte de cette formidable aventure intellectuelle

considérée positivement (comme causalité d’un être, en tant qu’il appartient au monde intelligible) et de l’existence de Dieu. Le premier découle de la condition pratiquement nécessaire d’une durée appropriée à l’accomplissement complet de la loi morale ; le second, de la supposition nécessaire de l’indépendance à l’égard du monde des sens et de la faculté de déterminer sa propre volonté, d’après la loi d’un monde intelligible, c’est-à-dire de la liberté ; le troisième, de la condition nécessaire

pas tenir ses promesses. Le résultat de tous ça c’est dans un premier tps, d’un sentiment de vide, Castoriadis parlera d’un sentiment d’insignifiance générateur d’un besoin de comprendre et de donner naissance, d’où l’intérêt pour la philosophie morale. B/ une approche irremplaçable Elle doit répondre au soucie de comprendre. Comprendre qu’il faut distinguer d’expliquer. Comprendre est un effort plus vaste qui vise à non seulement rendre sens mais à réinscrire l’objet dans son contexte.

capables d’appliquer et parfois même de produire des règles, nous sommes souvent à peine de « définir » le droit. Cette méconnaissance du droit (des théories générales du droit) se double d’une ignorance d’une « philosophie du droit », càd d’une réflexion (au second degré) sur les théories du droit. Il y a donc la nécessité tout à la fois de l’étude des théories du droit, et de celle d’une philosophie du droit. Etant donné que les théories générales du droit ont fait objet d’un autre cours (Introduction

règne de l'empereur byzantin Justinien, qui y mit un terme en 52919. Vers -380, Platon aurait initié le mathématicien Léodamas de Thasos à l'usage de l'analyse en géométriep. 27,20,p. 28. Vers -370, Platon traversa, selon Léon Robin21 ou Pierre-Maxime Schuhl, une longue crise intellectuelle, durant laquelle il s'interrogeait sur sa théorie des Idées (interrogation qui traverse les dialogues du Parménide et du Sophiste)22. Il prit conscience de la difficulté d'association (μέθεξις / méthexis), non

danger moral des passions théâtrales. La querelle sur la moralité du théâtre soulève plusieurs questions : d’où vient que le spectacle de la douleur soit au théâtre source de plaisir, et comment se fait-il que nous puissions éprouver de la compassion pour des êtres imaginaires ? Le théâtre n’était-il pas une école de mensonge par opposition à un art oratoire au service de la vérité ? Comment en fonder l’évidence afin de concilier la rhétorique des passions avec les vérités de la morale et de la

 que ceux­ci peuvent, aujourd’hui, se dire « mourides », comme d’autres se disent qâdirites ou tidjânites.  Les masses populaires ont été attirées par la vertu charismatique de ce guide qui leur offrait un Recours (ghawth), et qui leur proposait, simultanément, une morale sociale de rechange, en un temps où les structures anciennes achevaient de s’effondrer, sous l’impact de l’islamisation elle­même, ou de la colonisation.  A ces éléments conjoncturels, il faut ajouter un facteur permanent : celui déjà prodigieuse force d’expansion libérée par la Mystique

: elles sont liées aux peurs et sera marquées par un recul des échanges et surtout par un repli de l’aristocratie vers les campagnes, vers les grands domaines agricoles, ces derniers seront suivis par ceux qui ont besoins de protection. crises morales : elle est très profonde. Le peuple du bas empire se complet dans la facilité, il manque de vigueur, ils se complets dans les jeux du cirque et de combats (gladiateurs) en abandonnant la démocratie. En 476, c’est la chute de Rome ; l’empereur Romain

cités grecques, fait fourmilier à travers la Grèce les expériences des cités. Donc comme on a une juxtaposition de cités indépendantes, on a eu très souvent l’évolution et mutations de régimes. Donc les contemporains avaient leurs « laboratoires de réflexion »  sur place. La politique, d’Aristote La République, de Platon Le stoïcisme ... Chapitre 1 : L’Etat cité, et les principaux courants d’idées politiques jusqu’au IVème siècle avant JC. La donnée majeure : c’est cette organisation autour