Refus global

tandem Duplessis-clergé n’épargnait pas les assoiffés de réformes et de liberté, pas plus que ne l’avaient fait avant les Taschereau ou les Godbout. Parmi ces « assoiffés » de liberté se trouvaient des artistes comme Paul-Émile Borduas qui a vu son Refus Global censu-ré par les journaux et qui fut congédié par L’École du Meuble. C’est au début de cette période que Gabrielle Roy allait publier, à sa manière, un véritable manifeste social—écrit en filigrane dans Bonheur d’occasion; un portrait de société

En attendant d’être mis aux enchères à Toronto, le 27 novembre, quelques trésors artistiques signés par de grands artistes canadiens tels Riopelle, Pellan et Molinari seront brièvement exposés à la Galerie Heffel de Montréal. Parmi les 142 oeuvres présentées lors de cet événement, qui pourrait rapporter entre 8 et 11 M$, on compte également des pièces d’Emily Carr, Clarence-Alphonse Gagnon, Paul-Émile Borduas, Jack Hamilton Bush, William Kurelek et Jeff Wall. «Ce sont toutes des oeuvres de

Le 9 août 1948, la publication du Refus global déclenchera une nouvelle façon d’écrire chez plusieurs auteurs de l’époque. Ce manifeste est signé par seize membres de la communauté artistique québécoise et le mouvement qu’ils souhaitaient implanté est caractérisé par une forte critique de l’Église et de la société conservatrice présente depuis la période de la Grande Noirceur. Les auteurs invitent également les québécois à s’ouvrir sur le reste du monde. Cette

et poètes québécois tel que Jean Charles Harvey né en 1891 et Paul Émile Borduas né en 1905, ont écrit des manuscrits, œuvre et roman pour illustrer comment était la situation du XXe siècle. Les demi-civilisés (1934) de Jean Charles Harvey et le refus global (1948) de Paul Emile Borduas en sont de bons exemples. Sujet posé : Il est vrai de dire que ces deux textes apparaissent comme un cri de révolte dans le paysage culturel et littéraire du XXe siècle. Sujet divisé : Premier paragraphe : Gradation :

Meurent, modèle préféré de Manet dans les années 1860, pose pour ce nu jugé à l’époque comme le plus scandaleux des nus féminins jamais peints. Si l’œuvre est acceptée au Salon de 1865, c’est que le jury craint l’organisation d’un nouveau « Salon des refusés », comme en 1863. Mais elle fut ridiculisée et injuriée avec une rare violence, ce qui affecta Manet, qui cherchait à s’inscrire dans la suite des maîtres du passé. Certains pourtant, comme Zola, surent déceler la modernité de cette œuvre offerte

l'instabilité. Il étudie quelques temps dans l'atelier de Couture puis effectue de nombreux voyages, qui inspireront son oeuvre. Il propose ses toiles au Salon qui souvent, les rejette. Il accueille donc avec enthousiasme la création du Salon des refusés, où il peut exposer son très célèbre Déjeuner sur l'herbe (1862). Les critiques sont scandalisées par son audace mais Manet s'entoure vite des plus grands artistes de son temps (Monet, Baudelaire, Zola, Renoir...). En 1865, Il expose Olympia, qui

différentes défaillances : l'autosatisfaction, l'orgueil, la trop grande ambition. Il expose aussi les angoisses et les réactions face à la critique. On voit donc apparaître deux groupes d'artistes : ceux qui réussissent et ceux qui échouent. Salon des refusés : on y expose les œuvres avant-gardistes. Claude y expose sa peinture représentant un homme vêtu allongé dans l'herbe entouré de baigneuses nues. Le modèle sera Christine. Autres Christine : Elle a vécu une triste enfance au Clermont. Elle a été au

III.Présentation et commentaire d’une œuvre personnelle. L’Olympia,Manet,1863 1)Présentation de l’œuvre L’Olympia est un tableau réalisé par Édouard Manet en 1863 et conservé au musée d'Orsay. Ce tableau est refusé au Salon de 1863. Manet ne le présentera pas au Salon des Refusés de 1863. L'œuvre sera finalement acceptée et présentée au Salon de 1865. L'œuvre, qui allait susciter un scandale encore plus important que le Déjeuner sur l'herbe, représente une femme nue, le pied gauche encore chaussé

Le salon des refusés Introduction : En 1863, le jury du Salon Officiel de peinture et de sculpture (désigné par les membres de l'Académie), refusa plus de 3000 œuvres sur 5000. À l'époque, le Salon était la seule façon pour un artiste d'acquérir une reconnaissance officielle. L’empereur Napoléon III, sur conseil de Viollet-le-Duc, décida qu’une exposition des refusés se tiendrait au Palais de l’Industrie. Le Salon des Refusés, remplis d’œuvres en opposition avec le gout officiel, marqua par

logique de marché : pour trouver un public et des acquéreurs, l'artiste doit nécessairement pouvoir exposer ses œuvres, ce qui devient la préoccupation première et existentielle pour toute cette nouvelle génération d'artistes. b) Le « Salon des refusés » Si quelques marchands d'art, comme le Père Martin, Durand-Ruel et plus tard Petit commencent bien à jouer un rôle dans le marché de l'art, leurs boutiques ou les expositions qu'ils organisent offrent aux artistes des possibilités de se faire