Regia

| Rônier | | Ceiba pentadra |Fromager | | Chlorophora regia |Tomboiro | | Cordyla pinnata |Dimb

115 - 139 B faible faible moyenne à difficile C très faible Fagus sylvatica Europe faible 90 - 125 très bonne Hickory Carya Tomenteux Carya glabra, C. ovata Nord-est Amérique Iroko Kambala ou mvule Chlorophora excelsa, C. regia Pièces fort Sollicitées Usages intér. 110 - 160 B moyenne moyenne Afrique trop. aubier: moy. duramen: impossible Kéruing ou Yang Apitong ou dau ou eng ou gurjun Pièces moy. à fort Sollicitées Meubles Constr. bateaux Usages intér. et extér

délégation a été opérée par la loi d’investiture de l’empereur, la lex de imperio (« loi [votée] au sujet de l’imperium »). C’est ce qu’Ulpien explique juste à la suite des mots que nous venons de citer : « … en effet, en vertu de la “loi royale” (lex regia) qui a été portée au sujet du pouvoir suprême (imperium), le peuple [romain] a conféré [à l’empereur] tout son pouvoir (imperium) et toute sa puissance (potestas). » Ce fragment (repris par Justinien dans le Digeste : D. 1, 4, 1, pr.) sera

recherche du bien commun, à la poursuite d’un intérêt génral et non pas particulier. o une puissance perpétuelle : ici, Bodin se situe dans le prolongement des légistes médiévaux qui avaient proclamé que « la majesté royale ne meurt jamais » (Majestas regia nunquam moritur). Plus tard, la formule, « Le roi est mort, vive le roi » reprendra cette idée d’une puissance qui transcende le temps et les hommes. Cela implique aussi que la souveraineté déférée temporairement à un dirigeant reste indépendante de

Age. Cette conception se résume dans une formule transmise par Isidore de Séville : « Reges ad regento vocati… non autem régit, qui non corrigit… ; Unde et apud veteres tale erat proverbium : « Rex erit, si recte facias ; si non facias, non eris ». Regiae virtutes praecipuae duae : iustitia et pieté ». Cette conception est intacte au milieu du XIe siècle, dans le premier grand traité de philosophie politique écrit par le prélat anglais, Jean de Salisbury. Il dit que le prince doit être une imago aequitatis

syracusain). b/ à Rome Dans les moments de grandes conquêtes de l'Empire romain, Sénèque, Cicéron, sont là pour rappeler (héritage grec) que le peuple romain ne s'est pas débarrassé de son pouvoir originaire sans condition : la lex regia est la loi par laquelle, dans des temps primitif, le peuple romain a confié son pouvoir à des gouvernants qui doivent lui en rendre compte. L'empereur doit faire usage de son pouvoir dans un but de bien commun. Dans l’Antiquité, on observe la

common law esprimono così due diverse esperienze giuridiche, pur se la stessa common law fu il miracolo compiuto dai monarchi normanni, che riuscirono ad imporre un ordinamento unico ed eguale a tutto il territorio, facendo prevalere la giustizia regia sulle consuetudini locali dei piccoli feudi. La conseguenza tipica ed immediata delle particolari vicende politiche attraversate all’Inghilterra fu pertanto il processo di progressiva nazionalizzazione del diritto. La codificazione:lo spartiacque

visé Se documenter et communiquer à l’aide des TIC. Contexte La production attendue Projet Notre pays regorge de sites archéologiques riches en diversité et en culture. Comme le Colisée d’El Jem, l’amphithéâtre de Bulla Régia, le site de Dougga. En connais-tu d’autres ? Saurais-tu les présenter à tes camarades ? Dougga Ton travail consiste à concevoir une brochure touristique illustrée sur quelques sites archéologiques de la Tunisie. Ton travail prendra la forme

jurisconsulte, une autorité comparable à celle de l'ancienne loi républicaine votée par le peuple dans les comices. Si le prince peut faire la loi explique Ulpien, autre grand juriste du III eme siècle, c'est parce qu'en vertu de la loi royale, lex regia, le peuple romain a conféré à l'empereur son imperium et sa potestas. Une autre maxime célèbre marque cette affirmation du pouvoir législatif de l'empereur : ''quod principi placuit legis habet vigorem'', ce qui plait au prince a force de loi

juristes romains étaient peu portés à la spéculation. « En fait les juristes donnaient le plus souvent du Droit une notion toute formelle. Le consentement du peuple, ou la volonté du Prince (à qui la souveraineté commune avait été déléguée [par la lex regia] suffisait à donner au droit sa forme et sa vigueur ». Exemple : quand on voulait exalter la vertu de la loi, on trouvait suffisant d’évoquer la « majesté » du « Peuple Romain ». Finalement, les Romains s’attachaient à l’origine extérieure et formelle