Régiment

Poète : Henry-Jacques ( FR ) La Symphonie héroique Les Martyrs ( extrait ) VOUS qui dites : "Mourir, c'est le sort le plus beau" Et qui, sans le connaître exaltez le tombeau, Venez voir de plus près, dans ses affres fidèle, Cette mort du soldat qui vous semble si belle. Ted Plantos ( Canadien ) Je me souviens des foules brandissant l’Union Jack, Avant le départ de notre train, et du calme ensuite, Qui étouffait leur gaieté – devenait noir Et d’un blanc immobile une fois la dernière photo

du combat, l’absence de nervosité, une puissance de choc, ils sont tenaces et rustiques. et en plus ils sont très loyaux due au fait que la plus part étaient esclaves avant d'être rachetés et affranchis par les français pour faire parti des régiments des tirailleurs français. Ils sont néanmoins dévalorisés, les stratégies françaises font qu'ils sont envoyés en première ligne avec des fusils a baïonnettes, ils chargent l'ennemi traversant tout obstacle barbelés,mines ou balles, et des fois

1 RPIMa er Régiment interarmes emblématique des forces terrestres, le 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (1er RPIMa) ouvre désormais ses portes à l’ensemble de l’armée de terre, où il recrute le personnel et les compétences nécessaires à la conduite d’opérations non conventionnelles, souvent originales, parfois dangereuses, mais toujours sensibles. Texte et photos : François AUBOINEAU Depuis 2007, le 1er RPIMa a changé son mode de recrutement des militaires du rang. N’incorporant

sssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss_______ Liste des portails thématiques Lumière sur Trompette du 2e régiment de chasseurs à cheval de la Garde impériale, 1815. Illustration d'Ernest Fort, établie d'après les archives du ministère de la Guerre. Les chasseurs à cheval de la Jeune Garde, créés officiellement en 1815 sous le nom de 2e régiment de chasseurs à cheval de la Garde impériale et surnommés les hussards-éclaireurs, sont une unité de cavalerie légère de la Garde

marie sergent au corps d’Allemagne 109 régiment d'infanterie. Bureau de recrutement Saint-Brieuc numéro de matricule 2060 née le 25 janvier 1890 à Trégueux Côtes du nord et mort 27 février 1919 a l’hôpital 63 a Saint-Genis-Laval dans le Rhône par un tubercule pulmonaire la maladie a été contractée pendant le service. Cultivateur à Trégueux. Fils de Jean et Jeanne Lemée. Cheveux Châtains, Yeux marrons foncés, Visage rond, 1m70 Incorporé au 19e régiment d'infanterie a partir du 1er octobre 1911

sein de l'Empire colonial français en 1857, principal élément de la « Force noire »1 et dissous au début des années 1960. Bien que le recrutement de tirailleurs ne se soit pas limité au Sénégal, c'est dans ce pays que s'est formé en 1857le premier régiment de tirailleurs africains, ces unités d'infanterie désignant rapidement l'ensemble des soldats africains de couleur noire qui se battent sous le drapeau français et qui se différencient ainsi des unités d'Afrique du Nord, tels les tirailleurs algériens

pour une armée plus vaste. Si ce dernier système échoua lors de la guerre de 1812, il fonctionna assez bien au moment de la guerre avec le Mexique ( 1846-48). Fin 1860, 14 463 hommes étaient effectivement présents sous les drapeaux et formaient 10 régiments d'infanterie, quatre d'artillerie et cinq de troupes montées représentant 198 compagnies. 183 servaient habituellement à l'ouest du Mississippi. Sur 1 080 officiers en activité, 876 (76%) sortaient de West Point et la plupart des autres, d'une école

noms, prénoms de vos aïeux qui ont peut-être participé au 1er conflit mondial. Nous allons maintenant rechercher quel a pu être leur parcours dans cette guerre. Pour cela, nous recherchons des documents militaires pouvant nous indiquer dans quels régiments ils ont été incorporés, s’ils ont été blessés ou tués, de quelle manière, à quelle date… Où trouver ces renseignements ? Le site « Mémoire des hommes » du ministère de la défense. Ce site donne accès à la base de donnée des soldats déclarés

Pierre-Marie Le Pallec Pierre Marie Le Pallec Soldat de 2e classe 130e Régiment d’Infanterie Matricule 5883 Classe 1898 N° 1798 recrutement de Lorient Mort pour la France à Perthes-les Hurlus (Marne) le 19 février 1915 Mort sur le terrain, tué à l’ennemi Né le 25 avril 1878 à Moréac (Morbihan) Jugement rendu le 2 mars 1921 par le tribunal de Pontivy, transcrit le 28 mars 1921 à Locminé (Morbihan) Il fut enterré au cimetière militaire de Suippes 1 Fiche de sépulture : Sépultures de

africaines (12 bataillons), servaient dans le cadre de la pacification. L'armée coloniale envoya en Métropole, dès le 17 septembre 1914, des unités de marche mixtes (Européens et Africains) à raison, pour chaque régiment mixte, d'un bataillon africain pour deux bataillons européens. Ces unités (régiments mixtes d'infanterie coloniale du Maroc - RMICM) renforcèrent en premier lieu la division marocaine et furent engagées au combat dès le 21 septembre à Noyon. Durant toute la guerre, les troupes levées en Afrique