Régiment

various peoples on a scale that goes from the individual to the collective. Refusal, for example, spans a gamut of comportments from self-mutilation, desertion and collective revolt to revolution. As for acceptance, it may be collective – a locality or regiment in August 1914 - or individual – that of the death of a loved-one – or oneself – in the name a belief, whether it be patriotic, religious, ideological or merely a sense of duty. Acceptance, endurance, refusal also lend themselves to an investigation

date du retrait des troupes françaises de Corée. Les faits d’armes du bataillon, bien que composé d’un nombre limité de soldats, ont contribué à donner à cette participation un rayonnement particulier. En octobre 1953, le bataillon devient le régiment de Corée et va combattre en Indochine. En complément de la base des militaires décédés au cours de la guerre, disponible depuis le mois de décembre 2010, et à l’instar de la Première Guerre mondiale, le site Mémoire des hommes permet la consultation

1) relever les termes péjoratifs et commenter leur emploi . Dans cet extrait , Stendhal emploi des termes péjoratifs pour décrire les provinciaux à travers les yeux de son personnage Lucien . « mesquine » qui désigne les maisons vus par le régiment , montre que Lucien trouve que ces habitats dépourvus de toute âme , manquent cruellement de noblesse et de beauté . « ces marauds de provinciaux » laisse entendre que les gens de la campagne , les provinciaux, sont ici considérés par Lucien comme

l’armée en volontaire donne le récit de cette expédition3 « Ce fut le 1er octobre que l’armée française sortit du camp de Merdjez-Hammar pour marcher sur Constantine. Elle se composait de quatre brigades, dont chacune avait à peine la force d’un régiment ; le tout ne comprenait pas plus de 7 000 hommes4. Les deux premières brigades, commandées par le duc de Nemours et le général Trézel, bivouaquèrent, le 1er octobre, sur les hauteurs de Rez-el-Akba5. » « Le bivouac des français était sur la même

difficile de réaliser des statistiques pour les désertions car cela est possible uniquement si leurs unités comptabilisent ses chiffres (morts, blessés, pensionnaires, disparus). Il existe différents types de déserteurs: •Un soldat peut quitter son régiment ou décider de ne pas prendre part à la guerre du fait de son objection de conscience, •Un soldat peut quitter son unité car il veut continuer le combat, •Un soldat en déroute peut céder à la panique, se rendre, se cacher, •Un soldat peut vouloir

sont rattachés à la 27ème Brigade du Commonwealth, les artilleurs du 16ème Régiment d'artillerie sont entrés en action en janvier 1951. 41 militaires néo-zélandais sont tués pendant la guerre en Corée. [pic] Pays-Bas Ce pays décide, dés le 14 juillet 1950, de soutenir les actions de l’ONU et un bataillon néerlandais arrive à Pusan le 24 octobre 1950. Le bataillon est incorporé dans le 9ème et ensuite dans le 38ème Régiment d’Infanterie de la 2ème Division Américaine jusque septembre 1954. Le bataillon

civilo-militaires (Cimic) Le rôle principal de l’EM est d'établir les ordres, d'en contrôler l'exécution, de suivre les évènements et d'en tirer les enseignements. On trouve des états-majors à tous les échelons des forces armées, que ce soit : l'unité (régiment, navire de guerre…), la force (brigade, division, escadre, armée…) ou encore au niveau central (les cinq Etats majors : EMA, EMAT, EMAA, EMM et DGGN). Ils sont regroupés dans ce que l'on appelle un quartier-général. b) Le rôle des EM

hommes...”. Dans ses “Souvenirs...” Macdonald dira qu!il n!avait “pas 8.000 hommes”. 4 Il est alors attaqué par “neuf grosses masses d!infanterie et de cavalerie ennemies, protégées par 100 pièces de canon... je me hâtai de former le carré... un régiment de carabiniers que j!appelai... suppléa au 4e côté. Sa haute stature et ses bonnets” semblent avoir joué un rôle dans le repli “précipité” des assaillants. L!ennemi est enfoncé et se retire, 25 de ses pièces (en fait 24) sont abandonnées. Si la cavalerie

déroule pendant la Première Guerre mondiale. En 1916, le général français Mireau lance une offensive suicidaire contre une position solide allemande (surnommée « la fourmilière ») sur l'ordre du général Broulard. Pendant l'assaut de nombreux soldats du régiment, emmené par le colonel Dax, sont blessés et tués. Devant cet échec les soldats refusent d'avancer et retournent dans les tranchées, qu'y n'avaient par ailleurs pas été quittées par tous les hommes. Pris de colère, Mireau ordonne de faire tirer sur

cette zone, sous les ordres du Général Osmont, commandant la division d'Oran. Le corps expéditionnaire comprenait les 1er et 2ème Régiments de Zouaves, les 10ème et 2ème Régiments de Tirailleurs, le 53ème Régiment d'Infanterie, qui tenait alors garnison à Tlemcen, les 1er et 2ème Régiments de Chasseurs d'Afrique, un régiment de chasseurs à cheval, les 1er et 2ème Régiments de spahis. L'ambulance divisionnaire était constituée à Tlemcen avec le médecin major de 1ère classe Delahousse comme médecin chef