Registre Lyrique

lettre, Flaubert introduit le réalisme par des ruptures incessantes au style lyrique. Dans cet extrait, nous constatons en première lecture ces ruptures grâce à l'utilisation de sauts de ligne, guillemets ; le récit apparaît plus haché et traduit l'idée de coupure. Une opposition se crée entre les phrases courtes et saccadées du réalisme et les phrases longues et harmonieuses du lyrisme. Le réel est traduit dans le registre du langage courant de l'époque volontairement choisi par l'auteur. Le lecteur

montrerons tout d’abord le violent désespoir de l’auteur, ainsi que son refuge dans espoir fou. I) Désespoir Champs lexicaux : Souffrance, horreur, refus, révolte (ligne 1 à 4). 1) Evolution de sa souffrance Il décrit sa profonde souffrance 2) Registre pathétique Il souhaite toucher une partie des lecteurs ayant vécu un évènement similaire, il veut provoquer de la compassion et témoigne de sa douleur qui ne guérit pas. II) Refuge dans l’espoir fou 1) Déni du père , . 2) Une réaction proche

Confidences de Marivaux faite par Didier Bezace en 2010 au théâtre de la Commune à Aubervilliers. Trois questions nous invitent à nous faire réfléchir sur, d’une part, le rôle de la lettre sur le plan dramatique et scénique, d’autre part sur les registres représentés dans ces extraits et enfin notre regard portera sur les documents 1 et 2 afin de montrer l’intérêt de la lettre dans la double énonciation. 1) Tout d’abord, nous remarquons que la lettre occupe une place centrale dans les documents

plaisante à travers les éléments suivant : « jouait sur les flots » ; « sereine ». Il dénonce principalement la cruauté de l’homme grâce au « noir funeste » ; « la nuit » ; « noir cormorans » ; « noir ilots ». Il dénonce aussi la violence, par le registre pathétique par des « sanglots ». La mise à mort est suggérée par le conditionnel « on verrait » à condition de s’impliquer et donc d’aller voir au fond de la mer. Elle est aussi suggérée par la comparaison suivante « se mouvoir comme une forme humaine

les différents discours) Analyse : elle permet de repérer les lignes de force d’un texte. • Les outils d’analyse -l’analyse lexicale : permet de cerner avec précision les thèmes d’un texte : les champs lexicaux, les champs sémantiques, les registres de langue. -l’analyse grammaticale et syntaxique : étude des pronoms, des déterminants, des verbes (voix, mode, temps), de la phrase (ponctuation, phrase simple, composée, les types de phrase). -L’analyse des procédé stylistiques ou figures : métaphore

répétition du verbe « voir » souligne l’aspect visuel du personnage et fonctionne un peu comme une didascalie interne. Elle éveille la pitié d’Antiochus soucieux de la préserver. c) Bérénice, un personnage au seuil du tragique On observe aussi un registre tragique incomplet. Elle convoque la notion de mort par un procédé d’hyperbole vers 4 « la mort dans le sein ». Antiochus l’enjeu tragique par la métaphore de la blessure du coup vers 23 «  je le vais frapper par l’endroit le plus tendre ». Bérénice

) Un effet de chute * Signification du poème : Le mot « tombe » v. 11 fait un véritable effet de chute. → Hugo a rendez-vous avec sa fille disparue et non avec une personne vivante → Engendrement qui donne au rythme un caractère pathétique, un registre tragique au poème. Le mot « tombe » est un véritable choc et incite à une relecture du poème. III – Une célébration, un hommage 1 ) Immortalisation de sa fille * Léopoldine paraît vivante grâce au dialogue : « je » qui s'adresse à un « tu »

et Rosette se rapprochent, ce qu’il n’avait encore jamais fait avec Camille : proximité physique entre P. et R. (il lui prend la main), symbolique de leur union ; cette proximité que C. a toujours refusé.2) Eloge de l’amour, de la jeunesse● Le registre lyrique illustre un éloge de l’amour et de la jeunesse car il permet l’expression exacerbée des sentiments.● Lors de cette scène, la nature a un rôle important car elle possède un apport propice à cette expression des sentiments. En effet, la scène se

superficielle montre que ce récit n’est pas gratuit, qu’il livre aussi une position, une thèse, il est donc aussi de type argumentatif. Cette union entre un récit et une leçon morale s’appelle un apologue. o Quelle est sa tonalité ou registre littéraire (comique, tragique, lyrique, pathétique, ironique, épique…) ? La tonalité première pourrait être le merveilleux (comme dans le conte), d’ailleurs ce 1  mot est repris à la fin de l’article. Très vite cependant je peux relever des indices d’exagération

REGISTRES: - Tragique: lié à la tragédie antique, il met en scène un héros qui, conscient de son impuissance, subit la fatalité des évènements. Le registre tragique peut provoquer la terreur, l'effroi mais aussi l'admiration envers le héros. - Pathétique: lié à l'origine au théâtre, il cherche à susciter la pitié, la compassion par la représentation de la souffrance, de la douleur, mais sans évoquer la fatalité. -Épique: issu de l'épopée, il présente un héros affrontant d'autres hommes ou