Relation Lisette Silvia

principale mais 4. Silvia et Dorante et leurs serviteurs Lisette et Arlequin. Dorante, fils d’un ami de M.Orgon et prétendant de Silvia : un jeune homme bien né, plutôt sage et raisonnable, qui ne connaît pas l’amour. Lisette, femme de chambre de Silvia : c’est un personnage complexe, plus qu’une domestique, puisqu’elle est aussi la confidente et la coiffeuse de Silvia. C’est une femme réaliste, fine, honnête, qui se prend à rêver de sortir de sa condition en épousant un homme bien né.  Silvia : c’est une

situations convenues, de faire jaillir une intelligence du réel dans ce sujet rebattu qu’est l’amour. Lorsque Silvia se sent prise d’amour pour Dorante, son attitude face à Lisette puis à son père et à son frère reflète une authenticité psychologique amoureuse qui, sans caractériser la jeune première de manière singulière, relève d’une vérité de l’amour. Le feu des répliques de Silvia lorsque l’on touche à « Bourguignon », qui n’est que Dorante déguisé, sa susceptibilité excessive, sa nervosité

connaître. Le stratagème exposé par Silvia se situe en effet au début de la pièce, tandis que celui que relate le prince intervient dans le deuxième acte. Dans les deux cas, il s’agit d’une intrigue sentimentale. Les personnages ont décidé de se déguiser pour aborder leur promis(e) sous une autre apparence. Silvia, qui souhaite rencontrer Dorante, veut se faire aimer pour ce qu’elle est, non pour ce qu’elle représente. Elle fait donc appel à sa suivante, Lisette, tout en demandant l’assentiment de

Eraste sont amants, Nérine et Sbrigani sont leurs valets respectifs et Mr De Pourceaugnac, le promis de Julie. De même, dans Le jeu de l’amour et du hasard, le spectateur est confronté à Silvia, la maîtresse, et Lisette la soubrette. Toutes deux évoquent le promis de Silvia, choisi par Mr Orgon, le père de Silvia. Dans la pièce de Musset, on découvre six personnages : le Chœur, Maître Blazius et Dame Pluche qui sont présents sur scène et Le baron, Camille et Perdican. Les deux derniers sont cousins

Thunder-ten-tronckh en Westphalie. Celui-ci y vit avec sa femme et sa fille Cunégonde âgée de 17ans et son fils. Avec eux se trouvent Candide, un jeune homme aux mœurs les plus douces et le précepteur Pangloss. Un jour, Candide et Cunégonde ont une relation intime. Le baron les surprend, Candide est chassé du château. Candide est recruté par l'armée bulgare. Il découvre les horreurs de la guerre, déserte et arrive en Hollande. Il rencontre Jacques l'anabaptiste (adepte d'un mouvement religieux allemand

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catholiques romaines, le clergé et les spécialistes dans les 17e et 18e siècles, caractérisés par le prédéterminisme qui met l’accent sur la chute d’Adam, la grâce efficace irrésistible, l’expiation limitée, l’élection et la réprobation3 ». « Les relations avec l'abbaye janséniste de Port-Royal vont imprégner toute la vie de Racine4 » et nous évaluerons de combien cette doctrine déterministe apparaît dans Phèdre. Marivaux de sa part a pu voir dans son époque des mariages décidés exclusivement par les

situations convenues, de faire jaillir une intelligence du réel dans ce sujet rebattu qu’est l’amour. Lorsque Silvia se sent prise d’amour pour Dorante, son attitude face à Lisette puis à son père et à son frère reflète une authenticité psychologique amoureuse qui, sans caractériser la jeune première de manière singulière, relève d’une vérité de l’amour. Le feu des répliques de Silvia lorsque l’on touche à « Bourguignon », qui n’est que Dorante déguisé, sa susceptibilité excessive, sa nervosité

autoritaire mais bien le malaise d’épouser ou de ressentir des sentiments pour une personne appartenant a une classe inférieur à la sienne. Nous allons voir dans ce passage que les deux personnages se trouve dans une situation complexe, en effet Silvia est dans une situation d’enfermement car sa raison la pousse à lutter contre les sentiments qu’elle éprouve a l’égard de Dorante, quant à lui il ne supporte plus le poids de son mensonge et fait dans cette scène une déclaration d’amour a sa bien aimée