Relation Maitre Valet Dubois Dorante

française[]. Dorante, un jeune homme d’un certain statut mais pauvre, est fou amoureux de la fille de Madame Argante : Araminte. Il est présenté à celle-ci, en tant qu’intendant, par son oncle monsieur Rémy, qui est procureur. Araminte l’engage sans savoir que son valet, Dubois, est l’ancien valet de Dorante et qu’ils sont encore très complices. Ainsi va commencer un impitoyable complot dirigé par Dubois pour que sa maitresse, avant la fin de la journée, tombe sous le charme de son ancien maitre : Dorante

des stratagèmes simples comme celui de Dubois pour rassurer Dorante de ses chances de séduire Araminte (Acte I scène 2). Pour cela le valet utilise des hyperboles comme “Il n’y a point de plus grand seigneur que vous à Paris” qui est ironique et donc comique pour l’audience. De plus, Dubois dit qu’il voit Dorante “déjà en déshabille dans l'appartement de madame”, un propos égrillard et qui fait donc rire. Le stratagème comique est surtout lié à la relation qu'entretient le théâtre avec l’audience

début de la matinée Scène 1 : Arlequin, valet d’Araminte, annonce à Dorante qu’il va l’introduire auprès de Marton, la suivante d’Araminte. Scène 2 : Dorante retrouve un de ses anciens valets, Dubois. On apprend que, jeune bourgeois de belle mine, mais fils d'un avocat ruiné, il est amoureux fou d'Araminte, veuve roturière fort riche, et veut se faire engager par elle comme son intendant sur la recommandation de son oncle procureur, M. Remy. Dubois, se faisant son complice, se charge d’oeuvrer

Commentaire rédigé Marivaux, Fausses Confidences, Acte II, scène 13 (1737) Un amour contrarié entre deux jeunes gens, les figures du père autoritaire et du valet rusé, des quiproquos et des stratagèmes en tous genres, tels sont les ingrédients traditionnels de la comédie et les ressorts d’une intrigue qui finit toujours bien. Au XVIIIème siècle, Marivaux ne déroge pas à cette tradition mais il lui donne un charme particulier et une profondeur psychologique en intériorisant les

plaisir, d’enthousiasme et d’excitation. Il parle et regarde de plusieurs points de vue le visage de cette femme : ses yeux, sa bouche, ses cheveux… ce qui montre une forte alchimie entre ces deux corps qui semblent s’attirer l’un l’autre. Cette relation lui provoque de l’inspiration pour ses poèmes.Le poète raconte son voyage vers un monde spirituel grâce à l’alchimie entre lui et une femme. La comparaison avec un serpent montre que la femme a une attitude sensuelle, ce qui va créer en lui de l’excitation

Au début de la matinée Scène 1 : Arlequin, valet d’Araminte, annonce à Dorante qu’il va l’introduire auprès de Marton, la suivante d’Araminte. Scène 2 : Dorante retrouve un de ses anciens valets, Dubois. On apprend que, jeune bourgeois de belle mine, mais fils d'un avocat ruiné, il est amoureux fou d'Araminte, veuve roturière fort riche, et veut se faire engager par elle comme son intendant sur la recommandation de son oncle procureur, M. Remy. Dubois, se faisant son complice, se charge d’oeuvrer

définissent les Lettres de Noblesse de la comédie, en s’intéressant plus particulièrement à un thème : les relations entre maîtres et valets. Selon un critique contemporain, dans le théâtre de Marivaux, on assiste à « l’affrontement théâtral de deux langues au moins : la langue des maîtres, dans son élégante simplicité ; la langue plus bariolée, souvent impropre mais plus vivante des valets. » Mais l’opposition des classes dans le théâtre du XVIIIème siècle, comme semble l’affirmer ce critique, s’exprime-t-elle

fausses confidences ». La pièce du même nom (1737) peut être vue comme le paroxysme de ce théâtre du mentir vrai. Un valet machiavélique, Dubois, y monte un stratagème pour permettre au jeune et pauvre Dorante de séduire la riche veuve Araminte. Rien n'est plus moralement douteux, et pourtant Dorante est sincère, Dubois n'agit pas par intérêt. Pour précipiter les choses, le valet a fait écrire au jeune homme une lettre où il révèle ses sentiments, et il a fait en sorte qu'elle soit lue devant

représentation de l’homme et la femme dans la religionsynthèse: on voit que cet article donne une définition du mot femme. Ainsi que l’un des objectifs des auteurs de l’encyclopédie ( référence historiques) est respecté : on nous explique comment sont les relations hommes-femmes dans le foyer et que de Jaucourt conteste l’ordre établi, la suprématie des hommes sur les femmes. Il prouve que la femme peut diriger le foyer.Séance 2 : «la déclaration des droits de la femme et de la citotyenne» Olympe de GougesEn

présente Dubois tout au long de la pièce sous différents angles. On le retrouve donc comme personnage témoin mais aussi comme un personnage principal. Possédant de grand talent de manipulateur, le valet est partout et sait tout d’une manière restrictive. Il est ainsi comparé à Flaminia, un autre personnage de Marivaux dans LA DOUBLE INCONSTANCE. Celle-ci mène elle aussi le jeu. Son but étant cependant de séparer Arlequin et Silvia, elle ne révèle pas son stratagème au grand jour comme Dubois. Cette