Relativiste

qui permettrait d'unifier les mécanismes de l'ensemble des forces de l'univers. Observer les ondes gravitationnelles pourrait donc fournir des données allant dans cette direction, et forme aussi un pont entre la mécanique quantique et la physique relativiste. Le BICEP Il s'agit d'une série d'instruments (et du programme de recherche qui leur est associé). Ils sont situés dans l'Antarctique, destinés à observer le fond diffus cosmologique, ce rayonnement fossile datant du Big Bang. BICEP2 est celui

cas circulaire étant le plus simple à expliquer (Huygens, 1651) : c'est la célèbre figure du "funiculaire à rochets" : mouvement tangent + retombée "verticale" sur la trajectoire, etc. Newton utilisera beaucoup cette figure (1679-1687). Vision relativiste Dans la théorie de la relativité générale, la gravitation n'est pas une force mais une « déformation riemanienne de l'espace-temps » ; un objet dit en chute libre décrit simplement une géodésique de cet espace. On remarquera que la loi de Galilée

superstition. Ils s’intéressent à la nature (4 éléments - eau, air, feu, terre) Connaitre les sophistes et être en mesure d’expliquer leur contribution à la démocratie. EX : Protagoras, Gorgias, Prodicos, Hippias, Antiphon Les sophistes sont relativistes. Ils ont donné naissance aux débats publics et à la démocratie. À Athènes, les sophistes ont enseigné la rhétorique (bien parler en public) et la dialectique (défendre une thèse contre un adversaire). Le but étant de développer l’esprit critique

sur les planètes, selon la loi de la gravitation de Newton, tous les objets du cosmos s'attirent mutuellement. Ainsi, Newton s'est rendu compte que les mouvements des corps célestes ne pouvaient être constants ouvrant ainsi la voie à la mécanique relativiste et à l'élaboration du principe de relativité par Albert Einstein. Newton a déclaré que les planètes ne repassent pas deux fois dans la même orbite. La mécanique céleste qui repose sur les trois lois de Kepler et la loi universelle de la gravitation

l'homme pourra faire la part des choses entre le bien et le mal de ses actes, toutefois les valeurs de la morale ont une origine humaine, elles sont définies par une société ou un individu et varie selon la société, on parlera donc de conception relativiste. L'être n'est que l'auteur de ses actes autrement dit sans lui le monde ne serait pas le même aujourd'hui. Cependant l'être a fixé les lois de la morale pour donner à la fois une importance à la société et un peu de démocratie pour éviter toute

cette unanimité n'est pas valable, c'est parce qu'elle est fondée sur la croyance de l'opinion majoritaire. Si tous les hommes raisonnaient, l'unanimité pourrait pourtant être un critère de vérité Aristote a donné tord aux sceptiques et aux relativistes en démontrant que la vérité est unique et universelle. Pour découvrir cette vérité, Descartes nous as appris qu'il fallait apprendre à raisonner. C'est à dire, faire un bon usage de la raison présente chez tous les hommes. Si l'on conduit sa raison

était manifestement en train de se noyer. Malgré qu’il soit inconvenant, ce comportement n’est pas sans raison. La légende ici, caricature une attitude qui dans d’autres circonstances parait justifiable pour 3 raisons. Directement d’inspiration relativiste, les conceptions du bonheur et donc du malheur sont multiple et il n’y a aucune raison qui justifie qu’on impose la sienne à celle des autres. Si certains font le choix de la marginalité et donc de la misère ou si d’autres même estime que le dévouement

complète de la réalité. Objectif pratique : Permet aux êtres humains de mieux agir. Attitudes antiphilosophiques : - Att. Dogmatique (fermé d’esprit, incapable de douter) – Att. Sceptique (Douter de toutes vérités, il n’y a aucune vérité) – Att. Relativiste (chacun a sa propre façon de penser) – Att. Stratégique (Son seul but est de satisfaire son intérêt, ne recherche pas les finalités de la philo) – Att. Baratinage (Exprimé idées sans importance, désintérêt pour la vérité) 12 Hommes

certain temps. Il se défend encore par un argument juridique (« […] en Angleterre on laissait vivre les gens à leur fantaisie » ligne 217-218), un argument moral (« […] la proposition ne lui plaisait point du tout » ligne 218-219) et un argument relativiste (« […] la loi des Hurons valait pour le moins la loi des Bas-Bretons » ligne 219-220) Par ces deux triples argumentations l’Ingénu fait preuve de sa supériorité intellectuelle. III – Eléments humoristiques L’extrait n’est pas purement argumentatif

relativisme moral: un comportement n'est bien ou mal que du point de vue de celui qui le croit bien ou mal. Par contre, le relativisme moral a une limite. En effet, cette attitude d'ouverture, repose sur une valeur bien déterminée: la tolérance. Ainsi le relativiste moral, ne peut pas remettre en question la tolérance, qui est à la base de son point de vue. De fait, la morale est variable, même si chacun prétend que sa vérité est supérieure aux autres. Les normes morales divergent d’une société à l’autre