Relativité Des Conventions

Essais, ouvrage que le philosophe et écrivain humaniste Montaigne fait paraître e 1580 : du fait de la découverte du « Nouveau monde », les « sauvages » sont au centre des discussions à la fin du 16ème siècle. Montaigne développe ici l’idée de la relativité des coutumes et amorce l’éloge de la nature et du bon sauvage qui sera ensuite si souvent repris au 18ème siècle. Mise au point linguistique 1) « Le pays où nous sommes » « Or, je trouve, pour en revenir à mon propos » : ce texte

règle générale • Lucrum cessans : manque à gagner • la loi par désuétude : oubliée ; le fait de ne plus appliquer une loi entraîne-t-il son abrogation ? • loi supplétive ou interprétative ou encore dispositive : auxquelles on peut déroger par une convention. Elles ne s'imposent qu'à défaut de volonté contraire des intéressés, dans ce cas, le Code civil supplée au silence. • loi impérative : lois auxquelles l'on ne peut déroger. M [modifier] • Major pars trahit ad se minorem : La partie la plus importante

Les Traités [Analyse, Droit International] Suivant l’article 2 de la Convention de Vienne sur le droit des traités, du 21 mai 1969, l’expression " traité " s’entend d’un accord international conclu par écrit entre Etats et régi par le droit international, qu’il soit consigné dans un instrument unique ou dans deux ou plusieurs instruments connexes, et quel que soit sa dénomination particulière. Les traités sont donc tout d’abord des accords entre Etats. Mais dès 1969 la conférence de Vienne avait

de la réalité. Elle se définit traditionnellement comme l'adéquation entre le réel et le discours. Qualité d'une proposition en accord avec son objet. La vérité formelle, en logique, en mathématiques c'est l'accord de l'esprit avec ses propres conventions. La vérité expérimentale c'est la non-contradiction de mes jugements, l'accord et l'identification de mes énoncés à propos d'un donné matériel. On distinguera soigneusement la réalité qui concerne un objet (ce cahier, cette lampe sont réels) et

I. La justice est relative, les lois sont changeantes a) Les différentes formes de la justice : légitimité de la coutume, légitimité charismatique... b) La justice est sujette à dispute, sa défnition peut évoluer au cours du temps : relativité. Elle dépend du lieu, du temps, des personnes.Ce que les hommes prennent pour des principes naturels ne constituent qu'une coutume. A cause de c'elle, ils ne peuvent voir le caractère arbitraire et relatif des lois qu'ils suivent. II. Problème

parce que les Asiatiques et les Egyptiens se comportent de manière inacceptable que leur exemple est bon à prendre. Montesquieu démontre la relativité de l’exemple. Il s’amuse aussi à glisser dans l’argument 6 une contrevérité : il y a très peu de philosophes en Egypte ! ➢ L’argument 7 est là pour nous faire réfléchir à la relativité de nos conventions. Les nègres accordent de l’importance (donc du prix) au verre taillé car ils ignoraient cette pratique. De même, souligne implicitement Montesquieu

objectif  : le temps est une chose qui a une existence indépendante, un cadre dans lequel se situe toute chose, mesure le changement = horloge, temps de convention · Caractère subjectif  : le temps biologique relatif aux espèces, la durée de vie n’est pas la même pour chacun = relativité (Distinguer temps cyclique/ linéaire) · Caractéristique cyclique  : on retrouve des similitudes, antique = ordre

différents. D'abord une importante partie épistémologique, avec notamment " Essai sur la connaissance approchée" (1928), "Étude sur l'évolution d'un problème de physique, la propagation thermique dans les solides" (1928), "La valeur inductive de la relativité" (1929), "Le pluralisme cohérent de la chimie moderne" (1932), "Les intuitions atomistiques" (1933), "Le nouvel esprit scientifique" (1934), "L'expérience de l'espace dans la physique contemporaine" (1937), "La formation de l'esprit scientifique"

Jésus-Christ, parmi les premiers philosophes, ceux qu’on appelait des sophistes, ont posé le problème du fondement naturel du droit. Ils faisaient remarquer que les lois positives, celles qui ont cours dans la cité, sont des inventions des hommes, des conventions qu’ils passent entre eux. C’est pourquoi les lois des hommes changent (parfois considérablement) selon les pays et les époques, contrairement aux lois de la nature qui sont elles, toujours et partout, les mêmes. La loi des hommes n’a donc pas de

inévitablement, la morale est une grande source d'inspiration pour le droit. Nous retrouvons dailleurs dans le code civil un article qui reconnaît cette importance de prendre en compte la morale . Il indique que l'« on ne peut déroger, par des conventions particulières aux lois qui interessent l'ordre public et les bonnes moeurs. » De toute façon, l'homme est en quelque sorte régit par sa morale et est incapable de la mettre de côté pour aboutir à une pure objectivité. Un juge doit statuer en