Religion Dans Lorenzaccio

manuscrit Refusé = rend les 2 exemplaires * Sous la Restauration on interdit 20 pièces alors que sous la monarchie de juillet 185. B. Critères * Début restauration : ennemi = bourgeoisie, allusion aux idées libérales, critique de la religion. La correction des mœurs n’est pas le 1er soucis. * Après 1830, toute allusion obscène doit être éliminé = principe de moralité en vigueur jusqu’en 1906 = toute pièce doit pouvoir être vue par tous les membres d’une famille honorable. III

1954) • diagnostique des lésions cérébrale entre 22h et minuit il a vu de la lumière et écrit ses souvenirs (feu / joie et des prière changement de pensée « Dieu d’Isaak, Dieu d’Abraham et non dieu des savants » Jansénisme est une voie de la religion assez extreme (respectueux +++ des lois civils) héritage de Saint-Augustin l’homme est condamné par le péché originel il est faut de dire que l’homme a le choix du bien pour compenser le pêché originel, l’intervention de Dieu est essentielle ->

cette idée par la célèbre phrase « mais, il faut cultiver notre jardin » qui sert d’épilogue à Candide. C’est dans ce contexte que se développe le romantisme, qui s’inscrit en opposition au rationalisme : d’une part, le romantique entend renouer la religion catholique et remettre au centre de ses réflexions les valeurs chrétienne, tant en émettant des réserves à l’encontre du clergé. D’autre part, le personnage romantique apparaît comme un aristocrate oisif, qui refuse de travailler. René, comme Chateaubriand

des siècles 1865 : Les Chansons des rues et des bois 1872 : L’Année terrible 1877 : L’Art d’être grand-père 1877 : Nouvelle série de la Légende des siècles 1878 : Le Pape 1879 : La Pitié suprême 1880 : L’Âne 1880 : Religions et religion 1881 : Les Quatre Vents de l’esprit 1883 : Série complémentaire de la Légende des siècles ! Recueils posthumes : 1886 : La Fin de Satan 1891 : Dieu et 1941 ! Choix de poèmes parmi les manuscrits de Victor Hugo, effectués

|Marqués par les guerres de |En réaction contre l’exubé- |Les écrivains des Lumières | | |nouvelle image de l’Homme, |écrivains de la Pléiade veulent |religion, convaincus de |rance du Baroque, le classi- |s’engagent afin de répandre | |Principes |libre et épanoui. Il s’élève |retrouver l’inspiration qui a |l’incertitude du devenir

Texte 17 : Le meurtre d’Alexandre Acte IV, scène 11, Lorenzaccio, Alfred de Musset,1834. Lecture analytique n° 17 Intro : Lorenzaccio est une œuvre sincère. Sincérité des sentiments que crie le héros déchiré, sincérité des idéaux collectifs dont la grandeur s’affiche avec transparence. Sous une apparente complexité, le plus abouti et le plus naturel des drames romantiques français est aussi d’une parfaite limpidité : un jeune homme tourmenté, qui a perdu

comprend qu'à demi-mot les répliques des autres personnages, créant ainsi des raccourcis tout à fait amusants, Maître Bridaine (un curé), et Dame Pluche (gouvernante de Camille) qui est une véritable caricature d’une vieille femme fervente de sa religion. Mais, on retrouve également et toujours selon moi, du comique dans la situation. Effectivement, par exemple, dans l’acte II, scène 4, Maître Blazius et Le Baron ont une discussion qui n’a ni queue, ni tête, où Blazius veut confesser sa récente découverte

romantique sociale (Ruy Blas est un laquais amoureux d'une reine), intellectuelle (Chatterton est un poète incompris). • Le héros romantique est comme le spectateur bon et mauvais : on pense aux orgies de Lorenzo (qui lui valent le surnom péjoratif de Lorenzaccio), à sa vie malsaine. Et pourtant, le fond de son coeur est pur. Il a un idéal. Hernani : héros courageux mais jaloux !             ∆) Par certains aspects, le héros romantique ressemble plus au spectateur car il est plus complexe, moins stéréotypé

les comprend pas ; lassitude, ennui, mélancolie, solitude du Moi, amertume de l'exil ; interrogation sur une identité perturbée (Chateaubriand, René) ; - doute religieux, inquiétude métaphysique, recherche de nouvelles certitudes au-delà de la religion révélée. c) recherche du bonheur néanmoins : le romantique cherche à l'atteindre par l'amour, un sentiment sanctifié, divinisé ; mais c'est aussi et surtout un sentiment douloureux, car il est le plus souvent contrarié par l'éloignement , la

ne les comprend pas ; lassitude, ennui, mélancolie, solitude du Moi, amertume de l'exil ; interrogation sur une identité perturbée (Chateaubriand, René) ; - doute religieux, inquiétude métaphysique, recherche de nouvelles certitudes au-delà de la religion révélée. c) recherche du bonheur néanmoins : le romantique cherche à l'atteindre par l'amour, un sentiment sanctifié, divinisé ; mais c'est aussi et surtout un sentiment douloureux, car il est le plus souvent contrarié par l'éloignement , la mort