Religion Fonction Sociale

appelons les Religions Traditionnelles Africaines, dans les Mythes, dans les proverbes, dans l’art, etc…. En effet, en ce qui concerne la Religion traditionnelle africaine, il nous faut au préalable donner quelques précisions : l’Afrique concernée ici est celle sub-saharienne (zone centrale entre le désert du Sahara et l’Afrique du Sud) à cause de son unité culturelle supposée et défendue par des pionniers comme Cheikh Anta Diop, Théophile Obenga et autres . Nous parlons de « religion » pour identifier

de l’homme est aussi ancienne que celle du droit, qu’il s’agisse de coutumes non écrites ou de codes gravés dans la pierre. Enracinés dans des convictions religieuses ou philosophiques, souvent obtenus à l’issue de combats politiques ou de lutte sociales, les droits de l’homme, « droits humains » ou « droits de la personne humaine » expriment la reconnaissance de la dignité inaliénable de la personne humaine. En ce sens, ils trouvent leur source dans toutes les cultures qui, sous des formes diverses

La religion Introduction 2 I. Le fait religieux 2 A. Essai de définition du fait religieux 2 1. La dimension sociale 2 2. Le profane et le sacré 3 3. La règle du jeu 4 B. La religion comme dispositif moral et politique 4 1. Religion et morale 4 2. Religion et politique 5 C. Approche phénoménologique : les sentiments religieux et mystiques 6 1. Le sentiment « océanique » 6 2. Le frisson métaphysique 6 3. L’amour 8 II. Logique de la religion

subjective, reconstructiveMobiliser l’histoire des idées comme source de légitimation politiqueSur-simplifier les choses, ramener un auteur sur des idées qui ne sont pas exactement les siennes Contextualiser les pensées (événements historique, milieu sociale, institution en place)La place des femmes ?Le droit est le lieu de cristallisation par excellence des idées politiques, par conséquence il n’est absolument pas neutreLa réflexion sur les institutions a quasiment disparu, le model institutionnel n’est

tant qu’adjectif, absolutus signifie « achevé », « parfait », « complet », « qui forme par soi-même un tout ». La monarchie absolue est toujours centralisatrice. La société est un corps dont le monarque est la tête. Il ne doit y avoir dans le corps social qu'un seul centre de décision. Ainsi, on voit qualifier d'absolu le pouvoir de celui qui est « délié », détaché de tous liens, celui qui ne connaît pas de limite externe à son pouvoir, celui qui jouit de la summa potestas, que l’on pourrait traduire

et ses rythmes. Une approche de la religion est priorisée ce qui amènerait à une confrontation des conceptions de certains auteurs tels que l’Ethnologue Français METRAUX Alfred, MICHEL Claudine, et de certains classique sociologique de la religion tel que Marx qui conçoit la religion comme l’opium du peuple. Celui de Weber qui analyse la manifestation religieuse par son éthique à travers les sociétés dit capitaliste. Enfin, la pensée de Durkheim sur la religion, lui il analyse les dimensions, les

égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’unité commune. »Constitution de 58 : Article 1 : «  la France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalté devant la loi de tous les citoyens sans distinctions d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son orgainsation est décentralis »e. La loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électorux et fonctions électives, ainsi qu’aux repsonabilités

l'Islande a l'Inde | Qui s'explique par | Sol aride peu fertil, montagne,crise social | Conquête + hégémonie en Méditérané | Fertilité et richesse de Rome | Aucune causes connue | Indice de son origine | Fondation de nouvelle cité | Latin , temples , théatre , thermes.. | Dialecte Germanique | Langue, cuivre, usage du cheval+chariot | STRATIFICATION SOCIAL : | Les Celtes | Les Grecs | Les Romains (République) | Les romains (Empire)

pieux, d’où l’interdiction qui frappa la pièce pendant cinq ans car elle constituait une atteinte à la religion et pouvait prêter à confusion entre les vrais et les faux dévots. Pour combattre l’hypocrisie, Molière a choisi de présenter un faux dévot. Donc, bien que Molière s’en défende, la religion semble être un thème important de la pièce. Le champ lexical emprunte de nombreux termes à la religion : Dieu y est constamment invoqué, on parle de péché, d’enfer, de tentation, de dévotion, de repentir

autres disciplines. Elle a donc des implications politiques : « Désenchanter » la politique Mettre au jour les contraintes normatives de l’action politique Elle est elle-même politisée : Différentes écoles, différentes problématiques (naturel social ? amis/ennemis ?...) Qui renvoient à des conceptions différentes du politique I. Politique et science politique II. La science politique entre sociologie et philosophie III. La diversité des approches I. Politique et science politique