Religiosité

Ehrenberg parle-t-il d’un véritable Culte de la performance, dans nos sociétés modernes, culte au sein duquel le sport intervient comme formant et formé. Ainsi, Michel Maffesoli souligne-t-il au travers de l’étymon de religion (religere) que la religiosité, sportive ou non, c’est bien le lien qu’il crée entre ceux qui pratiquent, lien qui peut être renforcé par la communion, ce que Bromberger, comme Ehrenberg ou Brohm acceptent chacun à leur façon. M. Bouet affirme même que le sport permet « une communion

hors pair, « un des meilleurs navigateurs de tous les temps »[5], ou même « le plus grand marin de tous les temps »[6], mais « piètre politicien »[7]. Il apparaît « comme un homme de grande foi, profondément attaché à ses convictions, pénétré de religiosité, acharné à défendre et à exalter le christianisme partout »[8].

d'un marin hors pair, « un des meilleurs navigateurs de tous les temps », ou même « le plus grand marin de tous les temps », mais « piètre politicien ». Il apparaît « comme un homme de grande foi, profondément attaché à ses convictions, pénétré de religiosité, acharné à défendre et à exalter le christianisme partout ».

sagesse, qui permet de rencontrer le Tao (= la « Voie »), soit l'Absolu. On en ignore tout, sauf qu'il est impersonnel et ubiquitaire. Ils le rejoignent par l'intermédiaire d'états mystiques qui, à l'analyse, se révèlent extase classique imprégnée de religiosité, à l'exclusion complète de l'enstase du yoguin. Avertissement L'éditeur du site « PERSEE » – le Ministère de la jeunesse, de l'éducation nationale et de la recherche, Direction de l'enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et

religieux dans notre contexte postmoderne. Ensuite, la phénoménologie herméneutique du religieux ne peut se comprendre que si nous mettons au clair la dialectique entre sacré et profane d’une part et d’autre part ce que nous attendons par religion et religiosité. A. PHENOMENOLOGIE HERMENEUTIQUE DU RELIGIEUX La « Révélation » milieu de vie originaire et cadre de référence du sujet religieux dans l’histoire, dans la perspective de J.-L. Marion, passe pour un phénomène des phénomènes que les autres

la puissance divine dans le fini, les petites choses. Le monde n’est plus profane à ses yeux car ce monde, enchanté par la foi en un créateur de l’univers, apparaît au croyant comme authentique. La religion se fait alors inspiration religieuse, religiosité, attitude religieuse et contemplative face au monde. Elle a ceci en commun avec l’inspiration poétique : le regard porté sur le monde a changé. C’est un regard émerveillé. Il y aune conversion du regard. Le regard est renouvelé. L’enchantement du

distingue trois formes de religion : la première est due à la crainte et à une incompréhension de la causalité des phénomènes naturels, d’où l’invention d’êtres surnaturels. La deuxième est sociale et morale. La troisième qu’Einstein appelle « religiosité cosmique » est une contemplation de la structure de l’univers. Elle est compatible avec la science et n’est associée à aucun dogme, ni croyance. Einstein déclare être religieux, mais seulement dans ce troisième sens qu’il voit dans le mot religion

marin hors pair, « un des meilleurs navigateurs de tous les temps »5, ou même « le plus grand marin de tous les temps »6, mais « piètre politicien »7. Il apparaît « comme un homme de grande foi, profondément attaché à ses convictions, pénétré de religiosité, acharné à défendre et à exalter le christianisme partout »8.

Dans la mesure où la culture actuelle carbure à l’exposition publique de la vie privée sous toutes ses coutures, on est en droit de reposer la question de la pertinence de cette étanchéité et de s’interroger sur la conséquence sociale d’une religiosité privée. Les profondes mutations socioreligieuses qu’a connues le Québec au cours des 40 dernières années ont entraîné une reconfiguration de l’univers de sens des individus au sein d’un ordre social inédit marqué par le processus de modernisation

personnages importants de l'histoire, et se terminera par la mort de Grenouille. De plus la société paraît relativement pauvre, mais néanmoins, les gens n'ont pas l'air de s'en plaindre. Les stéréotypes des pensées et croyances de l'époque (la religiosité populaire, mais aussi la philosophie des Lumières en vogue chez l'élite intellectuelle) sont aussi décrits, d'une manière assez humoristique. Les odeurs: ce sont les thèmes récurrents de l'histoire. Les odeurs de fleurs, de plantes, d'animaux