Rembrandt

quattrocento (XVème siècle : Renaissance italienne) à l’époque contemporaine de Baudelaire (avec le romantique Delacroix) : Rubens : XVI –XVII(la vie de Marie de Medicis; l’enlèvement des Sabines) Vinci : XV – XVI( la vierge aux rochers; la Joconde) Rembrandt : XVII(la ronde de nuit ; la leçon d’anatomie) Michel-Ange : XV – XVI (la chapelle Sixtine) Watteau : XVIII régence de Philippe d’Orléans( Les fêtes galantes ;La finette ; l’embarquement pour Cythère) Goya : XIX (El dos de Mayo 1811, Las viejas;

remarquer « quelque chose de diabolique » ,un nez qui ressemble à « celui de Rabelais ou de Socrate » et des « yeux vert de mer » qui jettent des « regards magnétiques » .Le portrait est une « image imparfaite de ce personnage », comme « une toile de Rembrandt » aux « couleurs fantastiques ». Dans L’Homme qui rit, Hugo nous fait le portrait d’une personne totalement irréelle au destin hors norme, Gwynplaine. Il a subi une « mystérieuse opération » le dotant d’une « mystérieuse figure de joie ».Celui-ci

différents. Par exemple Rembrandt, au 17ème siècle est le peintre qui a réalisé le plus grand nombre d’autoportraits. Comme Frida montre ses souffrances, Rembrandt peint tous ses défauts. D’abord, peindre des autoportraits lui permet de résoudre des problèmes techniques liés à l’éclairage et au clair-obscur. D’autre part, l’autoportrait lui permet de s’analyser, de scruter ses expressions et sa vie intérieure. Par exemple, dans l’Autoportrait avec béret et col droit, Rembrandt est vêtu d'un manteau

électriques. À Paris, Hopper visite les musées et les expositions ; il s’intéresse aux impressionnistes (par l’intermédiaire de Patrick Henry Bruce) mais aussi aux maîtres néerlandais (Vermeer, Rembrandt) : lors de son voyage aux Pays-Bas, il est notamment très impressionné par La Ronde de nuit de Rembrandt. Son séjour en France ne fait que confirmer son admiration pour Edgar Degas. Cependant, Hopper ne suit pas ses contemporains dans leurs expériences cubistes et préfère l’idéalisme des artistes

Vérité/fiction : motivation (s’inventer une histoire, se mettre dans la peau d’un autre, faire naitre sa vie sur la scène de l’imaginaire), objectifs (montrer qu’il n’existe pas une vérité du sujet). Référence au mythe de Narcisse. On peut se déguiser comme Rembrandt, on peut également se représenter en double (Frida Kahlo). Marcel Duchamp se déguisait et faisait des farces à ces proches. Andy Warhol se transforme également : il raconte un autre lui, tout comme Journiac. Sophie Calle s’invente un faux-mariage

s’organise. Pour opposer et définir ces 2 organisations stylistiques, W dégage 5 oppositions. Ex : Durer, artiste classique du 16e, est linéaire alors que Rembrandt, maitre baroque du 17 e, est pictural. L’un et l’autre emploient des masses d’ombres et de lumiere, mais chez durer ces masses sont enfermées dans des limites précises alors que chez rembrandt, il n’est pas possible de délimiter exactement les contours des formes qui se melent entre elles de maniere mouvante. Le style pictural est en effet

sur la toile mentale du peintre. Par ailleurs le peintre aux lignes 9 « comme celui de Rabelais ou Socrate » et 21 « une toile de Rembrandt marchant ». Nous retrouvons donc dans le premier cas une comparaison entre Rabelais et Socrate. Deux figures en autre très connue de la littérature antique et passée. Et dans le deuxième c’est une référence picturale. Rembrandt semble donc être une figure vivante et marchante. Les références à Socrate et Rabelais ne peuvent être que picturales et le peintre

|INTERPRETATION | |« L'ombre cachait si bien le corps » |It just is...(Emilie's wise words..) |L'homme est comme invisible, il se cache bien. | |«un portrait de Rembrandt , sans cadre » |Comparaison a Rembrandt → | | | |rambrandt est connu pur ces portraits clair |

sur la comparaison « flamboie » = introduction de la notion de lumière juxtaposée à celle de la couleur // aspect pictural de la nature morte. Resserrement de la description sur la tête du hareng. Sfumato // peinture de la Renaissance flamande (Rembrandt, Le Caravage, école flamande) - Bipolarité du vocabulaire descriptif entre ombre et lumière. (flamboie, or, cuivre, illuminent… / noir, bruni, amortissent,…) « casque d’or » = ref. mythologique (casque d’Athéna ?) « On dirait » = modalisateur en

(puissant Beau-Frère) C'est en 1783 qu'il entra au service de Don Luis[->19], un frère du roi, réalisant pour lui plusieurs portraits de famille dont une Famille de don Luis (1784), un portrait de groupe baigné d'un clair-obscur intimiste inspiré de Rembrandt[->20]. Tres de Mayo Je vais vous presenter le Tres De Mayo aussi appelé La Fusillade du 3 mai. Cette toile représente la suite des évènements décrits par Dos de Mayo. Il commémore l’atrocité commise par les forces françaises pendant la Guerre