Remise En Cause De La Main Invisible

HYPERLINK http//www.contrepoints.org/2012/03/01/71284-adam-smith-et-la-main-invisible (mtaphore de la main invisible). - David Ricardo (Anglais, 19me sicle), dmontre lintrt du libre change, et le rle important de lentrepreneur en conomie de march. Il critique les rentes de situation de tous ceux qui se protgent de la concurrence pour vivre sans beaucoup defforts. - Milton Friedman (Etats Unis, 20 me sicle) a remis en cause lanalyse kynsienne, en dmontrant que les politiques de relance ne permettaient(in

providence, pourtant sans faille depuis 1945, se voit brutalement stoppée à partir des années 70. Le contexte a changé. Le ralentissement de la croissance économique entraîne une augmentation du chômage, l’ouverture croissante des économies et la remise en cause de l’Etat et de sa politique keynésienne au profit des idées libérales. L’État avait joué un rôle actif dans l’économie en finançant des grands projets industriels et en réduisant les injustices sociales. Toutefois, il est contraint à la rigueur

malgré l’idée qu’il faut réduire la voilure de l’interventionnisme, on assiste quand même à la mise en œuvre de politiques plus d’accompagnement de l’économie : politique de créneau : branches porteuses. Ab 70’s recul de l’interventionnisme II/ La ‘main visible’ de l’Etat 1- Les justifications d’un Etat libéral. Les politiques keynésiennes mettent l’accent sur le rôle macroéconomique régulateur de l’Etat pour favoriser le bien commun. Ces politiques ont montré leurs limites à partir des années 70/80

jugement des autres exercent une influence essentielle sur les actes humains. Question centrale chez Smith est celle de l’origine de la croissance économique. Ø La division du travail est l’élément essentiel donc il faut une éco de marché Ø La main invisible du marché assure la meilleure allocation possible des ressources disponibles Ø Théorie des avantages absolus D’où vient la croissance économique ? Smith distingue travail productif et improductif : L’ouvrier ajoute de la valeur à la valeur du

des plus démunis se traduit automatiquement par une augmentation équivalente de la consommation et donc de la demande, facteur de la croissance engendrant un cercle vertueux. En revanche le principe de l’Etat providence a été remis en question au début des années 1890 à cause du niveau élevé des prélèvements obligatoires qu’il implique et de son effet néfaste sur l’initiative. B-) Croissance économique : 1-) Approche définitionnelle de la croissance économique La croissance économique peut-

des libertés et des droits individuels. Le marché, c’est la libre confrontation des offres et des demandes qui permet l’établissement d’un prix d’équilibre, sans intervention consciente de quiconque. Pourtant, très rapidement, le marché va être remis en cause, la “ question sociale ” au XIXe siècle apparaît à nombre de commentateurs comme la conséquence de l’application de la logique marchande à toutes les sphères de la vie économique et sociale. Au marché autorégulateur facteur d’harmonie, on oppose

La régulation par le marché est-elle remise en cause par la crise financière actuelle ? Le sommet du G20 s’est réunit à Londres le 2 avril dernier pour débattre de la réforme du système financier actuel et d’un plan de relance économique mondial. La nécessité d’une politique de relance commune témoigne de l’insuffisance de la régulation par le marché. Les libéraux considèrent que le marché est doté d’un mécanisme de correction automatique des déséquilibres économiques et perçoivent l’interventionnisme

moins quantifiable des liens entre certaines variables économiques. (Exemple : Loi d’Engel, loi des débouchés etc.) 3. Lois et modèles évolutifs 1. Exemple : Courbe de Philips (plus valable depuis les années 70 et n’a duré que 30 ans), invalidée à cause de la stagflation (=Coexistence entre le chômage et l’inflation). 4. Les lois sont fondées sur des hypothèses plus ou moins contraignantes. 5. Une hypothèse est une simplification de la réalité qui rend la formulation de théories possibles. 6. Un

contribuant aux bons résultats conjoncturels (Exemple : les bons résultats de Clinton permirent à son équipe de conseillers économiques de sortir de l’anonymat, y compris pour Stiglitz). Mais parfois la conjoncture est comme un jeu de carte avec une main dépendant des aléas du hasard (ex : 11 septembre 2001). Il semblerait que selon Stiglitz la vie économique ne soit qu’un jeu soumis au hasard. Dés lors tout gouvernement en fonction doit jouer avec la « donne » qu’elle a : c’est à dire pour l’administration

productive, plus de richesse alors il y a une capacité d’épargne ce qui va développer des infrastructures et petit a petit l’industrie. C’est ce qui amènera petit à petit vers la révolution industrielle. Dans l’agriculture, on aura moins besoin de main d’œuvre, ce qui va permettre à l’industrie de se développer. Ces évolutions démarrent tout d’abord en Angleterre et ensuite dans les autres pays occidentaux. 2- Réaction contre le gouvernement mercantilisme C’est le courant dominant depuis le 16°s