Remords Ou Regrets

Pyrrhus est le roi et fait valoir sa grandeur qu’une passion amoureuse diminuerait ; elle utilise la flatterie comme moyen de persuasion mais évoque aussi son chagrin qui est incompatible avec une autre relation. Pyrrhus répond en invoquant ses remords et ses regrets mais se fait dominer par sa passion, il en oublie de raisonner. On a un dialogue impossible où chacun reste prisonnier de ses passions et de ses attentes. L’une dit : « votre dignité, ma douleur ». L’autre répond : « votre cruauté, ma peine »

parle de deux amants qui ont tués le mari gênant pour s’aimer en liberté, mais qui ne le purent pas. Malgré ne pas avoir été poursuivi par la justice, leur crime fût leur châtiment. Ce dernier les hantait complètement et leur culpabilité et leurs remords les envahirent. Et donc avec l’envie de mettre fin à leurs souffrances et d’échapper ses sentiments effrayants, ils s’empoisonnèrent mutuellement. Le registre tragique met en scène des situations sans espoirs de personnages dont le destin

d’exploiter les opportunités qu’offre la vie et peut-être de développer la confiance en soi. Lorsque nous sommes témoin d’une situation à laquelle on aurait pu agir, il est fort possible de regretter cette inactivité car on imagine tout ce qui aurait pu se passer dans un cas contraire, on ressent du remord. D’un point de vue psychologique et personnel, il faut savoir faire correspondre ses actes avec ses pensées, c’est-à-dire rester conforme à soi-même. Le sentiment d’agir nous donne de la motivation

mais quand les autres critiquent je dois me surpasser «  Couplet 1 :Alors qu’est-ce qui passe dans l’air que je respire ?J’ai comme l’impression qu'on souffre le martyrMaintenant je viens de toucher le fond du problèmeJ’ai trouvé la source de mon regret, de mes dilemmesÇa fracasse dans mon ombre je suis fragileC’est une situation compliquée qui à mes yeux défileDans la pénombre je suis, je perds mon assuranceJ’ai plus confiance en mes capacités et à ma chanceJe cherche la cause de tout sommeil manquéCe

alors en exil à Jersey depuis trois ans suite au coup d’État de Napoléon Bonaparte en 1851. Dans ce poème lyrique et descriptif composé de huit quatrains, il évoque les difficiles répercussions de cette expatriation sur son état psychologique, les regrets liés à sa vie d'avant et la difficulté à supporter l'absence de toute vie sociale. Dans un premier temps, nous mettrons donc en évidence la grande souffrance émanant de ce poème puis nous nous intéresserons au poids de la solitude qui réside dans

Aimer à perdre la raison Aimer à n’en savoir que dire A n’avoir que toi d’horizon Mon Coeur ; Ca fait déjà 10Mois qu' on est ensemble, ca passe vite quand on est heureuse ;$ Tu me rend vraiment heureuse ! Je ne me vois plus sans toi :$ Je ne regrette rien , Je suis tellement bien aek toi :D Je te fais confiance , meme si des fois tu dis le contraire .. Sache que jamais jte mentirai. Le 07Octobre, La plus belle date de toute ma vie. T' es le plus important pour moi ;$ T' es la chose la plus cher

d’un fils chéri. Ensuite, Phèdre sera prise par ce qu’elle laissera paraître comme de la culpabilité. Dans les mots « secret remord » et « odieuse mère » aux vers 591 et 594, elle entamera un discours remplit d’arrières pensées. D’un côté, elle laissera croire à Hippolyte qu’elle regrette d’avoir été si dur envers lui, alors qu’en vérité, elle voudra plutôt dire qu’elle regrette de l’aimer lui, son beau-fils. D’une autre manière, en se traitant d’odieuse mère devant Hippolyte elle lui ferra également

Romand, lorsque la parole est donnée à l’accusé. 4) Cet extrait est le plaidoyer de Jean Claude Romand. C’est le discours qu’il prononce à l’audience, pour demander pardon à la famille de son épouse, pour le mal qu’il a fait. Il exprime des remords, des regrets et prend conscience de son acte. Il demande aussi pardon aux absents, ses victimes. 5) Le type de raisonnement employé dans ce texte est le raisonnement concessif. Le locuteur Jean Claude Romand semble admettre un fait ou un argument qui

sa parfaite image » ligne 2, «  cette âme tendre et délicate » ligne 3, «  lui seul eût consacré sa vie entière à la femme qu’il aimait » ligne 14. Contrairement à Marianne qui vit dans l’espoir du futur, Octave se morfond dans la nostalgie et les regrets du passé en usant de temps au passé : « je l’ai connu » ligne 1, « voilait les perfections » ligne 2, « que nous avons passées ensembles » ligne 4. Il profite de l’éloge de son ami pour se décrire lui-même en tant que son ombre obscure, son opposé

Perdican exprime dans cette scène, de nombreux regrets qui fonctionnent comme une reprise de l’intrigue de la pièce. Il oppose en effet le chemin lisse et facile qui s’offrait à eux, et rappelle ainsi la scène 2 de l’acte I où tout était préparé pour leur union, à la route qu’ils ont pourtant suivie, pleine d’embûches et de détours, « le vert sentier qui nous amenait l’un vers l’autre » « un si tranquille horizon » s’oppose aux « rochers informes ». Il regrette ainsi le temps perdu et formule envers lui