Remords

pour concevoir sa Bethsabée( il était étudiant de R ) B est tournée vers la droite, vers le passé, pensant à Urie de son visage mélancolique, elle a apparemment déjà lu la lettre ou doit pertinemment savoir ce qu’elle contient, elle est dans le remord avant même d’avoir faut quoi que se soit Contexte : R à 48 ans, sa femme Saskia est morte deux ans plus tôt en 1652. 3 de ses enfants sont mort en bas âge. Malgré sa réussite, R sera en faillite en 1956, 2 ans plus tard mais la situation en 1654

droit et la règle morale est le type de sanction qui est applicable. La règle de droit est coercitive et est donc régit par une sanction prévue et inscrite dans des textes de loi. La faute morale au contraire ne peut être punie que par son auteur. Le remord peut alors être l’expression de cette sanction personnelle. L’histoire nous a prouvé que la règle morale n’intervenait que très rarement dans la règle de droit. Durant l’époque Féodale par exemple, le droit ne pouvait être moral car il était rendu

animal mort par terre, ils se battraient jusqu’à la mort seulement pour avoir cette nourriture sans la partager. La nature pousse les hommes à entrer en compétition les uns contre les autres en plus d’avoir aucun remords en posant des gestes violents pouvant causer la mort. Ces remords surviennent seulement lorsque l’humain est dans l’état de société parce qu’il est soumis à des menaces comme par exemple : si tu tues nous allons te pendre. Hobbes affirme que les hommes sont libres et qu’il n’y

mouvement, qui traduit un rapprochement incontestable, n'est pas non plus, toutefois, dénué d'ironie, sinon de cynisme, comme on peut le voir à l'évocation du moment ou « tu fus maître enfin » ainsi qu'a celle du « remords ». Ce rêve de souveraineté et cette familiarité avec le remords sont propres à Baudelaire lui-même. Enfin, le troisième mouvements, constitué par les quatre derniers vers, reprend sa distance en interprétant d'une façon tout à fait originale cette fis la mort de Jésus comme le signe

A propos de Les âmes grises, Philippe CLAUDEL Editions Stock, 2003. L'écriture de ce roman est très classique. Il se lit avec facilité. Pourtant, ce qu'il raconte, sous l'aiguillon des remords et des grandes questions, c'est comme l'ouverture du ventre du mystère avec un couteau. Commençons par la fin de ce roman: un père, le narrateur, tue son fils âgé de quelques jours, en l'étouffant sous un oreiller, car la vie de celui-ci signifie la mort de sa mère en le mettant au monde toute

changer leur avis, d’accepter les besoins et les actions des femmes sans les juger. Après cette invitation, il parle de « son remords ». L’utilité de sa propre voix continue l’idée d’une invitation à l’écouter et à partager ses sentiments. De plus, Eluard veut dire que son remords ne réside pas dans la violence des Nazis, que les Français ont essayé d’arrêter. Son remords se trouve dans la violence des Français contre les Français. Après, il parle d’une expérience personnelle, quand il a vu une

conscience tranquille », c’est qu’il est bouleversé par des choses qu’il a faites, subies ou apprises (la mort de quelqu’un, …). Mais est-ce que l’on peut avoir la conscience tranquille, être en paix avec soi-même sans être troublé par les remords et regrets, et surtout par les désirs et passions ? Et est-ce vraiment possible si on considère la nature de la conscience ? Nous essaierons dans une première partie de démontrer que l’on peut avoir la conscience. Ensuite nous expliquerons

philosophes. La morale a pour but le perfectionnement de l'individu à lui-même, il n'inclut pas le reste de la société, la morale est propre à soi, elle vise la conscience d'un individu. Elle vise au perfectionnement social, ses sanctions sont les remords, avoir mauvaise conscience, elle pénètre le cœur de l'être. Tandis que le droit lui, encadre la société, pour une entente générale, il vise le maintient de l'ordre social, les attitudes extérieures de l'individu et envers son prochain, il est hétéronome

dans le mal, l’être humain ne peut entièrement renoncer à sa conscience et au respect, fût-il superficiel ou contradictoire, du bien. Cette contradiction de l’être malfaisant avec lui-même associe à l’hypocrisie le phénomène psychologique du remords. Celui qui maintient aux yeux des autres son apparence de vertu est susceptible d’éprouver une profonde nostalgie pour la vertu réelle dont il s’est détourné. Tel semble être le cas du personnage de Macbeth dans la tragédie de Shakespeare, avant

poème peut être comparé à un monologue puisque le poète est seul et que le titre est « Paroles » laissant entendre qu'il s'agit dans un premier d'un récit oral. Ce monologue est constitué de rimes suffisantes « évanouis- éblouis » et de rimes riches « remord-mort » notamment dans la dernière strophe, cette construction est donc graduée. De plus, certaines rimes sont aussi grammaticales comme les adjectifs « éblouis-évanouis », ou les participes passés comme « entraînées- sonnées » ou encore les