Remords

raison que l’aliénation représente son destinateur en fait, est seulement qu’elle n’a aucune raison solide de vouloir se venger. Par la suite, vers la fin du roman, Jupiter influence radicalement Électre en lui disant qu’elle devait tout laisser les remords à ce dieu se qui correspond donc à l’aliénation, car elle ne serait pas libre de choisir. Le discours d’Oreste à la toute fin lorsque le peuple veut un roi revient encore au déterminisme. Le fait que les gens laissent d’autres décider à leur place

évoque rien ne pourra en aucun cas nous atteindre et nous laissera totalement indifférent. C'est une des raisons, justifiant le choix thématique de cette anthologie. Aux saisons nous associons tous, selon notre vécu, un sentiment particulier, du remords, des souvenirs... Mais par la lecture de différents poèmes, l'on constate assez vite qu'il existe des assimilations récurrentes. Ainsi, dans mes pensées, printemps rime avec amour, renouveau, immense symphonie, où « des millions de fleurs se mélangent

est dominée par son amour pour Edmond Dantès. Elle est l’une des victimes les plus atteintes par le complot contre Dantès : le croyant mort, elle se résigne à une vie qui lui déplait en épousant Fernand Mondego. Elle est alors rongée par les remords et la nostalgie. Aux yeux de Dantès, sa résignation et sa passivité constituent une trahison qu’il cherche à punir, tout en continuant à l’aimer malgré tout. Mercédès fait pourtant preuve d’un certain courage, d’abord en affrontant le comte de

devient un enfer Laurent se met a battre Thérèse. Chacun d’entre eux pense tuer l’autre. Pour cela Laurent achète du poison, qu’il verse dans un verre d’eau. Thérèse s’approche avec un couteau. Ils comprennent les intentions de l’autre. Pris de remord les deux amants vont chacun boire la moitié du verre sous l’œil de Mme Raquin qui savoure leur double mort. Les personnages : Mme Raquin mère de Camille. Camille cousin de Thérèse. Thérèse nièce de Mme Raquin, femme de Camille et amante de Laurent

la mort d’un être proche : « Le Bonheur a marché côte à côte avec moi ; / Mais la FATALITE ne connaît point de trêve : / Le ver est dans le fruit, le réveil dans le rêve, / Et le remords est dans l'amour : telle est la loi. » (V.16-20) Dans cette citation, on retrouve une antithèse puisque Verlaine oppose le mot « remords » au mot « amour ». Cette citation précise que dans tout bonheur ou belle chose, il va toujours avoir quelque chose de mauvais. Verlaine a connu le bonheur, mais la fatalité lui

jusqu’au soir ») est également présente dans le but d’amplifier le caractère volage de Don Juan et son immoralité à épouser plusieurs femmes. Toujours pour arriver à ses propres fins, le protagoniste de la pièce pratique l’hypocrisie sans aucun remords. Lors de la deuxième scène de l’acte deux, ce dernier fait l’éloge de l’hypocrisie à Sganarelle : « […] l’hypocrisie est un vice privilégié, qui, de sa main, ferme la bouche à tout le monde, et jouit d’une impunité souveraine ». Par cette figure

le fait de les retrouver à la fin de l'extrait n'est pas anodin. Il se dresse une sorte de tribunal particulier où les personnages partagent leur point de vue. Et c'est autour des figures exemplaires de L'Ingénu et de sa maîtresse qu'a lieu les remords et le pardon de la part de chacun. Et l'extrait se termine par un jugement double qui nous montre une évolution morale de tout les assistants. Plan (à compléter par des citations) I – Un épisode théâtralisé A – un tableau figé : tous les

de son cœur. ŒNONE Aricie ! PHÈDRE Ah ! douleur non encore éprouvée ! À quel nouveau tourment je me suis réservée ! Tout ce que j’ai souffert, mes craintes, mes transports, La fureur de mes feux, l’horreur de mes remords, Et d’un cruel refus l’insupportable injure, N’était qu’un faible essai du tourment que j’endure. Ils s’aiment ! Par quel charme ont-ils trompé mes yeux ? Comment se sont-ils vus ? depuis quand ? dans quels lieux ? Tu le savais

plusieurs fois et qu’après un moment elle décide d’avoir un enfant, il est fort probable que l’enfant se détache de lui-même puisque la mère a eu trop d’avortements précédemment. L’avortement peut aussi causer chez certaine femme de l’angoisse et des remords, ce qui est pire que certains problèmes physiques, car tu vie toujours en ayant dans la tête que tu pourrais, en ce moment même, tenir dans tes bras un petit enfant de 2 ans, ou plus dépendamment cela fait combien d’année que tu t’ai fait avorter

de l'impuissance face aux forces divines. En observant, l'ensemble de mots, dont Phèdre, se sert pour nous peindre le portrait de son amour caché envers Hippolyte; « Mais un secret remords agite mes esprits. /je crains d'avoir fermé votre oreille à ses cris » 591-592 L'on remarque dans cette périphrase, le mot remords, qui signifie : « une peine morale d'avoir mal agi »DictSansAgent. Donc son secret, son amour voilé en autres mots, est donc attribué à une honte selon elle, une honte d'avoir mal agi