Remords

Portant, comme un remords, mon orgueil étouffant,J’irai vers le Martyre ensanglanté de roses,Car mon cœur est trop lourd pour une main d’enfant. Renée Vivien, La Vénus des aveugles SapphoFurieuse, les yeux caves et les seins roides,Sappho, que la langueur de son désir irrite,Comme une louve court le long des grèves froides, Elle songe à Phaon, oublieuse du Rite,Et, voyant à ce point ses larmes dédaignées,Arrache ses cheveux immenses par poignées ; Puis elle évoque, en des remords sans accalmies

juger. La conscience est comme un tribunal. Tribunal : juger de son for intérieur (3 pouvoirs) Législatif ; donner des règles, m’observer, objecteur de conscience. Judiciaire : me juger, m’évaluer, examen de conscience. Exécutif : se punir, remords, culpabiliser, se féliciter, fierté, bonne conscience. Indices de la conscience : nostalgie angoisse mélancolie haine appréhension hâte empathie compassion désir non immédiat pitié espoir, désespoir. La conscience permet à l’Homme de prendre du

ton épée"). Dans l’acte suivant, Thésée, qu'on a pris pour mort, revient et Phèdre a successivement des différentes attitudes. Premièrement, elle est épouvantée à cause de son aveu à Hippolyte qui fait resurgir la honte en elle et elle est prise de remords. ( Acte III, scène 3,l. 833:"J'ai fait l'indigne aveu d'un amour qui l'outrage.") Ce sentiment est accompagné de la faiblesse en raison de l'humiliation d' Hippolyte et la fuite que ce dernier a déclarée. Secondement, quand Phèdre se rend compte qu’Hippolyte

faire appel aux sentiments du personnage. A la fin du texte, « Moi » fait une tirade pour expliquer ce que lui ferait si il était à la place du Docteur, et bien sur, lui fait comprendre qu’il n’aurait aucune pitié pour ce genre d’individu et aucun remords. Le Docteur, lui, est en quelque sorte le bouc émissaire de ce dialogue, son rôle en tant que médecin et sa tache demandé est ce sur quoi repose ce texte. Il est donc la cible de « Moi » qui le persécute presque à faire ce qu’il croit bon qu’il fasse

Ce roman tragique, qui a pour courant littéraire le naturalisme aborde plusieurs thèmes : la confrontation entre des personnages de caractères • différents Laurent, au tempérament sanguin Thérèse, un tempérament nerveux sous un masque calme. les remords d’amants suite à l’assassinat du mari ils finissent tous deux par sombrer dans la folie. • la monotonie de la routine ce qui pousse Thérèse, ennuyée à commettre un acte d’adultère. Puis à vouloir assassiner son mari. • un amour maternel sans limites

considère souvent davantage comme des misérables au cœur de pierre que comme des malheureux ayant la capacité de faire preuve de sentiments ordinaires : pitié, jalousie, remords, colère, joie… En effet, Dostoïevski nous montre que peu de forçats sont des assassins « en puissance ». Beaucoup éprouvent de terribles remords ou ont commis leur(s) crime(s) sans s’en rendre réellement compte. L’auteur nous montre aussi que tous les condamnés sont différents et possèdent chacun un caractère

catégorie sociale ou héréditaire. L'homme est ce qu'il se fait, il a la responsabilité de se former librement, de se choisir. L'existencialisme est un humanisme. Jupiter, en condamnant les hommes, veut figer les habitants dans le remord, la fatalité l.20-21 "leurs remords, toutes leurs fautes vont se figer sur eux comme de la graisse refroidie." Jupiter accuse les habitants de ne rien faire. Il les croit libres de refuser sa logique/celle de Pétain et de se lever pour résister. Conclusion: Sartre

meurtre qu’il pourrait commettre. Durant tous ce passage qui est très cours dans le livre mais qui en réalité dure longtemps. L’avocat ne demande pas, ne serait-ce qu’une seule fois à Meursault de se défendre ou de donner son avis, d’annoncer ses remords. A travers ces phrases « Il osait espérer que la justice des hommes punirait sans faiblesse » « Mais quand il s’agit de cette cour, la vertu toute négative de la tolérance doit se muer en celle, moins facile, mais plus élevée, de la justice», on en

fermement, dévoré peu à peu par la jalousie. Pelléas et Mélisande finissent par s’avouer leur amour : au moment où ils s’embrassent, Golaud sort son épée et tue Pelléas, laissant Mélisande s’enfuir. En présence d’Arkel et d’un Golaud rongé par les remords, la mystérieuse Mélisande s’éteindra lentement, sans que son mal soit clairement identifié et que Golaud ne parvienne à percer la vérité sur les liens profonds qui l’unissaient à Pelléas. "     Mon avis :   L’histoire de Pelléas et Mélisande

Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici :  Une atmosphère obscure enveloppe la ville,  Aux uns portant la paix, aux autres le souci.    Pendant que des mortels la multitude vile,  Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,  Va cueillir des remords dans la fête servile,  Ma Douleur, donne­moi la main ; viens par ici,    Loin d’eux. Vois se pencher les défuntes Années,  Sur les balcons du ciel, en robes surannées ;  Surgir du fond des eaux le Regret souriant ;    Le Soleil moribond s’endormir sous une arche