Rentabilité

Structure de financement 6 4.1Autonomie financière 6 4.2Ratio d’endettement à LT 7 4.3Capacité théorique de remboursement  7 Structure de l’actif 8 5.1Investissements 8 5.2Degré de couverture des immobilisations 8 Rentabilité 9 6.1La rentabilité économique (RCI) 9 6.2La rentabilité des fonds propres 11 6.3Effet de levier 11 Divers 12 7.1Calcul du cash-flow ou autofinancement 12 7.2Calcul du free cash-flow 12 7.3Le point mort 12 7.4L’élasticité du résultat 12 Commenter un tableau de financement

: ) (Recherche de gain de productivité plus coûteux que le remplacement de l’équipement à l’identique (Pouvoir d’autofinancer est un atout pour une entreprise qui est exposé régulièrement à divers facteurs qui a tout moment peut altérer la rentabilité de l’entreprise (événement politiques ou conjoncturels, concurrence, mouvement sociaux …) C) L’autofinancement est support de croissance ( Interne : renforcement et modernisation des capacités de production : lancement nouveau produits/ amélioration

LSG utilisent ses lignes de crédit bancaire pour financer sa croissance. (4) Supposons enfin que LSG emprunte à court terme les capitaux rendus nécessaires par le doublement du chiffre d’affaires à la Banque Ducoin au taux de 8%. Quels seront les rentabilités économiques et financières de LSG à partir de 1997 si le chiffre d'affaires se maintient au niveau de 1996 ? Solution (1) Compte de résultat prévisionnel 1996 : Chiffre d’affaire (100  2) Ebexp (30  2) Dotation aux amortissements Résultat d’exploitation

point à partir de N+2. 4) La société s’intéresse à une action donnant droit à un dividende annuel de 50 000 F sur un horizon infini. La société a-t-elle intérêt à se porter acquéreur si le cours de l’action est de 600 000 F et que le taux de rentabilité exigé par les actionnaires est de 8 % ? CAS 5 La conjoncture boursière lui paraissant favorable, un investisseur, monsieur KANE, décide de placer une partie de ses liquidités dans des actions cotées en bourse. Le 30/04/N, il procède entre autres

après l’opération et l’évolution d’entreprises comparables (en termes de secteurs, d’activité, de taille…) sur la même période et n’ayant pas opté pour ce choix de développement. Parmi les indicateurs les plus utilisés, on retrouve : Le taux de rentabilité financière et économique L’évolution des parts de marché ou des ventes Les résultats obtenus par cette méthode montrent que les fusions-acquisitions ne sont pas performantes voire des échecs dans près de 50% des cas. L’utilisation des documents

permanent et les dettes à moyen et long terme). Il s’agit plus concrètement, du taux de rentabilité minimum que doivent dégager les investissements d’une entreprise pour à la fois satisfaire les exigences de rentabilité de ses actionnaires et les exigences de rentabilité de ses créanciers. Et on ne peut parler de coût du capital sans soulever l’importance du risque. En effet, si l’investisseur souhaite améliorer la rentabilité de son investissement (projet) ou de son portefeuille (actifs financiers) il doit

|demande et sur l’offre (Keynes et les néo- classiques),| |Autofinancement, taux de marge | |Ne pas donner une réponse claire sur le facteur | |taux d’intérêt, profitabilité, rentabilité économique | |déterminant. | |et financière, | |Mal maîtriser la périodisation économique

d’atteindre le niveau optimal du couple rentabilité-risque (en fonction du risque qu’il est prêt à encourir). Ces marchés sont supposés « parfaits » au sens de la théorie économique : ni taxes ni commissions, titres parfaitement liquides et information parfaite. Les investisseurs n’aiment pas le risque gratuit. Parfaitement rationnels, ils en acceptent un niveau plus ou moins élevé moyennant une compensation financière, la prime de risque. La rentabilité d’un titre est estimée par l’espérance

personnel (effectif, performance horaire des trieurs, statuts), le taux d'utilisation des équipements, la qualité de l'entrant, la variation des apports (effet saisonnier), le type de flux entrant. III-1 : La politique de maitrise des coûts, la rentabilité et la situation financière : ΙΙΙ-1-1 : La Maitrise des coûts en général : La maîtrise du coût du projet implique de rechercher les causes des écarts positifs et négatifs et fait partie de la maîtrise intégrée des modifications Par exemple des

pour assurer sa survie, son redressement et son développement par une nouvelle stratégie. Ainsi le diagnostic financier consiste à examiner l’équilibre financier de l’entreprise, son degré de liquidité, son degré de solvabilité ainsi que sa rentabilité. Il permet, par les outils de l’analyse financière, de faire le point sur l’entreprise, analyser ses forces, ses faiblesse, prévoir son avenir et connaitre sa valeur. Tout d’abord les entreprises marocaines souffrent d'une fragilité structurelle