Renée Vivien

contemporary reputation of O.V. Lubicz-Milosz. Arthur Davison Ficke, even the still living and quite good Witter Bynner, are largely forgotten, and only Edna St. Vincent Millay survives, read by passionate high-school girls. Did Edna Millay read Renée Vivien or Lucie Delarue-Mardrus? Although she was married to a French intellectual, I would be willing to wager a considerable sum that she never heard of them. Instead, she attempted what is probably the worst translation of Baudelaire — a personality

écoutent germer les roses sous la terre Et perçoivent l’écho des couleurs, le reflet Des sons... Leur atmosphère est d’un gris violet. Ils goûtent la saveur du vent et des ténèbres, Et leurs yeux sont plus beaux que des torches funèbres. Renée Vivien (1877-1909) À TRAVERS LES ÉTÉS… (À une jeune fille À une maison À Francis Jammes) Attendue À travers les étés qui s’ennuient dans les cours en silence et qui pleurent d’ennui, Sous le soleil ancien de mes après-midi Lourds de

contours précis, forme d’archétype que l’on retrouve aussi bien sous une forme anonyme dans Vitam Impendere Amori43, par exemple. Ce sont encore les figures croisées d’Ophélie, de Sapho et de la Loreley qui nourrissent les rêves de Lesbos chantés par Renée Vivien, où se devine dans l’évocation de corps narcissiques s’abîmant dans la contemplation de leur reflet l’insatisfaction d’un désir impossible à combler : 41. Ibid., p. 51. 42. Ibid., p. 46. 43. Guillaume Apollinaire, Œuvres, op. cit., p. 153.

« Allons ! encore L notre vieux carrick ». Elle désigne le colonel Chabert, ce que le lecteur ne peut comprendre que par la suite. 2  es personnages de l’incipit se trouvent dans une étude d’avoué L (c’est-à-dire, un bureau d’avocat) rue Vivienne à Paris. Ils sont six. 3  e colonel Chabert apparaît après la description de l’atmosphère qui L règne dans l’étude. Il y entre. On l’ignore, on se moque de lui, on le prend pour un fou. 4  habert veut retrouver sa place  dans la société 

exclamation : « Allons ! encore notre vieux carrick ». Elle désigne le colonel Chabert, ce que le lecteur ne peut comprendre que par la suite. 2 Les personnages de l’incipit se trouvent dans une étude d’avoué (c’est-à-dire, un bureau d’avocat) rue Vivienne à Paris. Ils sont six. 3 Le colonel Chabert apparaît après la description de l’atmosphère qui règne dans l’étude. Il y entre. On l’ignore, on se moque de lui, on le prend pour un fou. 4 Chabert veut retrouver sa place  dans la société  :

voie ferrée du PLM a lieu avec l'aide d'une main-d'œuvre principalement italienne. Marseille est alors une ville avec une forte minorité transalpine : en 1851, sur 200 000 habitants, on compte environ 16 000 Italiens. Les historiens Émile Témime et Renée Lopez parlent même d'« invasion italienne » entre les années 1850 et 1914 tant leur immigration est importante dans la ville. En 1911, ils sont autour de 94 000, soit 17 % du total, et leur proportion domine largement la population étrangère (88 %)

regard des statues, Et pour sa voix lointaine, et calme, et grave, elle a L'inflexion des voix chères qui se sont tues. Emotion = tristesse Question 2: Influence de la chanson du geste Réf. Livre d'or de la poésie française, ibid. Ondine - Renée Vivien - Etudes et préludes Analyse = Question 1 Ton rire est clair, ta caresse est profonde, Tes froids baisers aiment le mal qu’ils font ; Tes yeux sont bleus comme un lotus sur l’onde, Et les lys d’eau sont moins purs que ton front. Ta forme

2910846296) • Pierre Miquel, Les @narchistes, Albin Michel, 2003 (ISBN 2226136193) • René Schérer, Nourritures anarchistes. L'anarchisme explosé, Hermann, 2009 • Victor Basch, L'Individualisme anarchiste, reed. Archives Kareline, 2008 • Vivien Bouhey,Les Anarchistes contre la République 1880-1914, Presses Universitaires de Rennes, 2009, 491 p. • Sylvain Boulouque,Les anarchistes français face aux guerres coloniales (1945 - 1962), 2003, 120 p. (ISBN 2905691824) Littérature anarchiste[modifier]

considérait comme une « masculinisation » de la femme, et donc un abandon de l’identité féminine pour celle d’un « homme simulé » 3. La poétesse Natalie Barney, quant à elle, revendiquait l’héritage saphique et entretenait, avec son amie Renée Vivien, « la muse aux violettes », l’image d’une féminité éthérée et aristocratique. Avait-elle une plus grande force contestatrice que celle de Radclyffe Hall ? On peut en douter, tant l’image de la lesbienne érotique, femme fatale ou « femme damnée

Lee (1943-) o Abbott Bud (1895-1974) o Abouseif Salah (1915-1996) o Accart Arlette (1926-1957) o Acker Jean (1893-1978) o Acord Art (1890-1931) o Acquanetta (1921-2004) o Adorée Renée (1898-1933) o Aherne Brian (1902-1986) o Aimos Raymond (1889-1944) o Albani Marcella (1901-1959) o Alfa Michèle (1915-1987) o Allen Gracie (1895-1964) o Allgood Sara (1879-1950)