Repartition Chez Malthus

réelle. Ricardo avait un don remarquable pour l'analyse et fut un penseur perspicace. II prenait grand soin de soumettre ses idées à critique et il les révisait quand il était convaincu. Le principal critique de Ricardo fut son ami T.R. Malthus (1766-1834). Malthus est renommé pour son pessimiste Essai sur la population - Essay on Population (1798) -, selon lequel la race humaine tend à se multiplier jusqu'à la limite imposée par les ressources alimentaires disponibles. Mais il joua ensuite un rôle

avec l’Ancien ? Trois critères essentiels : 1. La capacité de cette pensée à évoquer les problèmes et débats économiques d’aujourd’hui Exemple : la pensée économique d’Aristote présente dans ses écrits politiques notamment dans Les Economiques (chez VRIN)  n’entre pas en résonance avec nos questions économiques actuelles. En effet, l’une des questions aristotéliciennes est de savoir comment bien gérer ses esclaves, chose qui n’est plus d’actualité aujourd’hui. De la même façon Saint-Thomas d’Acquin

l’ancêtre de la comptabilité nationale moderne CAD une façon de représenter sous une forme simplifiée l’ensemble des interactions à la fois entre agents économiques et entre les périodes. B) Les classiques : A. Smith et J.B Say. Ricardo et T. Malthus. Et Marx. Le développement des industries, les premières mutation démographies et l’expansion des centres urbains modifient en profondeur la vie économique en Europe à partir du 18eme siècle. Ces différents changements sont à la source de la

La valeur et répartition  Pour les classiques : Valeur : Les Classiques n’ont pas lié la problématique de la valeur à celle de la répartition. Selon Adam Smith la division du travail est la base de la réalisation de la production, c’est la spécialisation de la production, l’homme va échanger tous ce qui excède sa production avec ce qu’il ne produit pas, à ce niveau les Classiques vont poser des questions : Pour quelle base on va faire l’échange ? Comment mesurer la valeur ? Pour les Classiques

situation de surproduction généralisée ? Selon lui, ces surproductions partielles signifient obligatoirement, parallèlement , qu’il existe des sous productions dans d’autres secteurs en raison d’une mauvaise allocation du capital et d’une mauvaise répartition des efforts de production, rejetant ainsi l’idée qu’on puisse trop produire dans tous les secteurs, il est impossible que toutes les marchandises soient invendables à la fois. Il y a donc impossibilité de surproduction générale, car à tout moment

classiques sont régulièrement en désaccord comme nous le montre Ricardo, Smith ou encore Malthus. * Smith et Ricardo ont des théories sensiblement différentes sur la valeur et la répartition. Dʼailleurs Ricardo construit toute sa théorie en contradiction avec celle de Smith. * Ricardo et Malthus sont en désaccords sur le problème des débouchés de production. Cʼest la question sur la crise de la surproduction. Malthus a été le 1er auteur à mettre en avant le caractère récurrent des crises de surproduction

théorie de la répartition du produit entre les diverses classes sociales. • La croyance dans les vertus de la liberté économique. • Grande importance accordée au problème de la croissance dans une perspective de longue période. Pour Smith, éco. politique = manière d’enrichir la nation Pour Say, le but de l’éco = montrer la formation, la distribution et la consommation des richesses. Pour Ricardo, le principal pb en éco. politique = déterminer les lois gouvernant la répartition des richesses

vulgarisés ou véhiculés les théories de Smith. Les représentants sont pour l' école anglaise (dite pessimiste )Malthus ,Ricardo ,Stuart Bill et pour l'école française (dire positiviste) J.B Gay et Bastiat. Ils cherchent avant tout à expliquer les phénomènes de croissance, de développement et de répartition des richesses entre les différentes classes sociales. 3.1 )L'école anglais 3.1.1).Malthus 1766/1834 Sa théorie de la population . Il explique la misère par le faite que la population augmente

de la demande favorisée par le gouvernement Jospin. La consommation est la part du revenu utilisée par les ménages pour l’acquisition de biens et services et qui ne donne pas lieu à une réutilisation. Elle résulte d’un choix microéconomique de répartition du revenu des ménages entre consommation finale et épargne (part du revenu qui pendant une période donnée n’est pas consacrée à la consommation). Pour favoriser le facteur de croissance qu’est la consommation, la politique économique doit s’orienter

démotivaient les travailleurs. -on a aussi une polarisation idéologique on a d’un côté les propriétaires industriels et les propriétaires fonciers qui se renvoient la responsabilité de la misère. Salaires à bas niveau chez les propriétaires industriels, prix élevés de produits agricoles chez les propriétaires fonciers. II. L’école classique A. La doctrine libérale des classiques : MUTATIONS Techniques | sociales | Financières | Machinismes | Propriétaire du capital | Création de monnaie papier |