Repartition Chez Malthus

donc nous poser la question suivante: comment ces différents courants de pensées expliquent-ils la croissance? Nous expliquerons dans un premier temps la croissance selon les précurseurs de l'économie puis selon les classiques. I La Croissance chez les Précurseurs de l'économie: Mercantilistes et Physiocrates Premièrement, nous expliquerons la croissance selon les mercantilistes. Le courant mercantilisme est un courant économique dominant aux XVI ème et XVII ème siècle, d'après lequel la

ouvrière peut-elle être réduite ? Ø Faut-il aider les plus démunis ? Ø Quelles sont les conséquences de la croissance économique ? Ø D’où provient le chômage ? Principaux économistes de la période classique Ecole classique : A. Smith, D. Ricardo, T. R Malthus et J-B. Say Courant réformiste : J.S Mill, S. Sismondi, F. List, C.H. de Saint-Simon Courant socialiste : C. Fourier, K. Marx, P.J Proudhon, R. Owen. I. Des premiers économistes aux classiques : Pendant longtemps, le pensée économique est restée dépendante

également que la question de la valeur ne préoccupe plus les économistes. Le terme de richesse a été remplacé par celui de bien être qui est une conception bcp plus flou et bcp plus complexe à mesurer. Pour l'illustrer on peut prendre un exemple chez un économiste français de la fin 19e début 20e qui est Charles Gide «Cours d'économie politique» (1911). C'était un économiste français qui a joué un rôle important, on a donné son nom à l'association française des économistes qui s'intéresse à l'histoire

les questions de Smith en essayant d’aller plus loin dans l’analyse. Son projet est de créé une science économique et d’établir des lois. Il perçoit le capitalisme comme un système avec donc des lois pour l’expliquer. 2.2.1 La théorie de la valeur chez Ricardo Le bon critère pour établi la valeur d’une marchandise on prend la valeur d’échange et non pas la valeur d’usage. Ce qu’il conserve également c’est le travail comme étant source de richesse et c’est ce qui crée la valeur et le travail doit

CHAPITRE 1 : LES CLASSIQUES Définissent la science économique = science qui étudie la formation et la répartition des richesses créées dans une économie. Leur objectif essentiel = expliquer les problèmes d'accumulation du capital sur le long terme càd la croissance économique. Auteurs et œuvres : -Adam Smith (1723 - 1790) : la Richesse des Nations (1776) -David Ricardo (1772 – 1823) : Principes de l'Economie Politique et de l'Impôt (1817) - JB Say (1767-1832) : Traité d’Economie Politique

CHAPITRE 1 : Les fondements du libéralisme 2 principes : respecter « l'ordre naturel » : l'état ne doit pas intervenir dans l'économie. Concept se retrousse chez tous : les Physiocrates, classiques ou néoclassiques. Les comportements individuels s'agrègent harmonieusement : chaque individu, en recherchant son intérêt personnel, œuvre (sans le vouloir) pour l’intérêt général. Les libéraux sont des utilitaristes : maximisation de l'utilité individuelle = satisfaction. I- Les premiers

14/09/2013 Chapitre 1 - Histoire de la pensée économique Le courant fondateur des classiques La branche anglaise, pessimiste, avec notamment Smith (A) Malthus ( B) et Ricardo ( C). La branche française, optimiste, avec Say (D). Le courant marxiste ( E ) 1 14/09/2013 A. ADAM SMITH (1723-1790) La richesse d’une nation repose sur le travail Création de richesse grâce au facteur travail Valeur des biens = quantité de travail Le profit rémunère l’accumulation de capitaux détenus

Intro : Malthus célèbre pour avoir dit que le monde courrait à sa perte parce que « les subsistances croissent en progression arithmétique tandis que les populations croissent en progression géométriques ». Que voulait dire Malthus ? Lorsqu’on augmente le nb de Weurs sur une surface donnée de terre, la production que l’on peut attendre est soumise à la « loi des rendements décroissants » : elle augmente moins que proportionnellement au nb d’ouvriers ainsi il arrive un moment où l’emploi d’un Weur

précédent attaché au libéralisme économique. Son fondateur : Smith avec le désormais célèbre La richesse des nations (recherche sur la nature et la cause de la richesse des nations) de 1776, il se poursuit par les idées de Ricardo, Say ou encore Malthus considéré comme le dernier vrai classique. Cependant, on attribue à Marx un penchant « classique » qui en font pour certains le dernier de la lignée, bien que de nombreuses divergences l’éloignent de ce courant. On parlera par la suite de courant

Robert Malthus (Anglais) ; Jean-Baptiste Say (Français) ; David Ricardo (Anglais) ; et John Stuart Mill (Anglais). Les thèmes majeurs abordés sont la richesse et sa répartition, la valeur, la croissance, la liberté et l’équilibre du marché. Adam Smith, considéré par certains économistes comme le père fondateur de l’économie moderne, est le seul classique anglais à avoir une vision optimiste de l’économie ; les autres auteurs principaux sont fortement influencés par le pessimisme de Malthus. Ces