Repenti

Diable et son déroulement. Satan n'aura pas la même influence dans l'étranger et le diable au bal . Dans le premier, le prête sauvera et viendra repentir la jolie jeune femme : « Il était temps que le curé arrivât ; l'inconnu en tirant sur le fil du collier l'avait rompu, et la serrant contre sa poitrine où il avait reçu son Dieu le matin... » Une fois repentie , elle ne se marie pas et en crainte de revoir Lucifer, elle deviendra une soeur au couvent . Elle ne mourra pas sur le coup. Juste après quelques

profiter de la miséricorde du Ciel et si il ne se repend ici , sa perte est résolue " ( v 1à5) Association possible avec Don Elvire son ancienne femme qu'il a sorti du couvent pour ensuite l'abandonner. C'est la derniere chance pour Don Juan de se repentir " S'il ne se repend pas ici , sa perte est résolue " (v3). Don Juan refuse. Le spectre se transforme en le temps avec une faux à la main " le spectre change de figure... sa faux à la main " ( v11-12) . Sa faux est representatif de la Mort qui guette

le Ciel ; un lexique religieux l’entoure : « miséricorde, repentir ». Il oppresse Dom Juan pour qu’il repentît ses pêchés immédiatement : « n’a plus qu’un moment ». Le spectre rappel les femmes bafouées, déshonorées. Dom Juan croit reconnaître la voix de Don Elvire. Le spectre s’adresse à Dom Juan à la troisième personne ; cela donne une étrangeté surnaturelle au spectre. Le spectre annonce à Dom Juan qu’il est encore temps de se repentir en vertu de la  « miséricorde ». Dom Juan va ensuite voir

gradation : « le ciel m’a inspiré de vous venir trouver et de vous dire de sa part ». Done Elvire utilise différents arguments pour convaincre Dom Juan. L’objectif du pacte est le salut de Dom Juan : « ne refusez point votre salut » par un « prompt repenti » imminence du châtiment par l’adjectif « prompt », par « près de » et « un jour ». Évocation du caractère exemplaire du châtiment divin avec un champ lexical de la colère « épouvantable coup » « éclatant » « redoutable » Intensité de la colère avec

Écriture et littérature Document d’étude (5%) : extraits de Dom Juan , Molière 1) Analyse de l’œuvre Extrait 1 : Dom Juan , acte I, scène 2. a) Qu’est-ce que le personnage de Don Juan exprime dans cette longue tirade? 1- l. 4 à 9 : Il exprime un désir de liberté, de cœur et d’esprit (il ne veut pas s’attacher à qui que

don Juan veut se repentir, mais trop tard don Juan ne veut pas se repentir Don Juan, chez Tirso de Molina, croit en Dieu, mais n'a aucune conscience de l'imminence du châtiment et se soucie peu de Dieu, tant que le danger de la damnation n'est pas perceptible. En revanche, la dimension religieuse, chez Molière hante le personnage tout au long de la pièce. Don juan n'est pas seulement un jouisseur désordonné, c'est un personnage qui poursuit, autant sinon plus que les femmes, une quête

faute. Le pardon ne serait-il pas lié à la demande du pardon, c'est-à-dire à la manifestation du repentir? Comment la faine ne s'étendrait-elle pas devant celui qui, par son repentir, nous rappelle qu'il est une personne, qu'il est autre chose que son acte, et que ce malfaisant que l'on veut détruire, ce n'est pas exactement lui? Et inversement, l'impardonnable serait-il justifié par l'absence de repentir, le criminel cynique? Celui-ci ne réclame pas qu'on le considère au-delà de son crime, il s'y réduit

Argos, dont il ignore tout, qu’il voit assaillie par des millions de mouches, symbole des remords d'Argos à la suite de l’assassinat de leur roi, Agamemnon, par sa femme, Clytemnestre, et son amant, Égisthe tourmentent chaque habitant rongé par le repentir de ses crimes, jusqu'aux souverains. La soeur d'Oreste, Électre, qui était restée à Argos, est réduite à l’état de servante, pendant que l'on a éloigné Oreste de la ville, enmené chez son oncle. Oreste a donc été élevé dans l'irresponsabilité pour

Royaume! ». Quant à l'objection qui consiste à dire qu'après son crime, l'assassin, par exemple, peut se repentir, et par-là retrouver la plénitude d'une dignité sacrée qui le rend intouchable, pareille objection n'est pas sérieuse... Car, précisément, le propre du repentir après un crime, est non seulement de se reconnaître coupable, mais de savoir qu'on mérite un châtiment. Si le repentir, voire le pardon de Dieu, suffisait, on se demande pourquoi celui qui a reçu l'absolution reste condamné

nous allons expliquer pourquoi nous sommes prisonniers de notre passé. Ensuite, nous verrons que le passé peut être surmonté, et qu’il peut être utilisé pour tenter d’accéder à une forme de liberté. Enfin, nous verrons que l’oubli, l’illusion et le repentir sont des solutions au carcan qu’est notre mémoire, mais pas forcément des remèdes. Pour débuter, il est nécessaire de savoir que par définition, le passé, comme le temps, est irréversible. Quelle que soit l’action faite ou la parole dite, elle