République des Maris

SEQUENCE N°1 : JULES CÉSAR Objectif : Acquérir des connaissances sur la fin de la République à Rome et sur le personnage de Jules César. Support César, la Guerre civile César, La Guerre des Gaules Suétone, Vie de César Séance n°1 : Le portrait de César Objectif : Lire un portrait Support : Suétone, Jules César, 45 XLV. Son portrait. Son tempérament, ses habitudes (1) Il avait, dit-on, une haute stature, le teint blanc, les membres bien faits, le visage un

son mari et la veuve et l'épouse séparée se heurtaient à toutes sortes d'obstacles lorsqu'elles prétendaient rentrer en possession de leur bien. Ainsi après le mariage la dot pouvait devenir l’objet d'incessants affrontements. Tandis que certains maris ne recevant leur dot due, n'hésitaient pas à chasser leur promise, il arrivait aussi que les beaux-parents entrent en conflit avec un gendre trop peu enclin à l'avarice. Il arrivait d'autre parts que le fiancé accepte une dotation anténuptiale (antefatto)

M.Gillenormand était un vieillard appartenant à la bourgeoisie. Il exécrait tout ce qui avait un rapport avec la république. Un jour, on lui apporta le nouveau-né d’une servante qui avait été chassée. Il s’en occupa mais la servante appelée Magnon, lui envoya un autre nouveau-né, un an après. Il capitula et les remit à leur mère, s’engageant à leurs donner quatre-vingt

épouser une femme ignorante pour échapper au spectre du cocuage. Dans Le Misanthrope, Philinte fait l’éloge de la modération et des usages à Alceste, figé dans son rejet maladif des compromissions. Cléante, dans Le Tartuffe, ou Ariste, dans L’École des maris, sont eux aussi les porte-parole d’une éthique qui ne doit rien aux circonstances et à l’immédiateté. Le raisonneur, dans la comédie moliéresque, apparaît comme un coryphée moderne, représentant scénique du chœur constitué par l’auditoire avec qui

lobbying, lui, est un outil bien concret et très versatile employé par les entreprises multinationales et les conglomérats financiers au service de leurs intérêts bien compris. 8 Les multinationales aux marches de l’autorité de l’état Bernard Maris, journaliste, écrivain et économiste (entre autres) dans un très passionnant « anti manuel d’économie » a écrit en 2003 que « les multinationales sont des entités autonomes, des féodalités aux marches de l’autorité des états ». Il ajoutait : « aux

sacrifices humains auprès des hommes de Thrace qui l'écoutaient respectueusement. Vexé, Dionysos le livra aux Ménades, en Macédoine. Elles attendirent que leurs maris aient pénétré dans le temple d'Apollon dont Orphée était le desservant, se saisirent des armes déposées à l'extérieur, firent irruption dans le temple, tuèrent leurs maris et mirent en pièces Orphée. Elles jetèrent sa tête dans le fleuve Hébros mais elle flottait, continuant à chanter "Eurydice, Eurydice" puis arrivée à la mer les

n’ont pour effet que de faire sentir par comparaison la différence qui sépare un grand peintre d’un copiste ou d’un barbouilleur. On peut surprendre les procédés d’un artiste, et en reproduire la manière ; on n’imite pas le génie. Si dans la république des lettres on accueillit avec faveur l’écrivain hardi qui débutait par un coup de maitre, il n’en fut pas de même de ce qu’on appelle aujourd’hui le monde officiel. Si faciles que fussent les mœurs et si libres que fussent les salons de Paris,

politique (loi salique, cf plus tard). L’église en particulier véhicule une image très négative des femmes les présentant au mieux comme une diminution de l’homme, au pire comme un être destiné au mal. Les femmes se doivent d’être soumises à leurs maris comme au seigneur. Cette image se base sur une conception médicale alors fort répandue à l’époque que la femme est esclave de son sexe et donc par nature incontrôlable et peu fiable. Ici encore, ce sont les théories de l’antiquité qui sont reprises

Bentham à l'origine de la codification, alors qu'Angleterre s'est montré hostile à l'idée de Codification. C'est un juriste anglais qui a voyagé la dans plupart des pays européens, a vécu à Paris durant toute Révolution, fait citoyen d'honneur de la République française. Mais au lendemain de coup d'Etat, on lui demande de quitter le territoire. A continué une œuvre majoritairement écrite en français. A entretenu correspondance avec empereur de Russie et avec le président des Etats Unis Madison. C'est

l'architecte Louis Bernier sur un modèle moins strict que les précédents, avec une riche statuaire. La salle obtient une capacité de 1500 personnes. Le 7 décembre 1898, après onze ans de reconstruction, la salle est inaugurée en présence du Président de la République, Félix Faure. II. Les bâtiments L'Opéra-comique est souvent