Requisitoire Pinard

En février 1857, le gérant de la revue, Léon Laurent-Pichat, l’imprimeur et Gustave Flaubert sont jugés pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs ». Défendu par l’avocat Maître Jules Sénard, malgré le réquisitoire du procureur Ernest Pinard, Gustave Flaubert sera finalement acquitté. Le roman connaîtra un important succès en librairie. Honoré de Balzac avait déjà abordé le même sujet dans la Femme de trente ans en 1831 sous forme de nouvelle-roman qui parut en 1842 dans

ôtée : Flaubert proteste, il met une note qui révèle la censure I. Un réquisitoire classique, puritain, au nom au sein de la morale superficielle outrage à la morale publique et religieuse, outrage aux bonnes moeurs tout ce qui est lié au corps et au désir négation de l’au-delà mélange sacré-profane A. Très construit résumé citations incriminés répondre aux objections ; le détail contre le tout B. Un réquisitoire qui nous renseigne sur la moralité de l’époque les mot sont choquants

En février 1857, le gérant de la revue, Léon Laurent-Pichat, l’imprimeur et Gustave Flaubert sont jugés pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs ». Défendu par l’avocat Antoine Jules Sénard1, malgré le réquisitoire du procureur Ernest Pinard, Gustave Flaubert est blâmé pour « le réalisme vulgaire et souvent choquant de la peinture des caractères »2, mais est acquitté3,4. Le roman connaîtra un important succès en librairie. Honoré de Balzac avait déjà abordé le même

En février 1857, le gérant de la revue, Léon Laurent-Pichat, l’imprimeur etGustave Flaubert sont jugés pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs ». Défendu par l’avocat Antoine Jules Sénard1, malgré le réquisitoire du procureurErnest Pinard, Gustave Flaubert est blâmé pour « le réalisme vulgaire et souvent choquant de la peinture des caractères »2, mais est acquitté3,4. Le roman connaîtra un important succès en librairie. Honoré de Balzac avait déjà abordé le même sujet

des deux avocats au cours du fameux procès judiciaire intenté à l’auteur de Madame Bovary le 29 janvier 1857. J’ai commenté ailleurs7 des aspects polyphoniques impliqués dans quelques interprétations respectivement à la base du réquisitoire de l’avocat impérial, maître Pinard, et à celle de la plaidoirie de l’avocat de la défense, maître Sénard. Reprenons ici seulement les interprétations du passage suivant : Mais en s’apercevant dans la glace, elle s’étonna de son visage. Jamais elle n’avait eu les

février 1857, le gérant de la revue, Léon Laurent-Pichat, l’imprimeur et Gustave Flaubert sont jugés pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs ». Défendu par l’avocat Antoine Jules Sénard 1, malgré le réquisitoire du procureur Ernest Pinard, Gustave Flaubert est blâmé pour « le réalisme vulgaire et souvent choquant de la peinture des caractères »2 mais est acquitté3,4. Le roman connaîtra un important succès en librairie. Honoré de Balzac avait déjà abordé le même sujet

des années à finir Madame au point d'admettre lui même d’être fatiguer de cette œuvre à la fin. Madame Bovary fait scandale à sa sortie. L'œuvre subira un procès pour immoralité où le rôle du procureur est tenu par M. Pinard (qui, quelques années plus tard, prononcera un réquisitoire contre Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire). Flaubert sera déclaré non coupable. Dans cette extrait, on nous raconte la jeunesse d'Emma dans son couvent et plus particulièrement le fait qu'une vieille fille y était

En février 1857, le gérant de la revue, Léon Laurent-Pichat, l’imprimeur et Gustave Flaubert sont jugés pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs ». Défendu par l’avocat Antoine Jules Sénard1, malgré le réquisitoire du procureur Ernest Pinard, Gustave Flaubert est blâmé pour « le réalisme vulgaire et souvent choquant de la peinture des caractères »2 mais est acquitté3,4. Le roman connaîtra un important succès en librairie. Honoré de Balzac avait déjà abordé le même sujet

En février 1857, le gérant de la revue, Léon Laurent-Pichat, l’imprimeur et Gustave Flaubert sont jugés pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs ». Défendu par l’avocat Antoine Jules Sénard1, malgré le réquisitoire du procureur Ernest Pinard, Gustave Flaubert est blâmé pour « le réalisme vulgaire et souvent choquant de la peinture des caractères »2, mais est acquitté3,4. Le roman connaîtra un important succès en librairie. Honoré de Balzac avait déjà abordé le même

janvier/février 1857 <>Société bourgeoise n'accepte pas œuvre, Flaubert rédige mémoire pour justifier le fait que son œuvre n'est pas immorale (nn publié) et éloges à propos œuvre flaubertienne nn publiés <>Réquisitoire: Pinard/ Plaidoyer: Maître Sénard, Flaubert fait jouer ses relations pr éviter procès >> Pinard: offense à la morale publique, offense à la religion, atteinte aux bonnes mœurs, obsession à traquer la volupté & la lascivité >> «couleur lascive», «il y a eu pour elle comme une initiation à toutes