Requisitoire Rousseau

Le Siècle des lumières propose une volonté de partage et d’ouverture sur le monde. C’est une période ouverte sur les autres cultures notamment grâce à république des lettres. Voltaire, étant un écrivain de cette époque de révolution, véhicule dans ses œuvres les idées des lumières. En effet, dans son récit Candide, il fait voyager le jeune homme dans plusieurs pays, ce dernier les caractérise comme une révolution et du fait qu’il est loin de Cunégonde. C’est une révolution, car d’une part cela contredit

Jean-­‐Jacques Rousseau le romantique : Rousseau est l’auteur du « contrat social ». Selon lui, une loi reflète la volonté générale et s’assimile à un pacte où chacun s’engage à respecter les autresàmorale laïque (harmonie sociale + tolérance). Cela amène à la démocratie (peuple souverain) et selon Rousseau ça devrait s’apparenter idéalement à la « Landsgemeinde » suisse. Le peuple devrait pouvoir disposer de lui-­‐même en toute liberté et égalité. Au 18e siècle, on voit la réhabilitation des

Première partie Selon Jean-Jacques Rousseau, l’homme à l’état de nature est très isolé. Il vit l’instant présent, s’unissant avec la femme que pour la procréation. Le climat facile permet la pratique de la cueillette et fait en sorte que les conflits sont rares et sans conséquences. Les désirs de l’homme sont donc limités aux besoins essentiels de survie, soit la nourriture, la reproduction et le sommeil. À l’état de nature, l’homme est pourvu d’une bonté amorale et innocente puisque sa raison est

présents dans la littérature. L’harmonie établie entre l’âme et la nature engendre de beaux passages descriptifs et lyriques en langue française, tels « La Nouvelle HéloÏse (1761) », « Les Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778) » de Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), « Paul et Virginie (1787) » de Bernardin de Saint-Pierre (1712-1778), « Atala (1801) », « René (1802) » de François-René de Chateaubriand (1768-1848), pour n’en citer que certains. Le paysage s’impose comme élément fondamental à l’esthétique

Rousseau aspirant de la démocratique, a pour principal philosophie que l’homme est naturellement bon. En effet, celui-ci affirme que l’humain en étant à l’état naturel, soit non civil ou social, vivait pratiquement seul et ce satisfaisait par instinct et ce grâce à sa force. De plus, ignorant le bien et le mal, celui-ci pouvait se considéré comme tout autre animal. Jusqu’au moment où il s’est observé dans ses comportement et c’est alors rendu compte que d’autre lui ressemblait et avaient les même

Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes 1755 J-J ROUSSEAU I. Un Bonheur simple Rythme paraît grandiose comme le sujet : l’Homme à l’état de nature 3 subordonnées en «  tant que » ( rythme ternaire) Adjectifs brefs «  libres, sains, bons et heureux » ( rythme accumulatif) a. Simplicité des désirs « tant que » : état qui perpétue, il est dans la continuité de ce qui est . Les désirs sont bornés comme le montrent les verbes de ces circonstancielles :

clair que, par ses discours extravagants, il se couvre de ridicule et que l’on rit de ses excès, mais que par ses souffrances et son déchirement il suscite, en revanche, la compassion et devient sans conteste un personnage pathétique. De sorte que Rousseau s’emportera, au XVIIIe siècle, contre ceux qui raillent cet honnête homme, attitude nouvelle et quelque peu surprenante qui s’explique en fait par un changement radical dans la conception des rapports de l’homme au monde : au XVIIe siècle, on ne

L'écriture permet cet échappatoire à la réalité, elle n'a presqu'aucunes limites. En effet, une personne s'adonnant à cet art a toutes les libertés voulues : elle peut réparer le passé, construire le présent et inventer l'avenir. Comme par exemple J.-J. Rousseau qui va réecrire son passé dans les Confessions en idéalisant, en atténuant ou en exagérant volontairement certaines anecdotes de sa vie. Il se déculpabilise ainsi de certaines fautes qu'il a commises, échappant à son passé réel par l'écriture en

des gens de lettres. D’Alembert le présente dans le salon de Julie de Lespinasse, mais il y réussit mal et se trouve en général déplacé dans le monde des encyclopédistes. Il se lie, grâce à d’intimes analogies, plus étroitement avec Jean-Jacques Rousseau, avec lequel il va se promener à la campagne, où ils s’entretiennent longuement ensemble sur la nature et l’âme humaine. Cependant, il a publié en 1773 son Voyage à l’Île de France, à l’Île Bourbon, au cap de Bonne-Espérance, par un officier du

raison sur la foi et la croyance ; sur le plan politique et économique, le triomphe de la bourgeoisie sur la noblesse et le clergé Jean jacques rousseau : Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 (à 66 ans) à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois francophone. La vie de Jean-Jacques Rousseau est une vie d'indépendance et d'instabilité. Il quitte d'abord Genève à seize ans pour la Savoie où il reçoit un complément d'éducation et une initiation