Res cogitans

les idées des choses, l’auteur explicite le fait que la seule idée qui ne pourrait jamais venir de la substance du moi pensant soit l’idée de Dieu. Le thème du texte n’est rien d’autre que l’idée de Dieu elle-même, en tant qu’en rapport avec la « res cogitans ». Cette notion, par conséquence, elle est suivie par la thèse de l’auteur, lequel pourtant voit l’idée de Dieu, en tant qu’idée d’une substance infinie, comme l’idée possédant la plus grande réalité objective, laquelle représente la réalité

touchées dans la philosophie moderne. Ces comparaisons entre les animaux et les hommes servent à mieux distinguer ce qui est caractéristique, ce qui est propre de l’homme. Aristote différencie les hommes des animaux par la raison. Descartes par la res cogitans. Et Rousseau ? <<Je ne vois dans tous animal qu'une machine ingénieuse, à qui la nature a donné des sens pour se remonter elle-même, et pour se garantir, jusqu'à un certain point, de tout ce qui tend à la détruire, ou à la déranger. J'aperçois

II. LA RÉPONSE À LA QUESTION "QUI SUIS-JE ?" NOUS EST DONNÉE PAR LA PENSÉE : LE NIVEAU INTELLIGIBLE II1. Du cogito à la détermination sociale : je ne sais pas exactement qui je suis, mais je sais que ce que je suis, c'est de la pensée – res cogitans – et c'est en pensant que je suis. Cependant Descartes ne qualifie pas un sujet personnel et particulier mais la nature de tout sujet possible. Dans notre vie quotidienne, nous sommes obligés de nous définir de façon déterminée afin d'occuper une

avec elle vers l’élaboration de l’humain. Il faut alors changer notre perception de l’homme comme être culturel. L’homme est à cheval entre monde spirituel et monde matériel, il est l’étrange association de la pensée et de la matière, de la res cogitans et de la res extensa, ce qui le sépare nettement des animaux des plantes et des objets. C’est ce qui fait qu’il occupe une place à part dans la nature et c’est cette dualité, ce mélange qui semblent constituer son essence. On peut dire que la nature de

l'une à l'autre. Pour poser cette thèse D propose une démonstration. Texte 6 → Descartes, Discours de la méthode, IV ème partie. Que suis-je ? Je pense, je suis mais que suis-je ? Idée principale du texte : Je suis une substance pensante (= res cogitans → chose pensante → une substance) Cette chose pensante D l'appelle aussi l'âme ou l'esprit. C'est-à-dire une réalité distinct du corps aussi bien du point de vue de son existence que du point de vue de son essence, de son être, c'est-à-dire une

blessure, maladie = médecin, que vaut ma douleur ? VS Aristote, sensibilité = faculté de connaissance + sujet de cette connaissance = chair Ici, sujet de connai = esprit considéré séparément du corps >> Dualisme cartésien (res cogitans = la chose pensante vs res extensa = la chose étendue) esprit = ego a des pensées VS corps a taille, figure, position, vitesse Mais sujet de la sensibilité = union âme et corps «Y a-t-il chose plus intime ou plus intérieure que la douleur ?» p&d, faim

laquelle je peux diaolguer.  Il est difficile d'admettre ou meme d'imaginer une conscience différente de la mienne. Cette difficulté proviens meme de la nature de la conscience. Avoir conscience c'est avoir conscience de soi, de son moi. "SUM RES COGITANS". Mais le probleme de Descartes c'est qu'il ajoute "les chose que je sens et que j'imagine ne sont pet-etre rien du tout hors de moi et en elle-meme", autrui n'est qu'une pensée qui m'appartient. C'est le solipsisme : un solipsisme absolu et un

les choses telles qu’elles sont. * Erreurs des sens * Erreurs de la raison Il n’y a pas de corps : * Folie * Rêve La deuxième méditation : cogito sum : si je suis, je suis une chose pensante (res cogitans). J’en conclus que l’âme est notior que le corps : (plus aisée). On appelle ca l’ordre des raisons. Dans l’ordre de la science. Corps est connu par l’esprit. Il est réduit à l’étendue (= espace). Mais qu’est ce que l’espace ? C’est un concept

aussi le sentiment de moi-même et puisse donc, dans un certain sens, m'apparaître à moi-même, ne suffirait jamais à garantir ma réalité. (Le Cogito me cogitare ergo sum de Descartes n'est pas une proposition logique pour la bonne raison que la res cogitans n'apparaît jamais sans que ses cogitationes ne se concrétisent en langage parlé ou écrit prévu pour un auditeur ou un lecteur.) Dans la perspective du monde, tout être qui se trouve sur terre est arrivé là tout prêt à faire face à un univers dans

est cet être, chose, substance ? Que suis-je ? Descartes dit « je suis de la pensée ». « J’ai reconnu que j’étais et je cherche quel moi je suis que j’ai reconnu être ». Descartes répond que je suis « une chose qui pense » (res cogitans) qui correspond à l’âme et s’oppose à « res extensa » le corps. Une chose qui pense c’est-à-dire une chose qui doute, qui conçoit, qui affirme, qui nit, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine et qui sent est la faculté de juger, la raison et l’imagination. La conscience