Res Publica

essentielle de l’E La souveraineté est la condition à la formation de la république entendue comme la res publica car elle est selon l’auteur un des critères fondamentaux de la notion d’Etat (1) et qui peut être décrite comme al pierre angulaire assurant l’union des sujets du royaume (2) Jean Bodin, dès la première ligne de ce texte nous définie par la République (à entendre comme la Res Publica) comme « un droit gouvernement de plusieurs ménages et de ce qui leur est commun, avec puissance souveraine

concept de personne morale, ce qui leur permet d’agir en Justice, d’avoir des représentant et d’entrer en guerre par exemple. On associe cela au concept de ville-état qui sont les villes qui vont inventer l’Etat car le concept de res publica réapparait à partir de là. La res publica est l’ancêtre de l’Etat, c’est un mot latin qui signifie au sens propre « la chose publique », et qui désigne l’intérêt général. C’est sur cette conception que le roi s’appuiera lorsqu’il se réappropriera le pouvoir. La réapparition

terram defluat, aut ne plus aequo quid in amicitiam congeratur. Intellectum est enim mihi quidem in multis, et maxime in me ipso, sed paulo ante in omnibus, cum M. Marcellum senatui reique publicae concessisti, commemoratis praesertim offensionibus, te auctoritatem huius ordinis dignitatemque rei publicae tuis vel doloribus vel suspicionibus anteferre. Ille quidem fructum omnis ante actae vitae hodierno die maximum cepit, cum summo consensu senatus, tum iudicio tuo gravissimo et maximo. Ex quo

Romaine n’a rien à voir avec notre République, sa République est très aristocratique, se sont les riches citoyens qui dirigent. Ce n’est donc pas une démocratie mais une res publica contraire à res privata. Res publica  : Désigne la chose publique en latin, c’est un collectif, une communauté de citoyens. Res privata  : La chose privée La République  : Selon Jean-Luc Lamboley, « le peuple est une organisation politico-juridique ou chaque citoyen

talis improborum consensio non modo excusatione amicitiae tegenda non est sed potius supplicio omni vindicanda est, ut ne quis concessum putet amicum vel bellum patriae inferentem sequi; quod quidem, ut res ire coepit, haud scio an aliquando futurum sit. Mihi autem non minori curae est, qualis res publica post mortem meam futura, quam qualis hodie sit. Et eodem impetu Domitianum praecipitem per scalas itidem funibus constrinxerunt, eosque coniunctos per ampla spatia civitatis acri raptavere discursu

trois types d’explication. L’auteur attribue d’abord ce déclin des ingenia au relâchement des mores et à l’influence corruptrice du luxe, en reprenant ainsi un thème diatribique traditionnel (Contr., 1, praef., 7) : in deterius deinde cotidie data res est, siue luxu temporum‚ nihil enim tam mortiferum ingeniis quam luxuria est… “chaque jour nous a entraîné vers la décadence, soit par suite du luxe de notre époque (car rien n’est si funeste à l’éloquence que le luxe)…” La deuxième hypothèse explicative

cette cité va être établie des organes politiques plus complexes. En effet, de la constitution de la cité, l’esprit juridique des romains est d’aller plus loin, il va dépasser la réalité concrète de la Cité. Il va promouvoir une notion abstraite de Res Publica (La chose du peuple), une organisation juridique du peuple qui s’oppose à l’ordre arbitraire d’un royaume. * Liberté romaine (Unitas libertasque), c’est l’ordre dans la soumission volontaire à la loi délibérée en commun (volonté des citoyens

dulcior et ad omnem comitatem facilitatemque proclivior. Haec igitur lex in amicitia sanciatur, ut neque rogemus res turpes nec faciamus rogati. Turpis enim excusatio est et minime accipienda cum in ceteris peccatis, tum si quis contra rem publicam se amici causa fecisse fateatur. Etenim eo loco, Fanni et Scaevola, locati sumus ut nos longe prospicere oporteat futuros casus rei publicae. Deflexit iam aliquantum de spatio curriculoque consuetudo maiorum. Cumque Cumque pertinacius ut legum gnarus

biens : Res in patrimonio et res extra patrimonium [Choses dans le patrimoine et choses hors du patrimoine] I. Res extra patrimonium [Choses hors du patrimoine] A. Res divini iuris [Choses de droit divin] 1. Res sanctae [Choses saintes] 2. Res religiosaei [Choses religieuses] 3. Res sacrae [Choses sacrées] B. Res humani iuris [Choses de droit humain] 1. Res communes [Choses communes] 2. Res publicae [Choses publiques] 3. Res universitates [Choses universitaires] II. Res in patrimonio

quanti...er que l’intervention budgétaire. L’Étatnote 1,note 2 est une des formes d'organisation politique et juridique d'une société (en tant que communauté de citoyens ou de sujets) ou d'un paysnote 3. Il a été précédé par la Polis grecque, la res publica romaine, le Saint Empire romain germanique etc. Il est délimité par des frontières territoriales à l'intérieur desquelles ses lois s'appliquent et est constitué d’institutions par lesquelles il exerce autorité et pouvoir ; la légitimité de cette