Résident

personnes âgées une résidence indépendante, avec la possibilité de bénéficier de locaux communs et de services collectifs (blanchisserie, restauration….). Les résidents peuvent faire appel à toutes sortes de services d'aide à domicile hors de la structure si nécessaire (aide-ménagère, porteur de repas etc.). L’établissement accueille 23 résidents, ouvert 365 jours par ans. L’organisme gestionnaire est la mutualité retraite 29-56, dont le siège social se trouve à Lorient. Il appartient donc à la fédération

Aide Médico Psychologique L’équipe de l’unité de vie : Les surveillantes de nuit : Elles accompagnent les résidents pour la période d’endormissement. Certaines proposent des animations de soirée. La qualité de l’accompagnement au coucher a une répercussion quant à la qualité du repos que doivent avoir nos résidents. Pendant la nuit, elles s’assurent de la qualité du sommeil des résidents et du bon déroulement de la nuit, elles doivent informer les infirmières de nuit des éventuels problèmes. Et

surtout être vigilant aux risques de fausse route, car tous les résidents de ce groupe y sont sujets. C’est pour cela que seulement 3 personnes mangent en menus standards, contre 11 en menus mixés. C’est à ce moment que l’infirmière passe dans le groupe pour distribuer les médicaments. Lorsque le petit déjeuné est terminé, c’est l’heure pour chaque résident d’être accompagné à la toilette, c’est un moment privilégié ou le résident dispose pour lui seul d’un soignant. Nous avons un tableau auquel

Accueil d’un résident porteur ou ancien porteur de bactéries hautement résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe) en établissements médico-sociaux (EMS)* Les BHRe sont des bactéries multirésistantes aux antibiotiques dont le réservoir est le tube digestif des résidents. Les BHRe sont les entérobactéries productrices de carbapénémases (EPC) et les entérocoques (faecium) résistants aux glycopeptides (ERG). Les mesures à observer en EMS pour un résident porteur de BHRe sont le respect strict des

toujours pas mis en place. D’ici 2012 l’EHPAD sera donc dans l’obligation de mettre en place un système de tri sélectif. De ce sujet en est ressorti une problématique : Pourquoi le tri sélectif n’est pas mis en place par les professionnels et les résidents de la résidence X ? Pour vérifier qu’il s’agit bien d’un besoin j’ai mis en place des outils méthodologiques tels que des entretiens, des questionnaires et une grille d’observation. Cela m’a permis de connaître les grandes tendances et les facteurs

qui ne peut être contesté car il est le moyen de prévention primaire le plus efficace et le moins cher face à la recrudescence de certaines maladies infectieuse. J’ai choisi ce sujet car au cours de mon stage, j’ai pu observer le comportement des résidents vis-à-vis de certains gestes d’hygiène et donc de constater quelques négligences surtout concernant l’hygiène des mains, c’est pourquoi j’ai voulu en savoir davantage en me posant la question de savoir : Pourquoi il existe un problème d’hygiène des

handicapées. La plupart des résidents sont originaires d’Arradon, ils sont en effet prioritaires pour y rentrer. Il y a une alternance sur les entrées, c'est-à-dire un résident dépendant est accueilli, le prochain arrivant est une personne indépendante. Ce mode de fonctionnement est instauré pour soulager le personnel et pour qu’il puisse y avoir un équilibre dans la structure. Les résidents peuvent compter sur les services, de jour comme de nuit 24h/24h. L’âge des résidents va de 60 ans à un peu plus

clés du quotidien. J’accompagne les résidents en les guidant dans leurs gestes et en respectant leurs rythmes, leurs attentes et leurs désirs. Mon objectif est que l’accompagnement ait du sens pour la personne et moi-même. Aider l’autre en l’accompagnant, c’est lui permettre de se sentir exister, de le rassurer et de lui procurer du bien-être. Je démarre mon service à l’UPAD à 7h30. Je m’informe des transmissions. Je commence par le lever des résidents. Je le fais de manière agréable. Mon objectif

lieu accueille 11 résidents dont 1 accueil temporaire et 2 à la retraite. Lors de mon stage, j'ai observé que beaucoup résidents avaient besoin qu'on les rassure, félicite. Ces besoins se traduisaient par des questions tels que : « t'as vu j'ai été gentille, je l'ai aidé à faire ça ? », « C'est beau, hein ? ». Des questions me sont donc venues, Pourquoi ont-ils besoin de cela ? Pourquoi ne s'autorisent t’-il pas à faire les choses ? Cette question m'est venue quand les résidents me demandaient s’ils

02 novembre au 06 décembre 2010. Elle est implantée au sein d’un EPSM de l’agglomération Lilloise, mais elle a une vocation moins médicale que l’ensemble des unités qui l’entourent. Les personnes qui l’occupent ne sont pas des patients, mais des résidents. Peuvent être admises, les personnes ayant obtenu une orientation en M A S par la Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapées (CDAPH). « La personne qui intègre la résidence doit pouvoir intégrer le projet de la résidence