Resocialisation

vienne à utiliser un vocabulaire qui s’accorde avec les traits propres à l’apprentissage de la culture sportive. R. MUCCHIELLI indique que la dizaine de facteurs définis peut être réutilisée dans le cadre d’une action pédagogique destinée à une « resocialisation » des jeunes. Cette réalisation d’un plan et les moyens programmés à mettre en œuvre (pour employer les expressions utilisées par l’auteur) peuvent fort bien utiliser le support des activités sportives. En s’appuyant sur les éléments définissant

prévention (information sur les comportements jugés infractionnels et crainte de la sanction) - La répression (peines et mesures proportionnées à la gravité de l’infraction et compatible avec la dignité humaine en vertu de l’article 3 de la CEDH) - La resocialisation (Afin d’éviter la récidive, en vertu de l’article 10 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, le traitement des condamnés a pour but l’amendement et le reclassement social des condamnés : tribunal de la jeunesse, mesure

c’est l’individualisation trouver à l’individu une peine adaptée. Dès le lendemain de la seconde guerre mondiale e on est encore sous un gouvernement provisoire : l’ordonnance du 2 février 1945 sur l’enfance délinquant, l’idée est d’éduquer, de resocialisation, la loi du 15 avril 1954 prévoit la désintoxication des alcooliques dangereux. La loi du 31 décembre 1970 on découvre que l’héroïne fait des ravages on vue lutte contre ce phénomène. On prévoit également l’ajournement et la dispense de peine,

criminelle. Le droit pénal a une ambition moins élevée, il a pour fct de prévenir la cdt d’infraction, puisque la meilleure prévention possible est la menace de sanction, mais ne va pas jusqu’à guérir. La peine doit conduire à l’amendement et à la resocialisation du condamné mais le droit pénal se montre particulièrement soucieux du respect des libertés des condamnés. Ce souci est central en matière pénale. Le droit pénal concerne les relations entre l’individu et l’Etat car c’est l’Etat qui a le pouvoir

sont les moins bénéficiaires d’actions de sensibilisation et de prévention. L’objectif est donc d’apporter aux professionnels qui les prennent en charge des outils de travail novateurs, et aux publics ciblés une possibilité plus grande de resocialisation et de responsabilisation. Propositions 1) Expérimenter des groupes de parole auprès des personnes placées sous main de justice en complément de la prise en charge par entretiens individuels qui pour certains faits, trouvent leurs limites

entrant dans la logique de la réparation : grâce à la sollicitation (= demande) de la victime et la médiation d’un tiers représentant de la société, il intègre la « honte » de son acte au sens positif du terme et il franchit ainsi un pas vers sa resocialisation. C’est pourquoi un représentant de la société, généralement le procureur, doit assister systématiquement au procès pour garantir que la société n’est pas lésée par la transaction intervenue entre les deux « adversaires » (car tant que l’infracteur

L’insertion par l’activité économique Ces conventions permettront notamment d’apporter un cadre d’action stable aux structures d’insertion par l’activité économique, et particulièrement aux chantiers d’insertion, qui jouent un rôle déterminant pour la resocialisation et l’insertion dans l’emploi de qualité des personnes qui en sont éloignées. Suite au rapport de l’inspection générale des affaires sociales et de l’inspection générale des finances, remis début 2013, l’État engagera une réflexion partenariale

pénale, il faudra intégrer le fait que le délinquant est en danger tout en protégeant quand même, la société. Le but du traitement de la peine pour la défense sociale nouvelle est de redonner le sens de la responsabilité du délinquant. Idée de resocialisation d’un délinquant. Les mesures d’individualisation de la peine = en fonction de l’âge, de la récidive, du caractère du délinquant, actuellement. B) Les Codes Pénaux. L’intérêt ici est de dire sous quel code est régit la matière et quel a

pour recevoir des prévenus, c’est-à-dire des personnes en attente de jugement, ou des condamnés pour des peines courtes. Il y a 24 centres de détention, pour les personnes avec des perspectives de réinsertion, et donc permettant d’organiser la resocialisation des individus.. Il y a 31 centres pénitentiaires, avec une surveillance renforcée des individus. Il y a 5 maisons centrales, qui reçoivent les condamnés les plus difficiles, avec un régime de détention presque exclusivement axé sur la sécurité

positiviste. Tout le monde est d’accord sur l’idée qu’il faille protéger la société mais on ne peut pas totalement sacrifier le délinquant donc l’idée a été de rééquilibrer la balance en faveur des individus en favorisant un système qui permet une resocialisation du délinquant. On élimine toutes les théories dogmatiques concernant le libre arbitre ou non. On cerne le délinquant au cas par cas et on lui applique le remède approprié. On évacue l'idée de blâme, tourné vers le passé, et on regarde vers l'avenir