Resocialisation

pas essentiellement différente, mais nécessite des interventions plus explicites. Ces interventions explicites permettent de transformer la réalité subjective, par exemple à travers le processus de conversion. La conversion implique une resocialisation, donc le contact émotionnellement chargé avec des autruis significatifs nouveaux, et une structure de plausibilité nouvelle, permettant une identification fortement affective. C’est le cas de la conversion religieuse, mais aussi de l’endoctrinement

en 1958 par notre CPP qui est menacé mais toujours pas inchangé E. La période contemporaine Il y a une instabilité législative, influence des doctrines de défense sociale et humaniste et mettent le délinquant au centre du procès  Objectif de resocialisation. Ce code a eu de nombreuses réformes qui sont en proie d’une frénésie législative. La procédure classique est inapplicable (nombreuses réformes pour simplifier et être plus rapide et plus nombreuses pour mieux digérer le nombre de contentieux

positivistes. Peu importe qu’on soit objectivement responsable puisqu’on est déterminé. La réaction sociale doit être une pédagogie de la responsabilité. Le mouvement nie la valeur d’intimidation collective de la peine, consacre l’idée de resocialisation du délinquant et d’individualisation du traitement. Depuis la 2nde GM, le mouvement s’est raffraichie, et le mouvement souhaite que l’on prenne en compte l’ensemble de la situation délictuelle, préconise des attitudes nouvelles à l’égard de la

procès : le procès en répression, on regarde la culpabilité de la personne. Si elle est coupable, on tient un 2ème procès qui a pour but de statuer sur la sanction qui sera constamment révisable. Le but de la sanction pénale est la resocialisation de la personne, le 2nd apport est le maintient de principes pénaux anciens. On arrive avec ces trois écoles à une responsabilité du délinquant qui jouit de multiples garanties avec le principe de légalité, on a une sanction pénale et un procès

faire subir un stage de réinsertion peut aussi contribuer par la rééducation à le réinsérer… Cette fonction de réinsertion a atteint son apogée avec l’école de la défense nouvelle, qui est un mouvement apparu après la seconde GM, qui prônait la resocialisation du délinquant par un traitement de rééducation adaptée, approprié. Les autres fonctions demeurent mais passent au second plan dès lors qu’on entame une réinsertion. Le conseil constitutionnel précise que la peine contribue à assurer la sécurité

Centres de détention qui sont des établissements dans lesquels les moyennes et longues peines de prison sont exécutées, dans le cadre d’un régime orienté vers la réinsertion dans ce sens que les prisonniers ,dans le but de favoriser leur resocialisation, peuvent bénéficier de permissions de sortie dès le tiers de leur peine. En parallèle, dans le cas de Madagascar, l’article 6 du Décret n° 2006-015 du 17 janvier 2006 portant organisation générale de l’administration pénitentiaire répartit

rapport qu'ils entretiennent avec les malades réussissent, en intégrant les techniques de groupe, à modifier progressivement les séparations rigides entre soignants et soignés. La socialisation de l’institution doit permettre de déboucher sur une resocialisation des malades On en arrive à faire participer les malades à la gestion de leur cure. Dans la période qui suit 1950, la théorie s'élabore dans les groupes de 1’hôpital de Saint-Alban (Lozère) et de la clinique de La Borde à Courcheverny. Un moment

libérer des lits à l'hôpital. Cette perspective asilaire réduit les objectifs soignants, et ce malgré les constats, à savoir l'évolution des patients ou à tout le moins leur capacité à profiter d'une vie familiale comme d'une ouverture vers la resocialisation. »2 C’est accompagner l’enfant vers l’extérieur, lui faire découvrir la vie en société, lui apprendre à faire attention aux autres. C’est aussi lui permettre de s’ouvrir envers les autres, sortir ses antennes et le faire évoluer de son moi

vertu dissuasive et d’exemplarité. On dira aussi que la peine doit avoir une prévention spéciale, cad dissuadée et de prévention générale cad servir d’exemple, (ex : incité la population à ne pas voler). Il faut que ce soit utile. - Conception resocialisation: ça ne sert à rien de punir bêtement, la peine va te permettre de devenir meilleur, tu vaux plus que ta peine. * Les doctrines positivistes Ce système de conception est opposé à un autre selon lequel, la sanction pénale devrait être la

et la pratique des personnes interrogées. Au terme d’autonomie sociale sont parfois préférées des notions plus extensives qui reviennent à nier et à refuser la différence. Sont ainsi davantage usités les termes d’autonomie « tout court », de resocialisation.  Deux notions qu’il faut distinguer Une autre partie des travailleurs sociaux interrogés n’attribuent pas le même sens à ces deux notions. De ce point de vue, le terme « autonomie » renvoie à la capacité de l’individu de faire des choix