Résolution du Conseil de sécurité des Nations unies

Conférence de Potsdam La conférence de Potsdam a été organisée par les puissances alliées (les États-Unis représentés par Harry Truman, l'URSS par Joseph Staline, et le Royaume-Uni par Winston Churchill puis Clement Attlee) pour fixer le sort des nations ennemies. Elle a débuté le 17 juillet et s'est terminée le 2 août 1945 dans la ville de Potsdam, à l'ouest de Berlin. Elle s'est déroulée avant même la fin de la Seconde Guerre mondiale pour fixer le sort des ennemis des forces alliées. Si l'Allemagne

L'île va être, de décembre 1993 à août 1994, sujette à des affrontements et les représentants chypriotes turcs vont, en réponse, organiser une administration provisoire dépourvue de fondements constitutionnels[2]. À la fin de l'année 1994 le Conseil de sécurité de l'ONU met en place une ligne verte contrôlée par l'UNFICYP[2],[3]. Le président Makarios III, qui avait été réélu en 1968 avec 98 % des voix sur la base d'un programme visant au maintien de l'indépendance de Chypre, tente alors d'appliquer

La bureaucratie civile et militaire otanienne aidant, la question de la poursuite d'une participation américaine à la sécurité européenne et celle de la préservation institutionnelle de l'OTAN se trouvent confondues. Du côté européen, l'Allemagne voit dans la présence américaine le moyen de rassurer ses voisins quant aux conséquences de la réunification allemande sur leur sécurité. Les États les moins puissants estiment que la présence américaine offre une garantie contre la domination d'un ou de

Conseil de sécurité de l’ONU Pays représenté : Gabon Le 23 novembre 2010 Le fonctionnement du conseil de sécurité Le conseil de sécurité a comme but de maintenir la paix et la sécurité sur la planète. Il assure que chaque pays respecte la charte des Nations Unies. Soit par des mesures d’exécution, par des sanctions économiques, par une action militaire et même l’état peut être exclu de l’organisation si un pays ne respecte pas la charte. De plus, le conseil de sécurité assure l’intervention

l’Allemagne et le Japon qui ont convoquées la charte de SF (Chine, GB, USA, URSS). On peut recenser 4 types d’O.I : les O.I universelles générales (un exemple: l’ONU), les O.I universelles spécialisées (OMS, UNESCO...), les O.I régionales générales (Conseil de l’Europe, ligue arabe...) et les O.I régionales spécialisées (U.E, OPEP...). 1ère phase : D’abord, pour mettre en place un traité afin de créer une O.I, il faut prendre l’initiative de convoquer une conférence internationale, puis procéder à

sources du droit international – moyens de le faire respecter 3. La présentation dans leurs grandes lignes de certains régimes de droit international Biens publics mondiaux – répression des crimes internationaux – droit de la paix et de la sécurité internationales 4. La prise en compte des rapports complexes entre le droit international et la politique Chapitre 1. L’Etat, acteur central de la société internationale I. La formation de l’Etat A. L’apparition de l’Etat : une question

qu'ils soient ou non Membres de l'Organisation des Nations Unies; (c) la liste des capitales (présentée selon la graphie française employée sur les cartes de l'Organisation); (d) les formes alternatives des noms de capitales communément rencontrées; et (e) des commentaires pour clarification si nécessaire. NOTE: Pour certains États Membres de l’Organisation, la forme usuelle n’est pas employée dans les documents et cartes des Nations Unies. Le Bulletin terminologique sur les noms de pays peut-être

déclenchement de la guerre en Irak. L’éventuelle réforme de l’ONU (Organisation des Nations Unis) n’est cependant pas une idée nouvelle. L’un des fondements de l’Organisation mise en place en 1948 était justement d’empêcher des actions militaires unilatérales. A priori, cette règle a été facilement brisée. L’ONU, organisation intergouvernementale par excellence, a été crée, à la suite de la faillite de la SDN (Société des Nations), dans le but de gérer au mieux les conflits, au lendemain de la Seconde Guerre

annoncé la couleur, appuyé par le ministre algérien des Affaires Etrangères, M. Abdelaziz Belkhadem qui précisait même que ce sommet ne serait "celui de la normalisation des relations avec Israël". La proposition modifiée du Prince Abdallah comme la résolution jordanienne évoquées au cours de la réunion préparatoire avaient déjà provoqué l’hostilité des ministres présents. Dès lors, il était prévisible que les chefs d’Etat et de gouvernement des pays arabes, saisis de propositions de leurs ministres des

PREMIER MINISTRE République Française --Haut Conseil de la Coopération Internationale --- Etude sur les relations entre ONG et INSTITUTIONS INTERNATIONALES R APPORT DU HAUT C ONSEIL DE LA C OOPERATION INTERNATIONALE REMIS AU PREMIER M INISTRE Document adopté le 29 octobre 2002 VINGT-TROISIEME REUNION PLENIERE PREMIER MINISTRE République Française Paris, le 5 novembre 2002 --Haut Conseil de la Coopération Internationale --Annie O. de Calan Conseillère GROUPE de TRAVAIL sur les ONG et