Résolution du Conseil de sécurité des Nations unies

attaché au fait d’y siéger ou de plaider devant elle, la CIJ est pourtant bien un centre judiciaire. 1. Approche Historique : Fondée en juin 1945 par la Charte des Nations unies, la Cour internationale de justice se substitue en avril 1946 à la Cour permanente de justice internationale instituée par la Société des nations (SDN). La CPJI a été une cour très influente et appréciée, notamment dans l’entre-deux guerres, en prenant des positions fortes par rapport à certaines règles juridiques,

la résolution 1701 votée au Conseil de Sécurité des Nations Unies appelle les deux pays à arrêter les opérations militaires au Liban. Cette résolution instaure un cessez le feu et engage le déploiement d’une force de sécurité de Casques Bleus de l’ONU forte de 15.000 hommes. Ce conflit armé entre les forces militaires israéliennes et la branche armée du Hezbollah durera 33 jours exactement et se soldera au total par plus de 1.200 morts et 5.900 blessés civils. Liban et Israël : deux nations frontalières

présente Charte ne s’oppose à l’existence d’accords ou d’organismes régionaux destinés à régler les affaires qui, touchant au maintien de la paix et de la sécurité internationale, se prêtent à une action de caractère régional, pourvu que ces accords ou ces organismes et leur activité soient compatibles avec les buts et les principes des Nations unies » (Article 52, Paragraphe 1 de la Charte). Une définition particulière du terme territoire dans le traité de l’Otan a fait que tout territoire désigné

montrez que les guerres du Golfe sont des conflits dont la résolution est représentative du « nouvel ordre mondial » voulu par le président Bush (père). « Notre objectif n’est pas la conquête de l’Irak. C’est la libération du Koweït. » a délibéré George H. Bush dans une allocution au peuple américain le 16 janvier 1991 : Ces mots prouvent que dès le début, la volonté des Etats-Unis est d’instaurer un nouvel ordre mondial. La résolution de ces conflits que l’on pourrait définir comme une opposition

des Nations Unies et le droit international I. Contexte historique P. 7 A – Des premiers colons français à la domination espagnole B – De l’indépendance de l’Argentine au conflit des Malouines C - Vers une seconde guerre des Malouines ? II. Le contexte politique et les relations anglo-argentines P. 11 III. Bibliographie et ressources P. 12 I Introduction Le 26 mars 2013, une réunion est organisée à New York où Ban Ki-Moon, Secrétaire Général des Nations Unies, reçoit

Europe - Tiers Monde (CETIM) 2 INTRODUCTION Le droit des peuples à l’autodétermination (le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes) est un pilier du droit international contemporain (voir chapitre I). Depuis l’adoption de la Charte des Nations Unies en 1945, il a constitué la base juridique et politique du processus de décolonisation qui a vu naître plus de 60 nouveaux Etats dans la deuxième partie du 20ème siècle. Il s’agit d’une conquête historique, même si celle-ci concordait avec la volonté

LE SYSTEME DES NATIONS UNIES Prolégomènes Trois précisions préliminaires doivent être rappelées en guise de prolégomènes 1. L objet du cours 2. La problématique du cours 3. La méthode d analyse du cours 1. L objet Pourquoi un cours sur le « Système des Nation unies » ? Deux raisons essentielles : 1. L importance du phénomène général d « institutionnalisation » des relations internationales 2. L importance du Système des Nations unies particulièrement : d où vient-t-il ? comment

Charte est ratifiée par la majorité des pays signataires. Q: quels sont les buts et les principes de l'ONU? BUT : Les buts des Nations unies, énoncés dans la Charte, sont les suivants: • Maintenir la paix et la sécurité internationales par la prise de mesures collectives et le règlement pacifique des différends. • Développer des relations amicales entre les nations fondées sur le respect du principe de l'égalité des droits des peuples et de leur droit à disposer d'eux-mêmes. • Réaliser la coopération

actes de génocide soient commis» (ibid., p. 22) et que : «le crime de génocide «bouleverse la conscience humaine, inflige de grandes pertes à l'humanité ... et est contraire à la loi morale ainsi qu'à l'esprit et aux fins des Nations Unies», selon les termes de la résolution 96 (I) de l'Assemblée générale en date du 11 décembre 1946 sur «le crime de génocide», que la Cour a rappelés dans son avis consultatif sur les Réserves à la convention sur le génocide (C.I.J. Recueil 1951, p. 23)(ibid.) p. 23»;

politique internationale, Dakar, Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique, 1997 aux pp. 27 et s.; Luc Sindjoun, « La loyauté démocratique dans les relations internationales : sociologie des normes de civilité internationale », (2001) 32 Études internationales 31; Luc Sindjoun, « Les nouvelles constitutions africaines et la politique internationale », (1995) 26 Études internationales 329; Linos-Alexandre Sicilianos, « Les Nations Unies et la démocratisation de l’État