Respecter Les Méchants

d'obéir Tu as pris l'engagement de nous respecter Tu pouvais te retirer et ne l'as pas fait Tu as prouvé que nous te plaisons Tu violerais tes engagements Il y aurait des conséquences néfastes pour tes amis, ta crédibilité et ta réputation Tes amis seront bannis Tu seras ennemi dans les constitutions justes Tu confirmeras l'opinion de tes juges (destructeur des Lois) Tu perdras ta crédibilité Tu passeras ta vie en flatteries et bassesses chez les méchants ça nuirait à tes enfants Mieux vaux

cruauté, ce qui semble indiquer un plaisir à faire le mal et pas simplement une négligence égoïste envers le mal ressenti par autrui. Autant d'expériences qui semblent démentir la thèse socratique selon laquelle "nul ne veut le mal" (« nul n’est méchant volontairement ») et qui justifient la question "peut-on vouloir le mal?". L’enjeu est de taille : cette thèse, si elle se révélait finalement défendable, instaurerait un lien essentiel entre la volonté et le bien: par essence, seul le bien serait

sais bien aussi que son réseau lui permet de rester à l’abri de la police, comme toutes les pires crapules... Et je me refuse à l’accepter. Une justicière vengeresse est née, en costume de panthère noire, héroïne de l’ombre, déterminée à punir les méchants de ce monde. Les recherches dans mes laboratoires m’ont permis de fabriquer une combinaison ultra perfectionnée très légère, résistante aux perforations et aux températures extrêmes. Ma souplesse me permet de me mouvoir, telle une créature féline

devrait être ), l’injustice est souvent réelle ( c’est un fait ) et exige sans doute que nous fassions œuvre de résistance aux injustices établies. La justice désigne donc une vertu personnelle, c’est l’une des quatre vertus cardinales, celle qui respecte la légalité et l’égalité, les droits des individus et le droit de la cité. ( un juste, c’est une personne qui observe tous ses devoirs, sans compromission, ni défaillance, quelqu’un de droit, de rigoureux). Pour Platon, la justice règne lorsque la

Diderot expose un réquisitoire au cœur de la stratégie argumentative. Pour cela, les européens sont associés à des sauvages, la vanité et l'égoïsme opposé au matérialisme sont présents. En effet, Diderot qualifie les hommes civilisés de " méchants " (l.8). Il utilise un champ lexical fort pour souligner cette cruauté avec des verbes comme " enchaîner ", " égorger ", " assujettir ", " se haïr ", " asservir "… Ce champ lexical renforce l'attitude des Européens envers les Tahitiens et Diderot

fête - 5 énumérations : (deux phrases) hyperboles (idem) croyances de Dom Juan -> Ø (3 phrases) ternaire -> ordre décroissant du plus au moins important -> c’est pour le spectateur (4 phrases) ternaire -> Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion -> prédateur des fêtes (5 phrases) gradation décroissante -> hiérarchie - Sganarelle se flatte de son maître -> démonstratifs, etc. - Sganarelle se donne de l’importance

les gens qu’il apprécie, qui se montrent cordiaux envers lui et il est méchant avec les gens qui sont désagréables a son égard. 2eme partie : “Tuer un homme selon Vautrin” - Page 146 lignes 10 a 32 et page 147 lignes 1 a 13. Vautrin explique a Rastignac qu’il ne pourrait jamais tuer un homme comme il avait suppose tuer le jeune étudiant quelque temps auparavant. D’après lui, il a certains concepts qu’il se doit de respecter, il est considéré comme un artiste car il a appris a voir le bon cote des

éponyme), type du « grand seigneur méchant homme » et son valet Sganarelle RESUME DES 5 ACTES ACTE PREMIER. Dom Juan et Done Elvire. Gusmon, écuyer de Done Elvire, s’entretient avec Sganarelle, volet de Dom Juan; il s’étonne que Dom Juan ait abandonné Done Elvire, qu’il avait épousée après l’avoir enlevée de son couvent. Sganarelle, désinvolte enlève à Gusmon ses illusions; il lui fait le portrait de son maître, libre penseur, " grand seigneur méchant homme " et " épouseur à toutes mains

champ lexical de la passion, honnête. Le tabac est définit comme un remède (l.5/6) Au niveau des personnages: Gusman écoute attentivement, il pose des question, et a un niveau de langue soutenu. Dom Juan lui est comparé a un pèlerin, pas de respect du mariage, critique le fait qu’il ne croit pas en Dieu. Comparé a un chien, un enragé (l.67-68). Présence d’une hyperbole: « il aurait épousé toi, son chien..(l.75). Caractérisé comme étant pire que le diable: « bete brute », « pourceau d’épicure »

de la légende . Mais ce sont les éléments surnaturels qui ont le plus contribué à la survie de cette fable dans l'imaginaire collectif, et à la création du mythe. Il est probable qu'il faut y voir la récupération d'un thème moral (la punition du méchant) fréquemment utilisé dans les collèges religieux ou les ballades populaires. Chez Molière: Plaisir: hédoniste, il reprend le personnage de Molina, mais de nature intrinsèquement sensuelle Don Juan ne recherche plus la simple jouissance physique;