Responsabilité Du Banquier En Droit Marocain

Matière : Droit Bancaire Les responsabilités du banquier Table de matières Chapitre I : La responsabilité civile…………………………………………………………..4 Section I : La responsabilité contractuelle……………………………………………4 Section II : La responsabilité délictuelle……………………………………………..7 Chapitre II : La responsabilité pénale et disciplinaire………………………………………11 Section I : La responsabilité pénale…………………………………………………11 Section II : La responsabilité disciplinaire…………………………………………

Cependant, pour tenter de détourner cette disposition légale, les banques entretenaient une collaboration avec les courtiers qui servent d’intermédiaires entre elles et les compagnies d’assurance. Et dans la mesure qu’elles n’avaient pas le droit de percevoir des dispositions financières , les banques ont essayées de créer un édifice juridique en donnant un habillage financier aux fonds qu’elles pouvaient percevoir en les appelant « frais de gestion ». (1) Adama Sylla

Introduction : Le banquier est un commerçant dont le rôle est primordial dans la vie économique d’aujourd’hui, mais son commerce est dangereux, car les biens qu’il reçoit et qu’il véhicule sont matérialisés par l’argent, cet élément qui confère la puissance et qui suscite les convoitises. Considérant le banquier comme un professionnel exerçant une activité d’intérêt général, les juges imposent certaines obligations, comme le devoir de conseiller son client, de veiller à la sauvegarde de ses intérêts

Master droit immobilier et notarial Exposé sous le thème: La résponsabilité du banquier Préparé par: Encadré par : Latifa ATAYEB Pr. Said AMEHMOUL. Aissam AIT AAZI My Youssef ECH-HIBAT Année universitaire: 2013/2014 Table de matières Chapitre I : La responsabilité civile…………………………………………………………..5 Section I : La responsabilité contractuelle……………………………………………5

quelques années un rythme de développement important. Conscient de l'irréversibilité de la progression de la bancassurance, puisqu'elle s'inscrit dans la logique de l'évolution du monde actuel (globalisation, convergence et intégration), le législateur marocain n'a pas manqué de l'intégrer dans la loi n° 17-99 portant sur le code des assurances La bancassurance est un concept européen largement utilisé par les milieux financiers. Néanmoins, il n'est pas encore défini dans les grands dictionnaires français

pour faire obstacle à sa légalisation au Maroc. Conscient de l’irréversibilité de la progression de la bancassurance, puisqu’elle s’inscrit dans la logique de l’évolution du monde actuel (globalisation, convergence et intégration), le législateur marocain n’a pas manqué de l’intégrer dans la loi N° 17-99 portant code des assurances. La bancassurance est un concept européen largement utilisé par les milieux financiers. Néanmoins, il n’est pas encore défini dans les grands dictionnaires français

MARRAKECH TCE T.C.E. CHAPITRE INTRODUTIF : Le Commerce International et son Environnement……………………………….. … 4 CHAPITRE I : L’ETAT ET LES DISPOSITIONS REGLEMENTAIRES LE DROIT DU COMMERCE INTERNATIONAL…………………………... 8 1 La formation du contrat commercial…………………………………………. 9 1. Les conditions de formes…………………………………………… 9 2. Les conditions de fonds…………………………………………… 10 2 Le règlement

| | | |Exposé élaboré en 1999 par Laila Zouak sous la direction du professeur M.L Ben Othman (2ème année DESA UFR Droit des affaires) | | | |

nabil_bouayad@hotmail.com Résumé : Le contexte économique, dans sa globalité, impose aujourd'hui à l'entreprise marocaine les exigences de la mise à niveau économique et juridique. Cet environnement et l'évolution des modes de financement (Faiblesse des capitaux propres et recours systématiques aux concours bancaires aux taux relativement élevés) rendent vulnérables nombre d'entreprises marocaines, de taille moyenne, pour la plupart. Néanmoins beaucoup de défaillances pourraient être évitées. En effet

Elle joue de plus en plus un rôle décisif, dans le financement de l’activité économique. Pour le chef d’entreprise, le banquier n’a-t-il pas droit de vie ou de mort ? N’est-il pas pour lui un partenaire incontournable pour réaliser ses projets d’investissement ou tout simplement pour financer son activité de tous les jours ? Pour le simple particulier, le banquier n’a-t-il pas la garde de sa fortune, de son épargne ou de ses économies ? N’est-il pas pour lui un passage obligé pour l’obtention