Responsabilité Et Jugement Hannah Arendt

du système communiste de type stalinien et en tant que on peut le ranger dans une catégorie plus large qu’est le totalitarisme qui est un concept qui a été utilisé pour décrire le fascisme Italien des années 1920-1930 puis différent auteur dont Hannah Arendt l’ont appliqué au régime nazi et régime communiste stalinien. Ces différent régime malgré leur spécificité ont en commun les mêmes critères et étaient tous porteurs d’une nouvelle forme de despotisme qui a profondément marqué l’histoire du 20e

des valeurs morales, des normes. Mais en quoi consiste t-elle au fond ? Pour Rousseau (Emile ou de l’éducation) , elle est une faculté de jugement à propos du bien et du mal. Elle est innée en l’homme et lui permet d’avoir une vision a priori du bien et du mal. Indépendamment de l’éducation morale que nous pouvons recevoir, il y a en nous une faculté de jugement qui nous permet d’avoir un sens moral. Rousseau l’appelle « syndérèse ». Pour lui, elle est une faculté mise en nous par Dieu afin d’être

précisément. Trois régimes sont englobés dans ce terme : – le fascisme en Italie, – le stalinisme en URSS, – le nazisme en Allemagne. L’analyse de ces régimes relève de la philosophie politique : on peut notamment citer les l’étude d’Hannah Arendt, les Origines du totalitarisme, publié en France en 1961  cette étude se fonde surtout sur le ; nazisme, régime/archétype du totalitarisme. Les historiens ont eux aussi cherché à appréhender ces régimes dans leurs travaux. Les études historiques

citoyen/citoyenneté peut avoir plusieurs sens, d’abord un statut légal – des droits – liant un citoyen à un état ou a une autre forme d’institution. Il peut avoir le sens d’un ensemble de droits et de devoirs associés à ce statut. C’est un ensemble de responsabilités, de vertus et d’actions qui soutiennent le gouvernement démocratique du peuple par lui-même. Une identité collective qui peut être partagée quelques soient les différences de classe, de race, de genre, de religion, d’origine ethnique ou de mode

l’antisémitisme, le racisme…En fait de tout ce qui a constitué les origines du totalitarisme (Hannah Arendt). Le colonialisme, le racisme, … n’étaient pas des éléments consubstantiels de la mondialisation libérale, ils l’accompagnaient. Ils ont été défaits. Le totalitarisme ne reviendra pas, il a été défait. Les Origines du Totalitarisme (Hannah Arendt, 1951) : résumé Sur l’antisémitisme Hannah Arendt analyse dans ce livre l’émergence de l’antisémitisme politique, à la fin du XIXe siècle, inédit

l’Afrique nait eu d’autres modèles que le fonctionnariat, que ses dirigeants aient été des ״fonctionnaires״, exclusivement signifie que son mal radical est une combinaison de la négation du principe du travail, du risque de l’initiative, de la responsabilité de ses actes, du refus d’une réalité objective indépendante de nous et résistant à toute tentative de la transformer du dehors… » Car l’esprit fonctionnaire a institué dans les philosophies sociales une logique de la chance et des relations

à Moscou le 5 mars 1953, est un révolutionnaire communiste et homme d'État soviétique d'originegéorgienne. Il établit en Union soviétique un régime de dictature personnelle2, période pendant laquelle les historiens lui attribuent, à des degrés divers, la responsabilité de la mort de 3 à plus de 20 millions de personnes3. Il fut secrétaire général du Parti communiste de l'Union soviétique de 1922 à 1952 et dirigea l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des années 1920 jusqu'à

est l'auteur; pas davantage un groupe d'individus. La seconde idée vise à expliquer cet état de choses. Personne n'ose émettre une opinion concernant les affaires publiques, c'est-à-dire ce qui concerne tous. Personne n'ose s'en remettre à son jugement propre. Tous, au contraire, adoptent une attitude passive et consentent à suivre l'avis général. Chacun agit ainsi, passivement, de bonne foi, et, ajoute ALAIN, par une "espèce de sagesse". Il est en effet raisonnable de penser que, concernant les

axiologique est une exigence fondamentale : « La science est un discours portant sur le réel » ; Ce n’est pas une réflexion par rapport à une «ultime vérité » ! Max Weber opère en effet une très nette dissociation entre savoirs « savants » et « jugements de valeurs ». Il y a en effet une indiscutable incompatibilité entre d’une part la rationalité du discours militant, qui n’a pas sa place dans un texte scientifique, sauf comme objet d’études, et, d’autre part, le discours « savant ». Une démarche

conduite. Exister et être libre sont dès lors synonymes, mais l’existence elle-même est d’abord « absurde », dénuée de sens, puisqu’aucune transcendance ne la justifie. De plus, la liberté à laquelle je suis « condamné » s’accompagne d’une immense responsabilité puisqu’à travers chacun de mes choix, je manifeste une conception de l’humanité en général. Dès lors peuvent surgir incompréhensions, conflits ou accusations (de la part des autres, tentés de figer dans une définition mon « pour soi », qui désigne