Resume Le Silence De La Mer

particulier la mort prématurée de sa mère qui s'est jetée du haut d'une falaise. Il s'agit du début du roman.]   Ici la nuit est profonde et noire comme le monde. De l'autre côté des baies vitrées, séparée du dehors et des falaises, protégée du bruit de la mer et de la compagnie des oiseaux, Claire dort et qui sait où nous allons. Chloé est dans ses bras, paisible et légère contre sa poitrine. J'allume des bougies dans la nuit. Ma main plonge dans le plastique transparent, j'en sors de petits ronds d'aluminium

2. L’ILE DES ESCLAVES (élève B) 2.1 Auteur 2.2 Résumé 2.3 Extrait 2.4 Situation de l’extrait 2.5 Analyse 2.6 Illustration 3. LES FAUSSES CONFIDENCES (élève A) 3.1 Auteur 3.2 Résumé 3.3 Extrait 3.4 Situation de l’extrait 3.5 Analyse 3.6 Illustration 4. LE MALADE IMAGINAIRE (élève B) 4.1 Auteur 4.2 Résumé 4.3 Extrait 4.4 Situation de l’extrait 4.5 Analyse 5. DOM JUAN (élève A) 5.1 Auteur 5.2 Résumé 5.3 Extrait 5.4 Situation de l’extrait 5.5 Analyse

fait qu’il était source de richesse et donc d’impôt. Sous Louis XIV, les usages commerciaux feront l’objet d’une première ébauche de codification. Ce sont les deux célèbres Ordonnances de Colbert relatives au commerce de Terre (1673) et l’autre de Mer (1680). B). La Période Révolutionnaire : Durant cette période, la codification du DC intervient. A partir de 1801, la rédaction du CC est commencée et se terminera en 1807. Le code comprenait 658 articles toutefois ce code n’est pas satisfaisant

« viande », « chargement de chair humaine », « engloutir », « dévora », « gueule (…) gloutonne », « affamé », « digérer », « silence vorace ». Un monstre insensible et froid : aspect machinal d'une dévoration qui semble se répéter éternellement (imparfait itératif, préfixe re- l.19/20, …) Le silence, connotant la mort, domine : « sans bruit » l.4, « silencieuse » l.10, « silence vorace » l.30 L'image de la descente (lexique associé à la profondeur et au vide) ainsi que l'obscurité évoquent une véritable

bouleversé, et on l’accompagne dans sa révolte et ses doutes d’où émerge peu à peu une nouvelle aube. Car ce texte est aussi le récit d’une victoire, arrachée de haute lutte sur le non-sens que constitue la mort d’un enfant, et sur la tentation du silence. « À qui donc sommes-nous ? Qui nous a ? Qui nous mène ? », s’interroge le poète dans cette véritable « quête du sens » selon l’intitulé de l’objet d’étude de première. Elle le conduira dans les derniers poèmes à une acceptation du mystère de l’existence

Chateaubriand : Commentaire composé d’un extrait de l’Avant-propos des Mémoires d’outre-tombe : Réflexion sur la composition autobiographique 3 pages + le texte Résumé : Commentaire composé de la partie centrale de l’Avant-propos des Mémoires d’outre-tombe dont le texte suit : « Ces Mémoires ont été composés à différentes dates et en différents pays. De là, des prologues obligés qui peignent les lieux que j'avais sous les yeux, les sentiments qui m'occupaient au moment où se renoue le fil

Résumé Il s’agit d’un vieil homme qui s’enfuit de son pays natal avec une valise légère et un nouveau-né. Il s’appelle Linh et sa petite fille s’appelle Sang Diû (Matin doux). Il est tout seul avec le bébé car toute sa famille est morte. Le père de l’enfant était son fils. Un jour il a trouvé le corps de son fils et celui de sa femme et de leur fille à côté d’un cratère. Ils étaient tous morts. Monsieur Linh part avec le bateau pour un pays lointain. Il reste sur le pont arrière serrant l’enfant

son auteur. La force du personnage s'est nourrie des actions qu'il a contribué à transformer en légende. Ainsi, le général de Gaulle naît à la France en ce jour du 18juin 1940. Cette date marque son entrée en dissidence ; ce fut « une bouteille à la mer » restée sans écho, comme le soulignent certains historiens. Cette solitude extrême lui confère davantage de solennité, solitude face au peuple français qui ne le connaissaient pas, face à l'Etat français qui acceptait la reddition, face aux allies

moucheron et une tortue prenaient ma défense, mettaient en fuite le méchant et ses pinces. C'est le lendemain, dans l'après-midi, qu'avec mon frère je pris la mer. Normalement, vu que les vacances venaient de commencer, nous aurions dû crier, hurler, danser. Surtout moi, qui allais traverser en bateau l'Atlantique. Mais rien, le silence. Nous nous regardions, bouche ouverte, comme poissons rouges en bocal. La détresse de notre chère Laurencin nous bouleversait. Et quels étaient ces « soins pédagogiques

cours sur le théâtre au XIX° s.).Le classicisme et le romantisme vont également différer dans la façon de représenter l'existence humaine. Ainsi, le classicisme condamne la passion amoureuse, qui est représentée comme destructrice ; un résumé de la tragédie classique Phèdre, de Jean Racine le montre bien : Phèdre est la jeune épouse de Thésée, roi d'Athènes. Elle tombe passionnément amoureuse d'Hippolyte, le fils que Thésée a eu d'un premier mariage. Thésée, parti en voyage