Resume Sur La Mercantiliste

peut-être même une réelle rupture avec l’économie internationale. S’interroger sur la mondialisation nécessite donc en premier lieu de connaître son point de départ historique et sa structure dès son origine. Cette partie du cours est essentiellement un résumé de l'ouvrage de Adda (2002) qui explique la genèse de l'économie mondiale de manière beaucoup plus détaillée. 2. Historique de la mondialisation Une étude de la mondialisation se doit en premier lieu de remarquer la domination d’un système économique

pas à tirer profit du besoin de l'acheteur. Paragraphe 2 : Du XVI au XVIII siècle, un lente légitimation des gains. 1. Le mercantilisme :gagner l'or par le commerce. Les mercantilistes sont : Jean Bodin 1520-1596 Richard Cantillon 1680-1733 Colbert 1619-1683 Antoine de Mont Chrestien 1575-1621 Mercantiliste anglaise : William Petty 1623-1687 espagnol:Louiz Teroiz Au XV et au XVI siècle le commerce prenait un essort grâce au grandes découvertes qui révolutionne l'économie

Histoire de l’analyse économique I- Les mercantilistes : Le mercantilisme est apparu entre le 16e siècle et le 18e et marque une période de transition entre le moyen âge et le capitalisme industriel, Adam Smith est le premier à avoir utilisé ce mot. Ce courant n’a porté ses fruits qu’entre le 19e et 20e siècle. 1) L’Europe du Moyen âge : Chute de l’empire romain et de l’économie marchande entre le 5e et 10e siècle ce qui va engendrer des transformations à partir du 11e siècle qui se renforceront

Le concept d'entrepreneur apparaît au XVIIème avec Cantillon, un économiste à la charnière entre mercantilistes et physiocrates : selon lui, l'entrepreneur est un individu dont l'économie ne peut pas se passer mais que la société rejette. Deux siècles plus tard, Marshall définit l'entrepreneur par son rôle : « l'entrepreneur est entrepreneur parce qu'il arrive à faire des choses nobles et difficiles ». Cette définition approximative illustre les lacunes de théories marginalistes qui s'intéressent

ré encastrement de l’économie dans le système. Au fond on voit bien que l’analyse économique du marché est inséparable de la question de l’organisation institutionnelle du Marché. A-t-il besoin de règles pour fonctionner. Finalement on peut résumer les théories économiques du marché autour d’une problématique simple Problématique : Le Marché est-il capable de s’autoréguler ? Section 1 : Les théories libérales du Marché Paragraphe 1 – les théories des précurseurs du libéralisme économique

soutenant le clergé gallican*, il persécute les protestants suite à la révocation de l'édit de Nantes en 1685, mais aussi les jansénistes mis en lumière par la destruction de Port-Royal en 1711. Sous l'égide de Colbert, le roi impose une politique mercantiliste* et suscite la création de manufactures. Enfin, il surveille la vie des arts qui sont chargés de célébrer sa grandeur. Il soutient les écrivains tels Molière et Racine et les musiciens, et ce par un mécénat actif. *Gallicanisme : doctrine de l'Eglise

science éco 1°- Les précurseurs a- Les mercantilistes Dès le 15e s, en Europe, se généralise l’économie des foires et marchés, qui tissent des réseaux d’échanges dans un monde encore médiéval (du 15e au 18e s). C'est ce que l'on a pu appeler l'ère mercantiliste. Ce mot désigne la doctrine qui exalte le devant des marchés, des marchands et du commerce. Les auteurs précédents traitaient les échanges sous l’angle de la morale divine. Les mercantilistes abandonnent ce point de vue, où la justice

les droits de l'individu sur sa personne et sur ses biens. => Un texte fondateur : les Fables des Abeilles : En 1714, B. Mandeville publie un petit ouvrage, « la Fable des Abeilles », où les vices privés font le bien public. On y trouve un résumé de la pensée libérale qui sera par Smith et d'autres. On y trouve aussi un filigrane d'une analyse de la division du travail. La Fable des Abeilles met donc en scène certains aspects du libéralisme économique qui seront repris et continuent à alimenter

(l’éthique, la politique et l‘économique). Au XVIème s. on observe un courant : il y a une pensée économique qui s’émancipe des autres disciplines. Cette discipline noue des relations particulières avec le pouvoir (= économie politique) ; les Mercantilistes sont les premiers à réfléchir comment enrichir le Prince. Le libéralisme et le marxisme sont des courants qui vont complètement critiquer le mercantilisme. Un paradigme est l’alliance de différents genres de pensée au sein d’un même courant.

richesse pour SMITH est qcch de réel, matériel, il reprend une idée des physiocrates et s’oppose à la pensée mercantiliste en réfutant la pensée que la richesse est monétaire. Pour SMITH les mercantilistes confondent la monnaie et la richesse. Pour SMITH la monnaie va être un intermédiaires des échanges. Deuxième remarque : il y a quand même une nuance par rapport aux physio car la richesse ne se résume pas à la richesse agricole mais prend aussi en compte la prod industrielle comme vecteur de richesse.