Resume Sur La Mercantiliste

les années 60. On entre alors dans la première logique : les gens se retrouvent par classes sociales homogènes. Politique, économie et société Résumé de ces évolutions par Alain Touraine : le pouvoir politique s’affranchit du pouvoir religieux au début du dernier millénaire et le pouvoir politique se lie au pouvoir économique avec l’époque mercantiliste, puis le pouvoir économique s’affranchit du politique et de l’Eglise: libéralisme du 19ème siècle. Les 19ème et 20ème siècle amènent l’alliance

privatif 10 A- Evolution historique et sectorielle du secteur privé 10 B- Les spécificités de la production publique marchande 10 Chapitre 2 : Les fondements de la macroéconomie 12 Section 1 : L'émergence de l'approche macroéconomique 12 I- Les mercantilistes 12 II- Les économies du circuit 13 A- Du plaidoyer libéral de Boisguilbert... 13 B- ...au tableau économique des physiocrates 14 III- L'approche macroéconomique de Karl Marx 15 A- L’État substitut du marché défaillant 15 B- Aliénation marchande

système général de compréhension. Il y a la doctrine libérale, la doctrine keynésienne, la doctrine marxiste, la doctrine socialiste, la doctrine de l’économie sociale de marché ou de la troisième voie, la doctrine associationniste, la doctrine mercantiliste, la doctrine Napoléonienne ; etc. (cf. Daniel Villey : Petite histoire des grandes doctrines économiques). Les deux cents premières pages vous donneront un aperçu de ce que nous appelons une doctrine et que j’appelle une vision, non pas au sens

travail qui conduit à la croissance Economique. Cette dernière contribue à accroitre la population, formant ainsi un cercle vertueux. Il apporte aussi des premières explications quant à la formation des prix. Entre le 16e et le 18e siècle, les mercantilistes qui préconisent l’abondance de métaux précieux, l’intervention de l’Etat et le développement de la population, rendant la réflexion économique autonome mais ne constituent pas encore un courant économique structuré. Au milieu du 17e siècle, les

de l’Organisation Africa Human Voice International (http://www.africa-humanvoice.org/) LE PACTE COLONIAL OU LA VRAIE CAUSE DES GUERRES EN AFRIQUE  Le pacte colonial, selon l’Encyclopédie Universelle Larousse, est une forme « de la conception mercantiliste de la colonisation qui visait à l’enrichissement de la métropole. Il stipulait : l’interdiction totale ou partielle du marché colonial aux produits étrangers ; l’obligation d’exporter les produits coloniaux exclusivement ou principalement vers

principes : • premier principe : elle est établie dans le long terme , c’est-à-dire que tôt ou tard , la monnaie obtenue dans la vente d’un bien sera utilisée pour l’achat d’un autre bien • second principe : la monnaie a un rôle passif qui se résume à être un strict intermédiaire des échanges : la monnaie ne peut donc être détenue pour elle-même , donc la monnaie est un voile qui sert uniquement à opérer des échanges • troisième principe : la monnaie est neutre , elle n’exerce aucune influence

civilisation de l'avoir a remplacé la civi de l'être: travailler plus, produire plus, conso plus. MARCUSE montre que ds la société de conso , il y a une dérivation de la libido , du désir . LES DIFFERENTES FORMES D'ORGA ECO ET SOCIALES A) Les mercantilistes (17ème siècle) qui ont cherché a faire de l'accumulation de richesses la base de l'éco n'ont jamais donné naissance au système capitaliste. WEBER « la soif d'acquérir , la recherche du profit , de l'argent, n'ont en elles mêmes rien a voir avec

généralisé source de la richesse, là où certains auteurs, de la physiocratie (cf. fiche 8) à l’école classique – que pourtant Smith contribue à fonder – insistent davantage sur la spécificité des relations de production, tandis que d’autres, des mercantilistes (cf. fiche 6) aux keynésiens, confèrent à l’État, même dans une économie de marché, un rôle essentiel dans la constitution de l’harmonie économique et sociale ; c l’affirmation de la neutralité de la monnaie et la description du processus de formation

généralisé source de la richesse, là où certains auteurs, de la physiocratie (cf. fiche 8) à l’école classique – que pourtant Smith contribue à fonder – insistent davantage sur la spécificité des relations de production, tandis que d’autres, des mercantilistes (cf. fiche 6) aux keynésiens, confèrent à l’État, même dans une économie de marché, un rôle essentiel dans la constitution de l’harmonie économique et sociale ; c l’affirmation de la neutralité de la monnaie et la description du processus de

sociale. Le rôle de plus en plus déterminant de la bour­geoisie, l'extension rapide de l'échange marchand, l'énorme accumulation de richesse, son étalement par les parvenus, tout cela n'entrait guère dans les cadres de la pensée féodale. Déjà les mercantilistes avaient pu répandre non seulement l'idée que la richesse d'une nation se mesurait en termes d'or ou d'argent comme celle d'un marchand, mais encore que la liberté économique était une condition sine qua non à tout enrichissement. Avec les physiocrates