Resumé Les Ames Grises

 D’idée principale il n’y en a ou du moins nous n’y en trouvons pas. De la joie évidente d’être un grand poète, tels paysages féeriques, d’adorables vagues amours esquissées  et   la  plus  haute  ambition   (arrivée)  de   style :   tel   est   le résumé que nous croyons pouvoir oser donner de l’ouvrage ci­après. Au lecteur d’admirer en détail. De très courtes notes biographiques feront peut­être bien. M. Arthur Rimbaud est né d’une famille de bonne bourgeoisie à Charleville   (Ardenne)   où   il

point de roman, il n'est point d'art, puisque l'art vit d'apparences. Dieu n'est pas un artiste; M. Mauriac non plus. » (2) Un bref rappel de l’ordre des cartes tirées et des commentaires n’est donc pas inutile en ce qu’il constitue un véritable résumé de l’œuvre. 1 – Le démiurge : « Il y en vous un organisateur qui lutte contre un univers en désordre qu’il s’efforce de maîtriser avec ses moyens de fortune. Mais son œuvre est illusion, son ordre illusoire. Il l’ignore. Le scepticisme n’est pas

Dieu est UNE, mais seules les âmes averties peuvent en entrevoir une partie, car Dieu ne se dévoile pas, Dieu laisse les hommes venir à lui, le ressentir. Chacun avance à son rythme sur le chemin de sa vérité. Dieu ne laisse personne au bord de la route, et tous verront la vérité un jour, mais pour cela il faudra des efforts et du courage, beaucoup de vies, beaucoup d’expériences, mais au bout du chemin, la lumière. La lumière de la vérité de Dieu, la lumière des âmes enfin réconciliées à jamais,

que nous propose Tolstoï. L'auteur nous montre comment les idées libérales occidentales vont saper les structures traditionnelles de la Russie féodale. Plus proche de nous, Philippe Claudel nous propose un roman policier, psychologique (« Les âmes grises » - Prix Renaudot 2003) qui entremêle lui aussi les blessures d'amour et les blessures de la guerre (l'action se déroule en partie pendant la Première Guerre mondiale, en 1917). Tous les écrivains manifestent une tendance naturelle à traquer dans

que nous propose Tolstoï. L'auteur nous montre comment les idées libérales occidentales vont saper les structures traditionnelles de la Russie féodale. Plus proche de nous, Philippe Claudel nous propose un roman policier, psychologique (« Les âmes grises » - Prix Renaudot 2003) qui entremêle lui aussi les blessures d'amour et les blessures de la guerre (l'action se déroule en partie pendant la Première Guerre mondiale, en 1917). Tous les écrivains manifestent une tendance naturelle à traquer dans

courge cultivée dans les îles des Antilles par les indiens Caraïbes. Il est attesté dès l'an 1614 sous la forme giromon[1]. La partie inférieure, hémisphérique, porte une sorte de calotte à trois bosses dont elle est séparée par un liseré liégeux. Gris ou vert, le giraumon peut aussi être bariolé de rouge, de vert et de blanc, ce qui lui donne un aspect décoratif recherché et indéniable. Sa chair est ferme, sucrée et farineuse. source Wikipédia Composé presque exclusivement d'eau,le giraumon

mal. Le contentieux est jugé devant le tribunal divin qui rend la royauté d’Egypte à Horus. Horus devient Pharaon. Osiris, quant à lui, est conduit par Isis dans le royaume des morts, dont il devient le roi. Roi de l’au-delà, Osiris y accueille les âmes pures des défunts après leur passage devant son tribunal où elles étaient pesées. Le support de toute la pensée religieuse et la droiture morale du peuple d'Égypte «tient dans le mythe d'Osiris ». Mythe qui n'a pas seulement un reflet historique

cette volonté de conserver un corps sain et une apparence qui fait jeune. Les femmes ont été confrontées les premières à la pression du jeunisme. Ce qui est nouveau, c’est que ce combat contre les stigmates de l’âge n’épargne plus les hommes : cheveux gris, rides et calvities ne font désormais plus parti du canon physique actuel. Le jeunisme s’installe en maître. Selon Simone De Beauvoir, dans  Vieillesse  1970, « Avant qu’elle ne fonde sur nous, la vieillesse est une chose qui ne concerne que les autres

au moins rendu quelque arrêt contre la rue, comme jadis il en porta contre les perruques du chapitre de Beauvais. Cependant monsieur Benoiston de Châteauneuf a prouvé que la mortalité de ces rues était du double supérieure à celle des autres. Pour résumer ces idées par un exemple, la rue Fromenteau n'est−elle pas tout à la fois meurtrière et de mauvaise vie ? Ces observations, incompréhensibles au delà de Paris, seront sans doute saisies par ces hommes d'étude et de pensée, de poésie et de plaisir

rendu quelque arrêt contre la rue, comme jadis il en porta contre les perruques 4 du chapitre de Beauvais. Cependant monsieur Benoiston de Châteauneuf a prouvé que la mortalité de ces rues était du double supérieure à celle des autres. Pour résumer ces idées par un exemple, la rue Fromenteau n’est-elle pas tout à la fois meurtrière et de mauvaise vie ? Ces observations, incompréhensibles au delà de Paris, seront sans doute saisies par ces hommes d’étude et de pensée, de poésie et de plaisir